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C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]

Clarissa Lacroix

Messages : 29
Date d'inscription : 27/07/2022
MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La nouvelle esclave personnel du père des monstre écoute les dire de Blattela tout en apprenant à accueillir correctement le gode dans sa bouche. Les paroles de la femme furent dur à entendre, bien que ce ne soit pas la première fois. Ce n'est jamais agréable d'entendre ce genre de chose, terminé par ce à quoi elle a été réduite, une esclave. Mais Clari' n'a pas vraiment le loisir d'y penser plus que cela, devant rester concentré sur ce qu'elle a dans la bouche, devant apprendre à faire correctement afin de ne plus souffrir autant quand son monstre de maître était là. Mais la jeune esclave n'aurait jamais pensée qu'apprendre ce genre de chose était aussi complexe ! Autant apprendre à sucer et humidifier correctement le gode fut assez facile, mais une fois arrivé à l'exercice de la gorge profonde ... Ce fut une toute autre histoire. Ce n'est qu'après un nombre impressionnant d'essaie, que la jeune chercheuse parvient enfin a faire entrer complétement le gode, lui faisant une gorge profonde correcte, bien que cela soit tout à fait insuffisant pour le père des monstres, mais cela viendrait avec l'entrainement.

C'est à ce moment là que Blattela décide de passer à un autre exercice. La jeune esclave avait bien tenté de réprimer sa peur sans vraiment y parvenir et quand le gode entre en elle. C'est instinctif, les muscle se contracte et il lui a fallut beaucoup de volonté et d'essaie pour apprendre à pousser afin de mieux le faire entrer et c'est a se moment que Clarissa put le constater, c'est vrai qu'en poussant, cela fait moins mal. Mettant un petit moment à réaliser quand il était entièrement entrée en elle et elle fut surprise de ressentir ce petit sentiment de victoire, cette satisfaction de réussir quelques chose. La suite fut des plus surprenant pour la demoiselle et rapidement elle ne put retenir de petit gémissement de plaisir alors que la bras droit de son maître continue ses lent mouvement de va et vient, lui procurant un certain plaisir. Ce qui la surprit le plus fut qu'elle ne pouvait rien faire contre celui-ci, son corp réagissant tout seule, mais c'était ... mieux, bien mieux que simplement la douleur.

Puis le plaisir grimpant prend le pas sur ces pensées, laissant ses gémissements  s'exprimer sans qu'elle ne puisse les réprimer, ne pouvant faire autrement alors que la femme aveugle faisait coulisser lentement le gade en elle tout en jouant de ses doigts sur sa petite fleur et la perle qui l'orne. De plus, dans cette position et ainsi attaché, c'est assez compliquer de se retenir, ne pouvant que s'agiter un peu sous les doigts de la dame. Mais le plus important pour l'esclave, sans même qu'elle ne le réalise est qu'elle découvre ce plaisir, que cela était possible d'éprouver du plaisir dans ses moments là. Puis au bout d'un petit moment, alors que Clarissa se laisse aller a se doux plaisir, le sommet fut atteint dans un long gémissement de plaisir, cela lui procurant un plaisir comme jamais elle n'en a encore ressentie, la laissant par la suite un peu décontenancé alors que Blattela lui coupe l'herbe sous les pieds et disant que le maître est bien plus brutale et violent.

La petite esclave fut surprise par une vive douleur alors que ses tétons se font accroché et tiré par les doigts de la belle femme qui était encore si douce il y a quelques instant. Les faisant vriller à la faire hurler de douleur en s'agitant, toujours aussi impuissante ... Peu importe qui lui faisait du mal au finale car ce devait être le lot des esclave d'être aussi impuissant face au autres ... Continuant de couiner et crier de douleurs, Clari' laissa échapper un hoquet de surprise douloureux alors qu'elle sent la seconde main de Blattela s'attaquer à sa petite perle, la faisant couiner de nouveau. Avant de lâcher un crie de plus en sentant le coup buttoir dans son fondement, la faisant frémir autant de douleur que de ... plaisir ? La jeune chercheur est alors surprise de sentir se plaisir mêler à la douleurs, c'est dans ses moment d'incompréhension que son esprit cherche les réponses, comprenant que suite à l'orgasme son corps était toujours assez sensible. Mais cela voulait aussi dire que ... Lorsque le maître la prenait, c'était également possible d'en avoir, ce plaisir ?

Bien que Blattela ne lui laisse le loisir des réflexions plus poussé en continuant de la prendre ainsi, la jeune esclave découvre que l'on peut ressentir du plaisir malgré la douleur ... Et que l'on peut s'y réfugier à défaut d'éviter cette douleur, même si pour cela lui fallait ... s'offrir pleinement à lui. Clarissa finit par avoir un second orgasme sous les coup buttoir brutaux et les tétons meurtrie par les doigts ferme et doux de Blattela. Restant essoufflé de toute ses leçons, la jeune chercheuse avait désormais de quoi réfléchir. Pour avoir moins mal, il lui faut s'offrir à son maître, mais c'était pas si facile que cela ... Car Clarissa a l'impression que plus elle s'offrira à lui, plus son passé sera inaccessible. Mais après tout, c'est peut être le mieux à faire, Blattela lui a dit en plus que c'est son passé qui la faisait souffrir, alors que son maître est son avenir ... Même si c'est un avenir qu'elle n'a pas voulue. Baissant la tête avec une certaine tristesse, frissonnant encore de cette orgasme qui lui à parut encore plus fort que le premier, ce qui lui soulève plusieurs question.

- Je ... Je comprend, merci à t- ... Vous, je sais un peu mieux quoi faire et comment réagir ...

Clari' avait clairement envie d'en dire plus, de poser moult question en plus, mais ... Pourtant, elle se retient, sachant qu'ici, trop parlé est un défaut, pour les gens comme elle. Pouvoir s'accrocher à ses recherche sur eux aller l'aider à tenir le coup, de cela, elle en est certaine. Sa force d'esprit et de caractère ainsi que sa curiosité sont toujours bien présent, même écrasé sous la botte noir de son maître ... Avec un faible espoir de pouvoir, dans ses recherche trouvé la faiblesse qui pourrait la libérer. Pour le moment toutefois, il fallait mieux garder cette espoir bien cacher. Soupirant longuement en lâchant un petit gémissement à cause de sa position de contrainte, s'agitant quelques peu sous la douleur au niveau de son cou et des poignets, heureusement sa taille et jambes était épargné grâce à Blattela ... pour le moment, sachant parfaitement qu'à un moment, elle la soulèvera à nouveau, jusqu'au retour du maître
Clarissa Lacroix
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Heinart

