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C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]

Clarissa Lacroix

Messages : 29
Date d'inscription : 27/07/2022
MessageSujet: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
C'était le début de l'aventure, de la découverte ! Enfin la jeune Clarissa allait pouvoir commencer ses recherches sur le terrain, le vrai ! Dans le monde infesté dont-elle avait entendue parler, hors des frontière de la Jurisprudence. Même si tous s'accordait à dire que, dehors c'était l'enfer sur terre avec des zombie, et autres monstruosité. Elle, s'en fichait, tout cela la passionné et elle voulait voir ces monstre de plus près, dans leurs habitats naturelle ! En plus, elle pourrait bien découvrir des chose pour aidé a endigué enfin, le virus qui zombifié tout le monde. Elle deviendrait célèbre, et la famille des Lacroix reviendrait sur le devant de la scène, comme des sauveur ! Enfin, la demoiselle sort de sa rêverie, le sourie béat au lèvre alors qu'elle termine de faire sa valise, emmenant des vêtement et quelques effet personnelle avec elle. Clari' finit par s'asseoir sur la valise pour la fermer, peut être aurait elle du prendre la taille au dessus ? Bref, c'était sans importance, elle ferme sa fermeture éclair avec difficulté, puis elle retourne a son bureau plein de dossier et de livre sur la mythologie et autre créature, nombre d'ouvrage n'avait pas été retranscrit en numérique et ... Elle était du genre a accumulé, si bien que, a part elle, personne ne pouvait se retrouver dans se bordel organisé. Avec le sourire, l'euphorie de cette aventure, elle prépare une plusieurs dossier qu'elle range dans une pochette, puis dans un sac, ou elle y place également un ordinateur portable et une tablette numérique. C'était du matérielle de pointe fournie par la jurisprudence. Elle met le tout dans le sac et le met sur son épaule avant de prendre la valise pour se précipité hors de la chambre qui se trouvait au sein de l'université.

Elle crie de retenir l'ascenseur le temps qu'elle arrive, puis entre dedans, pleine d'énergie et un grand sourire sur son visage, appuyant sur le bouton du dernière étage ... au grand dam du reste des gens qui voulait descendre. Elle salue ses collègues de travaille, elle était vêtue comme a son habitude, un jeans, et un T-shirt avec un imprimé d'un loup-garou dessus, une blouse blanche par dessus et une veste en cuir sous le bras.

Une fois arrivée au dernière étage elle sort rapidement de l'ascenseur sous le regard intrigué de ses collègues qui pour eux, revenaient plus a une punition que de partir sur le terrain. Elle arrive sur la piste de décollage ou l'hélicoptère semble déjà prêt a prendre son envole, un soldat de la Jurisprudence vient a sa rencontre, lui demandant si elle est bien le professeur Lacroix.

- Oui, c'est bien moi, je suis prête à partir, on peut y aller messieurs.

L'exaltation du voyage se voyait clairement sur ses trait, elle avait toujours eu un visage très expressif, pour pouvait y lire ses émotions comme dans un livre ouvert. Le soldat prend la valise pour la mettre dans l'appareil tandis qu'elle-même monte dedans, plaçant son sac entre ses jambes avant de s'attacher, puis se fut le décollage. Elle ne pouvait s'empêcher de sourire en regardant partout, le soldat annonça qu'il allait voler jusqu'à l'aéroport, de là, ils allaient prendre l'avion pour se rendre au camp de base avancé qui se situé dans les ancienne terre des état-uni, Hochant la tête, elle profita du temps de vol qui fut assez court pour sortir son smartphone, haute technologie, comme le reste de ses affaire. L'université payait plutôt bien il faut dire en plus de nourrir et loger ses chercheurs. Elle observe son fond d'écran un moment, une image d'un griffon, une autre créature mythique. Puis elle va sur ses message et envoie un message a ses parents comme quoi, ça y est, elle était partie, qu'elle les tiendraient au courant.

Une fois à l'aéroport, un avion de type militaire les attendaient, toujours souriante, elle fut tout de même très intimidé part tout cela, elle se rendait compte que ce n'était pas une petite expédition, mais cela ne fit qu'agrandir son sourire. Elle monte dans l'avion avant de s'installer, la, on lui dit qu'ils arriveraient au camp de base avancé de Louisiane que dans plusieurs heures. Clarissa décide se plonger dans un de ses livre de contes et légendes, elle n'eut pas vraiment le temps de lire tout le livre car, une fois l'excitation passé, remplacé par l'inaction et l'attente. La fatigue la rattrape, en même temps, elle n'avait pas réussie a fermer l'œil de la nuit ... C'est ainsi qu'elle passa presque tout le voyage jusqu'au camp de recherche, a dormir, la tête posé sur l'épaule du soldat qui l'accompagner, un peu de bave sur les commissure de ses lèvres.