Messages : 37
Date d'inscription : 14/08/2022
MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La petite était encore toute tremblante de l'orgasme et Blattella devait reconnaître que tout cela lui avait donné moult envie. Cependant, elle se faisait violence pour se contenir, se retirant de son joli cul en douceur et délaissant cette magnifique poitrine. Elle retirait la ceinture et la posait sur le sol pour le moment. Écoutant les remerciements de l'esclave, elle en souriait et remarquait bien que cette dernière aurait bien plus à dire, mais n'en faisait rien. Cela signifiait qu'elle commençait à retenir la leçon, tout comme le fait qu'elle avait fait attention à comment lui parler. Ses doigts vinrent glisser sur son propre corps, effleurant ses tétons durcis et poursuivant leur route jusqu'à son intimité. Elle ne passait pas sous ses vêtements, mais pressait un peu ses doigts pour parvenir à appuyer un peu contre ses lèvres intimes et laissant s'échapper un gémissement de frustration avant d'écarter les doigts rapidement. L'ancienne esclave se sentait chaude comme la braise et pour se soulager légèrement elle vint face à Clarissa. Ses doigts caressaient sa joue avant que ses lèvres ne viennent l'embrasser avec passion et gourmandise. Sa langue vint danser avec celle de l'esclave, lui arrachant son souffle et ses réserves sans pitiés avant de s'écarter en se léchant les lèvres de délices. Elle lui faisait ensuite un grand sourire avant de prendre la parole :

- Tu me laisses dans tous mes états, ça va être un supplice d'attendre notre prochaine rencontre. Enfin, je vais tout de même t'apporter à manger et à boire... Bien que... En l'état je pense t'apporter de la soupe, au moins si jamais tu venais à vomir encore ça passera mieux et en ce moment t'hydrater est plus important que manger.

Elle hochait la tête, satisfaite de sa propre décision et se baissait pour ramasser la ceinture. Blattella se rendait ensuite dans la chambre, levant la voix depuis cette dernière alors qu'elle semblait nettoyer le gode :

- Tant mieux si tu commences à comprendre d'ailleurs !

Cela ne dura heureusement guère longtemps, elle revint rapidement pour ranger la ceinture, précisant en même temps :

- Je vais te garder ainsi le temps d'aller chercher ce qu'il faut, ensuite je te remet en position et il te faudra appliquer ce que je t'ai appris. Tâche de faire plaisir à notre maître, plus tu prendras du temps à progresser, plus longtemps tu resteras ainsi attaché et si jamais tu devais être trop longue...

Un soupire lui échappait, las, embêté visiblement par ce qui arriverait si cela devait se produire :

- Disons que ni toi ni moi ne voulons cela. Je t'aime bien pour une esclave de ton engeance, tu ne sembles pas trop juger ce que je suis et... Tu es si belle, si mignonne, la prochaine fois je ne suis pas certaine de te laisser filer sans que tu es renvoyé la balle. Autrement dit...

Elle s'approchait, se baissant à sa hauteur face à son visage pour la regarder dans les yeux si prêt que leurs lèvres s'effleuraient légèrement :

- Je compte bien que tu me donnes un peu de plaisir en retour, je suis excité comme rarement maintenant...

Disait-elle en faisant une légère moue ensuite, il n'était pas utile de voir ses yeux pour lire les expressions de son visage, elle y parvenait très bien sans. Un baiser presque chaste plus tard et la voilà qui se redressait et commençait à partir, ajoutant avant de disparaître :

- Réfléchis à tes questions, tu me les poseras après le passage du maître, là je vais juste te donner à manger et filer, il ne devrait plus trop tarder et tu dois te reposer !

Visiblement, elle était pressé, son rôle l'obligeait à tout le temps se déplacer et autant dire qu'elle était très occupé. Elle revint rapidement, une dizaine de minutes plus tard tout au plus avec une sorte de grande carafe et une paille assez large. Elle avait amenée avec elle une sorte de chaise haute qu'elle plaçait devant l'esclave. Cette dernière l'était suffisamment pour pouvoir poser la carafe dessus et à l'aide de la paille l'esclave pouvait boire sans même que Blattella ne l'aide. A l'odeur, elle remarquerait aisément qu'il ne s'agissait pas de la bouilli que l'on donnait aux esclaves, mais d'une bonne soupe de poulet fort en goût. Quant à l'aveugle, elle s'installait dans le canapé, ses doigts se frayant un chemin sous sa robe pour se caresser légèrement alors que son autre main jouait avec sa poitrine :

- Bon sang...

Dans son esprit elle se disait que son maître lui manquait pour le coup, soit il prenait soin d'elle et la détruisait un coup, soit elle allait devoir se trouver une idiote pour s'occuper de son cas. Elle ne poussait cela dit pas jusqu'à l'orgasme, elle soulageait légèrement, soufflant à peine son plaisir tout en gardant tout de même un œil sur la petite. Enfin, c'était surtout pour l'aider à reprendre la paille si jamais elle la perdait. Blattella ne répondait plus aux questions, lui rappelant que le temps filait et qu'elle devait se reposer le plus rapidement possible. Après tout, valait mieux pas pour elle d'être encore sensible suite à ses orgasmes quand son maître arrivera. Cependant, si jamais la petite devait insister, autrement dit reposer une question ou simplement parler après le premier avertissement, elle prendrait un coup de cravache sur le cul sans pitié d'aucune sorte. Elle l'obligerait aussi à finir la carafe. Chose faite, elle reprenait le tout, ainsi que la chaise et précisait :

- Je repasserais peu avant que notre maître ne vienne pour te permettre de faire tes besoins, bien que ça sera dans un seau sans te libérer.

Elle lui replaçait le tout, les attaches, la soulevant du coup pour la laisser suspendu et lui ordonnant de faire son possible pour dormir. Si pour l'esclave savoir combien de temps passait était impossible, pour Blattella, elle savait que la petite avait passé quatre heures dans cette position lorsqu'elle revint à elle avec un seau. Une claque sur le cul ne guise de réveil si elle dormait toujours et un nouvel ordre tout en plaçant le seau entre les cuisses :

- Allez allez ma belle, va falloir que tu te réveilles et fasse tes besoins rapidement. Le maître commence à s’agiter, je sens son Aura qui gonfle, toi aussi non ?

En effet, elle pouvait le sentir, cette présence terrifiante qui grandissait peu à peu, signe que le Maître de la nuit ouvrait doucement les yeux :

- Fait ton pipi, normalement tu n'as que ça à faire et ensuite prépare toi psychologiquement à son arrivé. Autant te dire tout de suite qu'il va te baiser, bouche et ton petit trou. Il n'y aura pas beaucoup de parlote, je crois qu'il est pas mal occupé aujourd'hui et il serait préférable que tu le mettes de bonnes humeurs... Sinon j'en connais qui vont prendre sévère dans les usines...