La jeune chercheuse fut réveiller par l'atterrissage de l'avion qui la fit sursauter sous le regard amuser du soldat qui annonce qu'ils sont arrivé. A peine les porte de l'appareil s'ouvre qu'elle se précipite dehors, de nouveau toute excité par la découverte, l'Amérique, un continent qu'elle ne connaissait que des livres, le pays qui étais passé de première puissance mondiale a … éradiqué en aussi peu de temps que celui de dire, Oups ! Elle sent tout de suite le climat, bien plus lourd que chez elle, a Paris. Puis elle regarde autour d'elle, des tentes militaire de la Jurisprudence et des Préfabriqué installé pour que tout soit parfaitement en ordre. Là, elle fut accueillie par un de ses confrère chercheur, un homme de la cinquantaine qui semblait plus exaspérer par son arrivée qu'autre chose, il se demandait pourquoi on lui envoyait une si jeune personne en guise de soutient pour ses recherches … Mais il en fallait plus pour la décontenancé, oh oui ! Elle était trop heureuse de vivre enfin l'une de ses aventure dont-elle rêve depuis toute petite, elle avait une pensée pour son grand-père alors qu'elle écoutait la moitié de se que disait le chef des chercheurs. Ils était en tout, cinq chercheurs dispersé dans quatre projet de recherche, dont le principale et celui qui prenait le plus de ressource, sur les Zombie. Elle, serait affecté sur les créature étrange ayant infesté les marais non loin. Des créature non identifié apparemment, voilà qui était excitant ! L'homme avait crue la punir en l'affectant a un projet de recherche mineur, mais il était tombé des nue devant l'enthousiasme de la petite chercheuse au yeux violet, le recherche sur le terrain commencerait que le lendemain alors le soldat qui lui servait de garde du corps la conduisit a sa tente. Une tente des plus confortable, il fallait bien l'avouer ! Un lit, un bureau et une caisse pour ranger ses affaires, sa valise l'attendait déjà sur son lit en plus !

Clarissa range sa valise rapidement et vint se laisser tomber sur le lit, un lit pliable, donc bien moins confortable que les vrai lit, mais ... se manque de confort pour elle, faisait partie de l'aventure ! Avec un grand A. Après cela elle se rendit à la cantine ou elle put gouté a la savoureuse nourriture qui n'avait pas le moindre gout ... sauf celui de l'aventure d'après elle. Elle mange son savoureux plat tout en lisant sur sa tablette toute les légende des environs, mais cela se rapporte surtout a deux choses, de une, le vaudou qui a une place importante dans nombre de légende de Louisiane, la deuxième semble porté sur d'étrange culte lugubre dans les plus profond des marécage pour un obscur dieux marin. Une fois les légende en tête, et le repas terminé, la demoiselle discute un peu avec les chercheur et soldat, faisant connaissance avec eux avant d'aller se couché, toujours surexcité a l'idée de son travail sur le terrain !

La chercheuse avait eu du mal a s'endormir, et le réveil fut compliqué. Elle fit la connaissance des douche commune, bien que tout de même séparé entre les hommes et les femmes, heureusement ! Etant l'une des seule femme du camps, la douche se passa s'en encombre. Puis elle finit de se préparer, s'habillant comme a son habitude, mais sans la blouse blanche cette fois, mais sa veste de cuir marron à la place, emmenant sa tablette avec elle pour ses observation et ses notes.

Avec son groupe, ils prirent le chemin des marais a deux de route du camp. Ils étaient partie en Jeep. Il y avait, elle, plus trois soldat, dont un qui dirigeait l'opération et la sécurité du groupe, ils avait pour ordre d'observer les créature non identifié et de protéger Clarissa pour qu'elle fasse son travail.