Elle avait précisé la fin à voix basse, grimaçant comme si elle ne voulait vraiment pas être ces personnes à l'usine si ça devait mal se passer. Néanmoins, elle ne parlait pas assez bas pour ne pas être comprise et ensuite elle faisait preuve de patience. Restant là, à côté d'elle en tenant le seau, essayant d'éviter tout commentaire si jamais elle voyait que la gamine prenait du temps à réussir à se lâcher. Enfin, si au bout de quelques minutes rien ne venait, elle donnerait une nouvelle claque au cul avant de littéralement presser la perle pour que la douleur la fasse se vider de force. Autant dire que lorsqu'une femme se retenait, pincer cette endroit ouvrait les vannes. Elle s'essuyait les doigts ensuite avec un mouchoir, le mauvais côté de cette méthode était qu'on se retrouvait souvent avec un peu d'urine sur les doigts. Lorsqu'elle semblait avoir terminé, qu'elle avait eu besoin d'un coup de main ou non, elle déposait un baiser sur les lèvres de l'esclave, douce comme si souvent et précisait avec tendresse alors que l'Aura explosait sur l'île :

- Le Maître est réveillé, applique ce que tu as appris et surtout donne toi. Tu peux le faire.

Elle partait ensuite avec le seau et l'esclave découvrait que Blattella connaissait vraiment bien son maître parce qu'il arrivait dix minutes plus tard. Comme l'autre fois, elle pouvait le sentir approcher, sa présence étouffante qui fluctuait en fonction de la distance permettait de facilement savoir sa portée. Il apparaissait via le téléporteur et prenait place dans le canapé pour regarder l'esclave suspendu.Visiblement, il prenait le temps de regarder ses formes et clairement il semblait apprécier ce qu'il voyait. Il n'était habillé que d'un pantalon, ses muscles se mouvant à chaque geste, mais sa poitrine ne se soulevait jamais, il ne respirait pas, sauf lorsqu'il devait faire semblant. Puis, sans prévenir, il prenait la parole de sa sinistre voix :

- Ta sœur arrive, elle a engagée un groupe de mercenaire renommé et à embarqué avec ces derniers sur un navire en direction des États-Unis perdu. Je leur ai envoyé un comité d'accueil, enfin, j'ai demandé à une connaissance d'envoyer un prototype de monstre. D'ailleurs, elle m'a envoyer le corps de l'un de ses monstres, j'aurais bien envie que tu l'étudies et me dises ce que tu en penses. Enfin...

Il ricanait légèrement en précisant :

- Lorsque tu auras gagné le droit de quitter cette position. Enfin, avec un peu de chance tu auras bientôt une nouvelle compagnie ici, je me demande si ta sœur à le même goût que toi.

Il se redressait, approchant de son pas lourd, ses crocs apparaissant déjà et qui risquait de déclencher un certain frisson d'anticipation. D'ailleurs, son corps commençait déjà la trahir, elle n'était plus à sa première morsure et le manque se rappelait à elle à l'instant où elle voyait ses dents s'allonger. Bientôt, la simple vu du maître risquait de réveiller se désir, ce besoin, cette drogue. Il attrapait une jambe et soulevait cette dernière tout en se baissant afin de mordre à la cuisse. Ses crocs plongeant dans la chaire, perforant l'artère et faisant jaillir le sang à profusion. Cette fois, c'était littéralement un orgasme terrible qui la prendrait sans la moindre caresse, durant en longueur jusqu'au moment où sa langue vint caresser la blessure et la refermer en un instant. Pas de souvenir cette fois, hormis le visage de sa propre sœur lui revenant inlassablement à l'esprit alors que des vagues de plaisir la traversait. Heureusement, ses derniers cessaient ou tristement ?

Pendant ce temps, Blattella regardait par le trou d'une serrure, ses doigts allant sous sa robe pour cette fois littéralement se doigté en observant. Elle se doutait que son maître remarquerait sa présence, mais peut-être voulait-elle justement être appelé.

Heinart ne faisait cela dit pas grand cas de Blattella pour le moment, à la place il se plaçait face à l'esclave et tout en retirant sa ceinture et son pantalon s'adressait à elle :

- Alors esclave, tu dois être heureuse de savoir que ta sœur viens te rejoindre, enfin d'ici quelques semaines environ ?

C'était clairement une question et son regard indiquait qu'il voulait une réponse de sa part. Cependant, que dire dans une telle situation, d'autant que la vue de la verge inquiétante de son maître devait rendre sa concentration laborieuse. Néanmoins, si elle prenait plus de cinq secondes pour répondre, il se pencherait sur le côté pour claquer le cul si fort qu'elle en sentait précisément la trace des doigts et cela durant une bonne dizaine de minutes. Le choc risquait aussi d'enfoncer les cordes qui la maintenait en l'air au niveau du ventre, sans l'entailler, elles allaient bien l’irriter. Une fois la réponse obtenue, qu'importe celle-ci, il viendrait prendre possession de sa bouche, y glissant sa queue d'une traite presque jusqu'à la gorge. Si la réponse penchait vers un mécontentement de voir la sœur arriver, il s'enfoncerait directement jusqu'à la gorge au lieu de lui accorder deux trois aller retour avant d'y aller. Restait à savoir si elle allait parvenir à supporter cette gorge profonde.

Heinart
C'est partie pour l'aventure !  [Heinart] - Page 3 EmptyVen 14 Juil - 9:43



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Clarissa Lacroix

Messages : 29
Date d'inscription : 27/07/2022
MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La petite demoiselle se remet doucement de se qu'elle venait de ressentir, non pas un seul orgasme, mais plusieurs. Une découverte des plus étrange et non pas moins agréable il lui fallait bien le reconnaître. Durant un petit moment, Clarissa avait pue oublier ou elle se trouvait et dans quelle condition. Bien qu'elle ne dise rien comme ce devait de faire une esclave, son regard n'en perd pas une miette, voyant les mains de Blattella parcourir son corps cherchant à soulager des envies nées durant la leçon. Puis se furent la douceurs des lèvres que la jeune esclave sent par la suite, transformant un baiser en une danse qui lui en fit perdre le souffle durant de longue et tendre minute. Les langues joue et danse dans la bouche de l'une puis de l'autre. Toute essoufflé à la fin de celui-ci, alors qu'il est rompue par Blattella qui lui annonce que pour elle se sera un supplice d'attendre la prochaine rencontre. Clari' vient lui rendre un léger sourire bien que le rouge inonde ses joues comme une gamine ... Bien que le reste de la phrase la fasse grimacer plus qu'autre chose, c'est pas que vomir la dérange, mais ce n'est pas des plus agréable, surtout qu'elle n'a pas grand chose dans l'estomac ses dernier temps. D'ailleurs à l'annonce de la nourriture, son estomac vient gronder son mécontentement comme jamais il n'avait osé le faire.