En arrivant sur les lieux, elle sentie tout de suite l'ambiance lugubre du marais. Une odeur nauséabond flotter dans l'air et un brouillard s'étendait devant eux, s'était encore le matin, alors tous ce disait que c'était normal ce brouillard et qu'il se dissiperait vers midi. Le groupe avance a pieds, s'enfonçant dans le marais, il arrivait que la jeune demoiselle se retrouve embourbé jusqu'à la taille et du demander l'aide d'un des soldat pour la sortir de là, mais tout cela ne la dérangeait pas, c'était tellement excitant. Puis un hurlement guttural se fit entendre, d'abord rauque et guttural, puis terminant sur une note aigue et strident. En avançant, le groupe arrive sur une petite îlot, ou se trouve une vielle cabane, le chef du groupe propose de faire une halte sur les lieux pour poser le matérielle d'observation, car les créature était non-loin, la jeune femme s'exécuta, installant et calibrant les appareil près de l'entré de la lugubre cabane au bois partiellement pourrie, mais en regardant sa montre, elle remarque une chose étrange ... Il était presque midi et le brouillard était toujours aussi épais ... Un autres crie, plus proche la fit presque sursauter, elle regard ses appareils, puis cette fois elle sursaute complétement en entendant un autre hurlement, beaucoup plus proche et se situant de l'autre coté de la cabane branlante. Elle compris en même temps que les soldat qu'ils était encerclé ... Elle regard autour d'elle, inquiète alors que le soldat braque son fusil sur le brouillard autour d'eux ... Un crie hurlement se fait entendre, plus proche encore ... La demoiselle était aussi inquiète que curieuse car elle noté que les créature semblait doué d'un certain sens de la stratégie, et donc doué d'une intelligence manifeste ... Qu'allait-il se passer par la suite ? Elle a aussi peur de le découvrir qu'elle n'est impatiente de cela.
Clarissa Lacroix
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Heinart

Messages : 37
Date d'inscription : 14/08/2022
MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Floride durant l'été en 2164, jour ou nuit, cela n'avait que peu d'importance tant qu'il demeurait sur son île et les alentours. Un cimetière de navire, rendant l'approche dangereuse par la mer et par les airs des nuées de Chauve-Souris se chargeait des indésirables. Approcher cet endroit sans se faire remarquer revenait de l'exploit, après tout, comment échapper à toutes créatures de la nuit, délaissée, ignorée et repousser par l'incompréhension. Rat, Chauve-Souris, Hibou, Loup, Alligator et encore beaucoup d'autres. Tous ses animaux lui obéissaient pour la plupart, il n'avait que peu d'emprise sur les créatures provenant de l'eau comme les Alligators, mais pour le reste son emprise était puissante. Son ouï incroyable lui révélait leur murmure qu'il comprenait étrangement, un lien mental qu'il n'avait jamais pu expliquer et qu'il n'avait pas non plus beaucoup cherché. Une île forteresse au large et non loin de la civilisation, abandonnée depuis un siècle. L'humanité avait perdu dans ces régions d'Amérique, comme partout ailleurs ou presque et ne restait que leurs cités plus ou moins cachés. En plein centre de cette île, une tour grandissait chaque jour un peu plus, gagnant en hauteur, toujours un peu plus et sous la supervision d'humain asservie. Leur seule raison de vivre, construire son antre, l'agrandir ou mourir. Tant que le projet avançait, ils respiraient et étaient traités avec égard. La main d’œuvre était obéissante, après tout, il était question de Goule mort-vivante que le Nosferatu avait créé. D'épais nuages noirs recouvrait le ciel, cachant la lune, le soleil, les étoiles, plus rien hormis l'obscurité. Il y avait l'électricité, les tempêtes fréquentes dans la région y veillaient, soufflant et lorsque ce n'était pas le vent, le soleil se chargeait du reste. Contrairement à ce que l'on pouvait penser, la technologie existait, certaine partie de la tour y était totalement consacré et là encore des humains travaillaient pour lui.

Heinart utilisait bien des moyens pour garder des humains sous son emprise, la peur en était une, mais la promesse d'immortalité en était une autre. Devenir comme lui un être épargné par le temps pour toujours et si fort. En voilà une belle promesse, mais ce n'était pas tout, beaucoup d'humain ici y était carrément née, des survivants de l'Amérique, des chercheurs, maraudeurs et ainsi de suite. Il avait été un refuge pour beaucoup et ils avaient fini dans ses prisons. Tourmenté, asservie et donnant naissance à tout une nuée d'humain malléable à son souhait. Il était un voleur et un cultivateur, ce qu'il ne pouvait obtenir de lui-même, il le volait et ainsi récupérait les technologies lui faisant défaut. Il avait appris de ses erreurs, de ses nombreuses défaites et d'échec lui ayant presque coûté la vie un bon nombre de fois. Cependant, il était difficile à tuer et à présent, il était bien implanté. Des mines marines disposées au-delà des navires, des dispositifs de défenses entourant sont chez-lui. Après tout, il avait eu le temps de construire et de se préparer, il ne faisait que cela depuis bientôt deux siècles. Ce n'était pas anodin que cet endroit fut abandonné il y a si longtemps, que la maladie avait repoussé les quelques-uns qui avait essayé d'en faire quelque chose. Il y était totalement pour quelque chose, il était cette maladie, il était ce monstre qui s'était assuré que son projet demeurait secret et caché aux yeux de tous. Il n'était pas stupide, si les vampires apprenaient sa survie, ils ne manqueraient pas de venir pour tenter de l'anéantir, alors il faisait en sorte de rester invisible. L'épais brouillard qui recouvrait l'océan autour de l'île jusqu'aux plages de Floride était de son fait aussi, il possédait d'étrange pouvoir qu'il mettait sur le compte des croyances, même s'ils n'étaient pas forcément logiques à ses yeux, les avoir lui arrangeait bien l'existence.