Clarissa la suit du regard tandis qu'elle se baisse pour ramasser la ceinture avant de partir dans la chambre, n'entendant que la voix qui semble contente que la nouvelle esclave commence a comprendre sa situation. Cela ne dure guère longtemps et on la voit rapidement reparaître pour ranger la ceinture. Bien sûr que tout ça a fait naître dans sa petite tête des centaines de questions, dont celle qui lui brûle le plus les lèvres pourquoi donc faudrait il qu'elle attende la prochaine rencontre ? Ce qui fait naître la seconde, était-elle libre d'avoir des relations ou bien c'était au bon désir du maître ? L'esclave l'observe un moment, les questions pouvait transparaître dans ses yeux et pourtant, elle garde le silence alors que Blattella enchaine sur la suite des événements, lui rappelant que d'une certaine manière son temps était compté, qu'il lui fallait apprendre rapidement ... Sinon, c'est son corps qui ne le supporterait pas. Mais la jeune demoiselle fut surprise par la prise de parole suivante, baissant légèrement la tête à tout ça. Pour être honnête avec elle-même, ce serait dur de jugé les autres personne en se lieux, un lieux qui rassemble tout ceux que l'humanité à rejeter, ou bien qui finirait dans des laboratoires. Oui, Clari' à eu pas mal de temps pour réfléchir à tout cela et même si elle le refuse, ne voulant pas l'admettre ... Une partie d'elle était assez compréhensive du comportement de son Maître. Quand on a passé sa vie a étudier les créatures, on comprend rapidement que l'équilibre même de la nature repose sur la notions de force et de faible, de prédateur et de proie ... Et elle, est devenue la proie de son maître qui est son prédateur.

Malgré tout, le reste des paroles de la femme aveugle ne sont pas tombé au oubliette, elle la trouve belle et mignonne. Comprenant aussi que les prochaine fois seront certainement moins a sens unique, qu'il lui faudrait rendre le plaisir qu'elle reçoit, à cela, elle hoche la tête alors que les lèvres l'une de l'autre sont prêtes à s'embrasser, s'effleurant avec une certaine excitation. La petite esclave fut de nouveau seule avec ses pensées alors que Blattella part chercher de la soupe. La jeune chercheuse ne tarde pas a plonger dans ses pensées, y trouvant un refuge, une certaine sécurité mentale. Elle a tout d'abord une pensée pour ses parents qu'elle avait eu en Visio juste avant l'attaque du camps, puis sa sœur qu'elle n'avait pas pue voir avant son départ, se disant que si elle avait sue, oui elle aurait sans doute essayé de passé plus de temps avec elle ... Puis la vision de Blattella s'impose a elle, lui disant que c'était mieux de toute oublier de son passé ... Mais n'est ce pas le passé qui fait ce que l'on est ? Ce sont ses années d'études qui font d'elle une chercheuse et sa passion pour les histoires de familles qui on peint sa voie ... ainsi que son avenir d'une certaine manière. Esclave de sans doute la plus puissante des créature mythique.

Clarissa sursaute fortement quand la femme revient avec une carafe de soupe et un tabouret assez haut pour lui permettre de boire sans devoir tenir la carafe. Là ou l'esclave s'attendait au bouillon de poisson pour les esclaves, les yeux s'écarquille quand elle sent le gout prononcé du poulet. Oh, une soupe n'avait jamais était aussi bonne que celle-ci ! Il ne fallut pas lui demander deux fois de la terminer qu'elle garder la paille fermement entre ses dent pour la dévorer, puis ses yeux se posent sur Blattella la voyant affairé sur le canapé. Une question lui brule les lèvres, ouvrant la bouche pour parler mais l'avertissement la refroidit directement, le temps des questions n'était plus, pour le moment. C'est quelques qui allait-être compliquer a faire taire chez elle alors qu'une chercheuse se caractérise par sa curiosité sans fin. Sachant que par dessus cela, la petite pouvait se montrer têtue car elle ne put s'empêcher l'autorité pour parler.

- N'avez vous pas le droit de vous soulager avec une autres perso- Aah !!

Couinant de douleur au coup de cravache en sentant ses muscle se crispé à la morsure du cuir sur sa peau avant de baisser la tête en guise en soumission. Puis juste après car son repas avait rapidement été engloutie, la chercheuse lève le nez pour la regarder partir pour la laisser se reposer. Pour le coup, elle se demande comment on peut réussir a dormir dans cette position, suspendue avec les bras et la tête bloquer dans le pilori de bois. Pour elle, c'est impossible, elle allait passer la nuit seule a ressasser ses pensées ...

D'un coup, elle sursaute d'une claque sur les fesses la faisant couiner et s'agiter, essayant de comprendre ou elle se trouve et ce qui se passe, dévoilant un regard craintive, apeuré et perdue. Avant qu'elle ne réalise que c'était Blattella et enfin, qu'elle s'était endormie comme une masse, tellement fatigué que peut importe la posture, le sommeil l'avait trouvé. Clarissa sembla avoir du mal a s'éveiller et se met à rougir en réalisant qu'elle va devoir uriné dans un seau et là, c'est comme si tout était bloqué, impossible de réussir à se détendre assez pour ça et c'est dans un couinement de douleur qu'elle finit par faire pipi alors que la femme vient de pincer une zone précise et sensible de sa fleur. Par la suite, quand Blattella y fait allusion ... Oui, elle la ressentait, l'Aura écrasante de son Maître et la peur vient l'étreindre de nouveau, le père des monstre la terrorisé complétement. Alors qu'elle essaie de se remémorer la leçon, mais comme lors d'un examen, toute les réponses semblent la fuir alors que Blattella se retire pour laisser la place au Maître peu après.

La petite esclave observe son maître entrer avant de prendre place sur le canapée, restant silencieuse ... De toute façon, sa gorge est bien trop noué pour osée dire quoique se soit. Mais les première parole de celui-ci furent un choc ... Sa sœur ? Vraiment ? Elle avait vraiment entamé un voyage pour la retrouver ? Si un soupçon d'espoir venait d'apparaître dans son regard après la surprise, puis se fut la crainte quant il vient a parler du comité d'accueil. Si l'esclave semble pensive, elle encaisse la nouvelle, craignant fortement pour sa sœur, surtout que son Maître semble avoir des vue sur elle désormais. D'un coup, elle ouvre la bouche pour tenté de s'injurier, voulant qu'il laisse Azalé tranquille, mais sa bouche reste ouverte dans un crie silencieux quand il s'approche et faisant pousser ses croc. Là, la jeune chercheuse sent son corps entier frissonner, anticiper la morsure avec impatience et même si elle essaie de se dire que ce n'est pas bien ... En réalité, même son esprit ressent un effet de manque et d'excitation à la vue des crocs. L'esclave sent son maître lui lever la jambe pour l'y mordre et là, c'est la jouissance instantané, son esprit n'arrive plus à suivre alors qu'elle lâche un long crie de plaisir qui se termine en gémissement de plaisir, durant se moment aussi plaisant, elle n'avait de cesse que de voir sa sœur envahir ses pensées, ne pouvant s'empêcher de se dire qu'il ne fallait pas partir à sa recherche ... Pourquoi son Maître s'intéresse autant à sa famille ?

Clari' ne réalise pas qu'une question et posé alors que son Maître se place devant elle en libérant sa lance de chair sous ses yeux apeuré. Levant les yeux vers lui pour ne le réaliser que trop tard, alors que la claque fuse sur sa croute pour la marquer d'une trace de main. La violence du coup venant la faire s'agiter en lâchant un crie de douleur, sentant clairement les lien ceinturant son ventre se serrer un peu plus.

- ... Non, maître. J'aurais préféré que vous laissiez ma fa, famille tranquille ...

Sa gorge se noue, sachant pertinemment que dire la vérité est une mauvaise idée. A raison car juste après, il vient prendre possession de sa bouche, enfonçant son glaive jusqu'au fond de sa gorge d'un coup, lui donnant des haut de cœur. La petite chercheuse manque de s'étouffer sur le moment, mais elle tient bon et d'un coup, étrangement, toute les leçons lui reviennent à l'esprit et elle commence a sucer la verge de son Maître comme le lui a apprit Blattella, venant en même temps l'humidifier de sa salive, bien que pour le moment, cela ne soit pas son objectif principale. Car sans vraiment savoir pourquoi, Clari' a une pensée pour les gens de l'usine, se disant que de son application dépendait peut être plus de chose qu'on pourrait le croire et cela pour même le surprendre Lui, de voir l'application de la petite esclave, elle se donne du mal pour bien faire. Même si elle a les larmes au yeux alors que la verge se montre bien plus dur a encaisser qu'un gode, mais elle n'a pas vraiment le choix ... Elle devait faire plaisir a son Maître, il en allait de sa survit.
Clarissa Lacroix
C'est partie pour l'aventure !  [Heinart] - Page 3 EmptyMar 8 Aoû - 21:31



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Heinart

Messages : 37
Date d'inscription : 14/08/2022
MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Elle avait bien des raisons de le craindre, ne pas le faire était davantage le signe de son absence que de sa présence. Naturellement, la proie savait qui était le prédateur, qu'elle devait se méfier de lui et malgré cette réalité immuable elle n'avait d'autre choix que de le servir. Incapable de fuir, d'échapper à son emprise, elle ne pouvait que le subir, mais on lui donnait une chance d'apprendre à le faire. Ainsi, elle augmentait ses chances de survies, mais pas uniquement, cela améliorerait aussi son confort, si l'on pouvait le désigner ainsi. Elle souffrirait moins, mais elle serait toujours présente, impossible de la faire disparaître avec un tel être comme maître. Il se jouait de ses émotions, de son ressenti, se fichait de son avis, de ses désirs, il en faisait simplement ce qu'il voulait sans se soucier le moindre instant de ce qu'elle pouvait vouloir ou non. C'était le privilège du fort, du puissant, du prédateur Alpha qu'il était.

Il lui annonçait l'initiative de sa sœur, sa bêtise, se jeter ainsi dans la gueule du loup de la même façon qu'il avait envie de prendre possession de celle de l'esclave. Elle le savait, sa sœur faisait une grossière erreur, elle avait peur pour elle et elle avait bien raison. Cependant, le Père de la Nuit aimait cette initiative, une nouvelle proie, l'armée de mercenaire avec elle fera des cibles de choix, un combat intéressant, un entraînement pour ses rejetons trop habitués à des cibles faciles.

Cela lui donnait soif, une faim qui devrait pousser la proie à avoir peur et à le fuir. Pourtant, son corps prisonnier n'aurait pas pu reculer même libéré de ses entraves, car il avait sur elle une emprise plus puissante que n'importe quelle chaîne. Le désir, elle en avait envie, elle ne pouvait y résister, s'y soustraire, comme les drogués, ils avaient beau savoir que ce n'était pas bien, que c'était dangereux voir même mortel. Ils pouvaient vendre père et mère pour l'obtenir si on les privait trop longtemps de la source de leur addiction et il lui avait imposé une drogue dont il était la seule source. Comment échapper à quelqu'un ayant autant d'emprise sur soit ? Impossible, elle avait beau avoir peur, les frissons qui la parcourait rendait la lutte futile et lorsque ses crocs se fermaient sur sa chaire, elle ne put que se délecter du plaisir ressenti. Son corps était soulagé, elle avait reçu ce qu'elle craignait, pourtant, elle aimait cela, l'aimait et le haïssait. Dire que bientôt elle fermera elle-même les fers autour d'elle dans l'espoir d'être à nouveau goûté de la sorte. Un flot de délice rentre dans sa gorge, elle était si bonne, si appétissante, comment ne pas se demander si sa sœur avait un goût similaire ? Ainsi, il en aurait deux fois plus, cela le mettait en joie et l'esclave en tremblait de plaisir. Elle en était déjà au point de jouir sous ses crocs, pauvre proie qui viendra à quémander d'être mangé.

Néanmoins, il ne s'attardait pas davantage, il demandait plutôt si elle était heureuse d'apprendre l'arrivé d'un autre membre de sa famille maudite. Visiblement, elle ne l'avait pas entendu ou avait oublié à quel point il était important de lui répondre rapidement et il dû sévir d'une claque retentissante. Elle n'était sans doute même pas redescendu de l'orgasme ressenti, c'était fort possible, mais lui en avait rien à foutre, il était la priorité absolu en toute circonstance. Sa virilité devenant plus dure, se dressant sous le désir et le plaisir ressenti en la mordant, il vint s'enfoncer dans sa bouche sans ménagement. La petite sotte aurait pu éviter un traitement aussi direct si seulement elle faisait preuve de plus de jugeote, mais voilà qu'elle se montrait honnête. Bientôt, elle se mettra à souhaiter que son maître ait davantage de jouer, mais pour le moment elle préférait qu'il laisse sa famille tranquille. Mauvais idée, la sentence tombait et il ne voyait plus que la base de sa queue, car le reste était planté en elle. Soupirant d'aise sous l'aspiration de la gorge, il fut étonné de ne pas la voir vomir sous sa possession brutal, pire, elle humidifiait sa verge, léchait et même le suçait. Blattella était vraiment douée, c'était sa pensée, mais jusqu'à où sera-t-elle capable d'aller ? Là était la question et il en aurait rapidement la réponse. Pour se faire, il lui suffisait de reculer et rentrer à nouveau sans pitié. Elle avalait sa queue, luttait contre les hauts le cœur, subissait sa fougue tout en étant trempée entre ses cuisses. Obligé, il venait de la mordre et son corps en était encore tout retournée. Plusieurs aller retour était déjà survenu alors qu'il s'arrêtait au fond de sa gorge, bloquant ainsi la position le temps de s'adresser à elle de sa sinistre voix :

- Blattella ta bien formée, je vais l'autoriser à poursuivre, il me tarde de découvrir ce dont tu es capable. Néanmoins, on dirait qu'il te reste des tas de choses à apprendre, autant sur la façon de donner du plaisir que sur ton rôle d'esclave.

Il reculait d'un coup et passait ses mains sous elle pour venir écraser sa poitrine sous sa prise ferme. La malaxant avec une force ne pouvant être agréable, douloureuse à souhait, pinçant ses tétons, les faisant vriller avant de s'enfoncer encore une fois en elle et reprendre la parole en ne cessant rien de ses assauts :

- Tu ferais mieux d'apprendre vite, il faudra que tu enseignes à ta sœur comment se comporter si tu ne veux pas la voir se faire dévorer par mes soins. Si son sang est aussi délicieux que le tiens, je pourrais faire d'elle ma cave à sang personnelle, mais cette pute n'est plus vierge, donc autant en faire une petite pondeuse à esclave haha...

Il en avait ricané, parlant d'enfant arraché à leur mère pour en faire des esclaves comme elle le serait devenu. L'image d'une sœur réduite à un tel rôle, personne et encore moins un membre de la famille ne pourrait le souhaiter. Pourtant, il ne mentait pas, l'esclave devait le savoir à présent, il n'avait pas besoin de mentir. Il relâchait la poitrine ensuite pour littéralement lui baiser la gueule, ses doigts refermés sur son visage pour la bloquer parfaitement dans sa position lui permettant de l'assaillir sans ménagement. Il se servait d'elle sans scrupule, mais il lui en fallait tellement pour se libérer, elle ne reçu guère une douche de semence, pas encore, malgré les minutes à être possédé par le Monstre. Il reculait à nouveau, contemplant l'état dans lequel il avait du la mettre avant de commencer à faire le tour de son corps. Néanmoins, il ne la prenait pas de suite, à la place il vint prendre un chapelet dans l'armoire et une boîte. Il en sortait une sorte de ventouse qu'il reliait avec un câble à une sorte de batterie. Allait-elle deviner ce qui l'attendait ? Possible, mais peu probable se disait-il sans vraiment s'y intéresser, il s'amusait davantage de l'imagination qu'il pouvait avoir. Allait-elle se dandiner comme une chienne en subissant tout cela ? Il plaçait la ventouse au niveau de la perle et fit plusieurs tours avec ce qui permettait d'aspirer l'air à l'intérieur. Rien que cela devait être suffisant pour déjà la mettre dans une situation peu confortable et inquiétante. Sa fleur se retrouvait exposé comme rarement, son bourgeon aspiré si fort qu'on le voyait tendu comme un téton durci par le plaisir. Cependant, lorsqu'il activait la batterie, les décharges continues envoyés directement sur la perle allait être aussi douloureuses que délicieuses. Comme si l'on l'obligeait à devenir ultra sensible, éprouvant une grande douleur dont elle savait la finalité incroyablement agréable. La boule dans son ventre allait enfler à une vitesse dingue et il aggravait son cas en passant le chapelet sur la fente intime, une unique fois pour en récolté le lubrifiant naturel avant d'enfoncer la première boule du chapelet dans le petit cul. Le premier et plus petit était déjà plus gros qu'une verge humaine, le Monstre monté à l'égale de son image était bien plus difficile à encaisser, mais le suivant mettrait déjà sa chaire à rude épreuve pour rentrer. Pourtant, il ne vint pas de suite, il laissait le premier jouer son rôle, le faisant un peu bouger, jouant avec la ventouse pour accroître ou diminuer la pression. Tout cela dans le but de la faire jouir et probablement dans un hurlement impitoyable. Elle n'aurait même pas le temps de se calmer de l'orgasme qu'il faisait entrer le suivant. C'était à ce moment là qu'il ricanait en lui annonçant le nombre qu'il restait et la raison de tout ceux-ci :

- Je n'en suis qu'à deux, il en reste quatre, tous plus gros et c'est aussi le nombre de fois que tu vas jouir comme la putain salope que tu es en réalité. Une vierge ayant des orgasmes lorsqu'on lui enfonce des boules dans le cul, bonne esclave...

Il recommençait à jouer avec la boule, la ventouse, l'obligeant à éprouver un plaisir malsain dans la douleur, un orgasme dans la souffrance en utilisant davantage l'alchimie du corps que la raison. C'était cela, il rendait docile le corps de l'esclave, lui apprenait son rôle et même d'une certaine façon comment aimer le servir de la sorte. Il n'était pas souvent ainsi, mais elle avait été assez bête pour lui dire qu'elle préférait qu'il épargne sa famille, il allait lui montrer à quel point son avis n'a pas d'importance et qu'elle faisait mieux de rapidement prendre son partie. Après tout, il restait quatre boule et cinq orgasmes à avoir. Cependant, il n'avait jamais dit que ce serait terminé ensuite, il n'avait pas fini lui.

Chapelet
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Clarissa subissait les conséquence de sa réponse pour sa sœur, se retrouvant forcé à avaler la verge de son maître jusqu'au plus profond de sa gorge et ce, peut importe les haut de cœur ou les envie de vomir. Heureusement pour la petite esclave, les leçon de la journée revinrent vite en mémoire, venant peut être même surprendre son maître au vue de la remarque de permettre à Blattella de continuer le travail. Bien qu'elle ne peut s'empêcher de lâcher un gémissement quand il vient lui attraper la poitrine pour la malaxer avec une certaine fermeté. Clari' sent les assaut du père de monstre sur sa poitrine continuer alors qu'il lui annonce qu'elle devrait se dépêcher d'apprendre afin de le faire a son tour avec sa sœur. Ce qui la fait écarquillé les yeux d'horreur avant de lâcher un long gémissement de douleur, sentant ses tétons être vrillé et tordue dans tout les sens ... Elle ne pouvait rien faire pour l'empêcher, la demoiselle est devenue sa chose, sans qu'elle ne puisse résister. Sur l'instant, l'imagination débordante de la demoiselle fut tirailler entre les possibilité. Qu'est ce qui était le mieux ? Devenir comme elle, ou une pondeuse ? ... Mais la petite esclave ne put se résoudre à faire pencher la balance de se dilemme, ne voulant rien de tout cela pour sa sœur.

Elle n'eut pas le loisir d'y penser plus que cela, vue qu'il ne relâche la poitrine que pour saisir son visage, l'obligeant à avaler de nouveau l'entièreté de la lance de chair. La jeune chercheuse dut utiliser toute sa volonté pour ne pas céder au haut de cœur et vomir le peu qu'elle avait dans l'estomac. Laissant son maître la posséder durant un temps qu'il lui paraît interminable sans pour autant qu'il ne se libère encore. L'esclave commençait à bien le connaître, il lui en fallait plus pour être satisfait ... bien plus. La demoiselle savait pertinemment qu'elle allait encore souffrir un long moment. Durant se moment, tout son corps, ses muscles sont contractés, laissant des larmes silencieuse rouler doucement sur ses joues, de petites perles que son maîtres n'avait pas put rater.

Quand enfin, il finit par la relâcher, Clarissa prit une grande bouffé d'air, pouvant respirer librement de nouveau. Mais soudainement, une sueur froide vient lui parcourir le long de l'échine alors qu'elle le voit s'éloigner pour prendre deux objets dans un tiroir, lui donnant un puissant frisson de terreur, sachant que c'était une nouvelle torture pour elle, avant même de voir ce que sont les objets en question. Tout ce passe trop vite, le temps voire les objets, de le réaliser et d'essayer d'imaginer ... Son maître venait installer quelques chose qu'elle avait du mal à voir, alors qu'il le placer sur sa petite perle. Elle retient de justesse un hoquet de surprise alors qu'elle ressent son bourgeon être tiré, exposer. La jeune femme commence à se dandiner, très mal à l'aise, gémissant doucement, mais elle ne se doute pas que le pire et à venir. Quand la douleur du courent continue vient l'assaillir, un choc électrique continue sur sa zone sensible, juste assez pour être douloureux, mais pas dangereux. L'esclave personnelle vient crier et se débattre pour résister à cette douleur, mais rien n'y fait bien sur, elle est impuissante. Malheureusement pour elle, son corps lui réagit contre elle, éprouvant une certaine excitation à être ainsi stimulé. Levant les yeux sur son tortionnaire, Clari' comprend très clairement que ce n'était que le début, la préparation ... Cela se confirme quand elle sent un objet passer sur sa fente, se qui la fait frissonner. Son expression faciale change du tout au tout, alors qu'elle passe de la résignation, à l'expression de terreur et de surprise quand la première boule entre dans son anus.

La petite esclave n'eut pas le temps d'encaisser la pénétration qu'elle le sent jouer avec, modifiant la pression exercé sur sa perle, la faisant crier et gémir, de plaisir ? De Douleur ? Difficile à dire, mais c'était très certainement les deux en même temps. Cependant son maître pouvait remarquer une chose, dans cette complainte de douleur, elle n'a pas une fois imploré. Ayant simplement subit, sachant qu'elle ne pouvait pas y échapper. C'est dans ses moment là, que lui reviennent certaine phrase que lui avait dit Blattella, la seule qui s'était montré gentille avec elle. Après un moment à gémir et crier, la jeune fille se sent vaciller, remontant les jambes vers son corps qui se contracte violemment avant de se lâcher dans un orgasme, la faisant se balancer à cause de la ceinture de câble la maintenant en place. La chercheuse est encore loin, essayant de se remettre de se moment intense alors que son maître lui insère déjà la seconde boule, la faisant crier de surprise et de douleur alors que les chair de son anus son forcé de se dilater pour accueillir un peu plus l'objet en elle.

Puis, il vient lui dire qu'il en a encore quatre et qu'il y a tout autant d'orgasme qui viendra avec. la petite esclave hoquet d'effroi alors que son maître revient à l'assaut, jouant des boule en elle ainsi que sa perle exposé, cette fois il ne lui faut que deux fois moins de temps pour la faire craquer dans un crie larmoyant qui aurait pue faire vaciller même les personnes les plus endurcie ... Seulement, son maître est un véritable monstre. La troisième boule, plus grosse entre pourtant tout aussi vite en elle, dans un gémissement de douleur, les larmes ruisselle sur ses joues alors qu'elle se mord la lèvres inferieur au sang pour retenir les sanglot les plus gros.

Pour les deux dernière boule du chapelet, il ne faut guère plus de quelques seconde à son maître pour la faire craquer dans un orgasme tellement son corps est devenue sensible. Comme elle ne comprend pas qui lui arrive, la jeune fille est en panique complet alors qu'elle ne demande ce que son maître lui réserve par la suite, son corps ne pouvait s'empêcher de trembler tellement il est sensible, la moindre caresse sur sa peau en sueur pouvait provoquer des frisson de plaisir. Les larmes roulant abondement sur son visage, ne pouvant les en empêcher, sachant que cela ne procurait que plus de plaisir à son monstre de Maître. L'esclave à toute les peine du monde à essayer de se calmer après les cinq orgasme à la suite, ne laissant plus que l'anneau du chapelet sortir de son anus. Son imagination fertile ne l'aidant absolument pas à se calmer alors qu'elle imagine ce que serait la suite, car elle le sait, son tortionnaire est loin d'en avoir finit avec elle ... Une image fugace vient pourtant la perturber encore plus que tout cela. Celle de l'image de sa sœur entre les griffe de se monstre ... Bien qu'elle aimerait la prévenir de ne pas venir, ne pas poser le pieds sur cette saloperie de continent ... L'esclave sait pertinemment aussi qu'elle est impuissante, ne pouvant strictement rien y faire. Sauf peut être prier que sa Azalé en réchappe.

Puis elle lève un regard sur son Maître qui semble prêt pour la suite.
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Le jeu impitoyable poursuivait son chemin, obligeant la pauvre esclave à jouir de la plus ignoble des façons sous l'amusement d'un monstre cruel et sans pitié. Encore vierge, elle apprenait à la violence des orgasmes à répétition sans même subir une pénétration ordinaire, non, il lui faisait entrer un chapelet dans le cul tout en lui envoyant des décharges dans la perle étiré par l'aspiration. Jouant avec les deux objets à sa disposition, elle enchaînait les orgasmes à chaque boule jusqu'à atteindre la dernière.

Le corps de la petite tremblait, devenu si sensible, ses doigts froids ne pouvaient s'empêcher de glisser sur la peau de ce corps chaud et en sueur. Tremblant alors davantage, les frissons parcourant son corps frêle avec abondance et le tout toujours encore suspendu. Livré à son maître comme une pièce de viande déjà bien cuite et dont il pouvait disposer à sa convenance et en quantité à volonté. Il ne s'en privait clairement pas et alors qu'elle se croyait peut être le droit à souffler, il ne lui autorisait pas. Que cela soit ses caresses glacés ou carrément les décharges qui ne cessèrent nullement, il en rajoutait une couche en se redressant et lui présentant sa verge aux lèvres. Ses mains délaissaient le corps pour tirer ses cheveux davantage en arrière et profiter de la grimasse de douleur pour y glisser sa poutre sans retenu. Des coups de buttoir directement dans sa bouche, s'enfonçant jusqu'à la gorge sans vergogne alors qu'il passait la main sur la batterie pour en augmenter le voltage et profiter de la détresse de l'esclave. En effet, elle allait hurler et le faire la bouche pleine.

Le tout continuait un moment, la perle avait tellement enflé qu'elle avait triplé de volume en se gorgeant de sang. Autant dire que le supplice était invivable, elle avait sans doute fini par s'uriner dessus, heureusement que la pompe était bien faite et aspirait rapidement le liquide ou les décharges auraient pris une tout autre ampleur. Enfin, cela n'avait pas empêché ses derniers de devenir plus redoutable ensuite. Le monstre n'en avait que faire, il avait violé la bouche de l'esclave quitte à lui déboîter la mâchoire, il ne lui avait laissé qu'un seul moment, quelque seconde où il avait reculé et ou il s'était servi de sa verge pour lui mettre des sortes de claque à la figure. La seule raison derrière cela était l'amusement, pour l'esclave c'était un moment où elle pouvait respirer convenablement, mais le tout sous les décharges abominables et il devenait clairement impossible de définir combien d'orgasme elle avait subit. Elle avait sans doute perdu un moment connaissance, mais cela ne lui avait seulement permis de perdre toute notion du temps, car à son réveil il était toujours encore entrain de lui violer la gueule sous les décharges et elle n'avait pu que constater que l'orgasme l'attendait au tournant. Il avait poursuivi jusqu'à lui remplir la gorge de sa semence épaisse et en partie le visage en se retirant. Elle était en sueur, en pleur, souillé par l'urine, en orgasme constant et le visage avec ses cheveux pleine de semence.

Le calvaire aurait pu s'arrêter là, cela aurait dû, c'était peut-être une hallucination, mais elle avait pu voir dans un coin d'ombre Blattella l'observant en silence, mais l'instant d'après plus rien. Elle fut déconcentré par le chapelet qui avait été retiré d'un coup, provoquant un incident impossible à arrêter dans ce genre de circonstances et qui devait en rajouter à sa honte. Elle venait de se chier dessus... L'anus totalement dilaté et le fait de retirer d'un coup un tel objet ne pouvait que provoquer ce genre d'incident et encore davantage avec un corps plongé dans une telle trans. Son petit cul était encore tout ouvert qu'il était rentré dedans sans vergogne, provoquant sans doute des hurlements d'agonies épouvantables pour d'autre, mais si plaisant pour lui. Il avait attrapé sa ceinture en passant et la passait à présent autour du cou de la petite dans le seul but de l'étrangler avec tout en la violent sans limite. Augmentant encore l'intensité des décharges, pour la petite, ce fut le black out total et absolu. Une vision devenu noir d'un seul coup, mais qui ne l'empêchait de continuer à vivre et ressentir ce qu'il faisait ou alors il s'agissait d'un cauchemar qu'elle avait imaginé d'elle-même sous la terreur qui l'avait précédé.

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Lorsqu'elle se réveillerait, il n'y avait plus de maître, elle pouvait sentir son cul dans un état affreux, sans doute déchiré et dégoulinant d'un mélange de semence et de sang. Sa perle avait été libéré de la ventouse, mais elle était si sensible qu'à l'instant où elle ouvrait les yeux un nouvel orgasme l'avait prise. Le Roi de la nuit avait ouvert la fenêtre, peut être simplement pour l'odeur ou alors c'était pour faire entrer l'air fraîche qui en l'état chaque caresse provoquait une litanie de plaisir et de souffrance à sa perle toujours encore de taille inquiétante. Combien de fois avait-elle joui toute seule et suspendu dans le vide avant de sombrer à nouveau dans l'inconscience ? Sans doute les doigts d'une main. A son prochain réveil, la fenêtre était fermée, sa perle avait repris une taille ordinaire, mais demeurait tendu et terriblement sensible. Le sol fut lavé, mais pas son corps, demeurant souillé de semences et d'autres. Si elle tentait le moindre mouvement, la douleur se rappellerait à elle d'une façon tellement violente qu'elle risquait de n'oser le faire à nouveau. Elle était seule, personne n'était avec elle et qu'elle s'endorme à nouveau ou reste consciente, Blattella faisait son heureux retour une petite heure plus tard. Le soleil pleinement levé, elle avait ouvert les fenêtre et les volés pour permettre un bain de soleil salvateur. Approchant la suppliciée de son pas léger et élégant en lui souriant légèrement. Face à elle, posant un genou à terre pour se mettre à sa hauteur, ses doigts vinrent effleurer sa joue avec une telle délicatesse. C'était comme un signal pour lui faire comprendre que c'était bon, elle était en sécurité et le corps ainsi que l'esprit risquait de craquer immédiatement. Comme réaliser qu'on venait d'échapper à la mort, l'adrénaline retombant, les larmes tombant sans comprendre, la rupture de l'esprit sans équivoque ou possibilité de le retenir. La pauvre petite risquait de le subir à cet instant précis et si c'était bien le cas, cette fois, Blattella se redresserait faisait descendre l'esclave jusqu'à ce qu'elle puisse se mettre à genoux au sol. Puis, elle libérait un à un chaque corde, chaque détail qui la restreignait sans rien dire, mais avec une certaine rapidité, comme si elle était pressé et à peine fut-elle aussi libre que possible dans ce monde qu'elle vint la ramener contre sa poitrine. Son visage enfoncé dans la vallée au cœur des monts, une main ceinturant le de son dos pour la garder totalement blotti contre la Femme, son autre main caressant délicatement ses cheveux, cherchant à lui permettre de retrouver un semblant de calme et paix intérieur. Difficile, le corps était tellement meurtri que seulement respirer était douloureux, pourtant dans tout cela Blattella parvenait à apporter de la douceur et du réconfort sans douleur. Une simple phrase échappait à ses lèvres, si sensuel et délicat à la fois :

- Je suis là.

Voilà tout, mais c'était sans doute suffisant lorsque c'était accompagné de tels gestes d'amour. Pour le pauvre esprit brisé, une amante ne pourrait être aussi douce envers son aimé et pourtant elle y parvenait.

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