Son seul problème, les Malades, leur horde de choses puantes qui voulaient dévorer ses précieux esclaves humains et lui faire la peau en passant. Non, il n'était pas copain avec eux et n'avait jamais vu l'Archange, ce qui l'arrangeait bien. Les conflits ouverts avec ces derniers étaient réguliers, au moins une fois par semaine lorsque ses gens devaient se ravitailler sur le continent. Il y avait tant de ressources laissées là, simplement et il n'avait qu'à se servir. Du haut de sa tour, sur un balcon, il observait au-delà de l'horizon, on lui avait rapporté qu'une équipe de recherches de la Jurisprudence s'était installé en Louisiane. Ce n'était pas chez lui, mais ce n'était pas loin non plus et leur connaissance pouvait lui être utile. Il hésitait, pesait le pour et le contre alors qu'il sentait quelque chose lui toucher le pied. Il était nu et voyait la main d'une femme ensanglantée. Heinart était surpris, elle avait rampé depuis l'intérieur sur une dizaine de mètres, son cœur battait encore, mais il n'avait pas cru qu'elle aurait la force de le rejoindre. Elle n'arrivait déjà plus à parler, l'éclat dans ses yeux était presque éteint, il repoussait alors la main du pied et la soulevait par les cheveux pour plaquer son ventre sur la rambarde. Il faisait en sorte de laisser un bon souvenir à cette merde d'humaine, violant son corps une dernière fois jusqu'à la mort et même au-delà. Il avait terminé son affaire dans un corps froid et sans vie. Un crachat plus tard et il soulevait les jambes pour la faire passer complètement par-dessus et la faire chuter de la tour. Heinart quant à lui ne regardait même pas la chute, il était occupé à fixer l'horizon lorsqu'il entendait le corps s'écraser en bas. Quelques cris de surprises suivaient l'impact, il en souriait vaguement avant de rentrer dans la tour. Il attrapait ses vêtements, pantalon noir, botte noire et un manteau en cuir tout aussi noir. Même pas de chemise ou quelque chose en dessous, se transformant en une nuée de Chauve-Souris pour descendre par le même chemin que la pauvre suppliciée, il arrivait au sol et reprenait forme. Des rejetons Nosferatus étaient déjà là à renifler la viande écrasée, dessus de ne pouvoir en récupérer davantage. Pire que des bêtes, plus monstre bestial qu'humain, à son image, fut une époque. Il levait la voix, s'adressant aux trois rejetons présents :

- Plus loin à l'Ouest, en Louisiane, un campement armé, surveillez les, je vous rejoindrai et gardez les femelles.

Pas besoin de préciser tout de suite, ils foncèrent déjà vers la Louisiane, déployant leurs abominables ailes pour prendre leur envole. Ils étaient rapides et si leur tempérament faisait penser à des bêtes, leur intelligence ne devait pas être sous-estimée. Lui, il allait prendre son temps, vérifiant l'heure de la journée avant de prendre une quelconque décision et il était clair qu'il n'allait pas sortir pour le moment, il ne parviendrait même pas à faire un kilomètre en ville. Après tout, il était une créature de la nuit et non du jour. Puis, il savait qu'ils n'attaqueraient pas tout de suite, ils allaient prendre leur temps, un campement de la Jurisprudence

Les rejetons eurent rapidement fait de rejoindre la Louisiane et de se cacher dans un Marais. Créant une espèce de nid où ils emportaient leur proie découverte ici et là. Ils se nourrissaient principalement d'animaux à défaut d'humains sous la main, mais cela ne satisfaisait aucunement leur soif. Cela revenait à mâcher quelque chose dans l'attente du repas et le goût n'était pas vraiment au rendez-vous. Ils avaient remarqué que le campement les avait repérés, en vérité, ils avaient fait exprès pour attirer un groupe hors du camp et dans leur repère. Intelligent malgré leur aspect, ils avaient remarqué l'arrivée d'un nouveau groupe et d'une femme à l'odeur étrange. Heinart en fut de suite informé et pour le coup sa curiosité ainsi que sa patience était arrivée au bout. Ordonnant de commencer à faire le ménage, mais de ne surtout pas blesser la femelle à l'odeur étrange. Il viendrait durant la nuit. Pendant ce temps, un groupe constitué de soldat et de cette fameuse femelle approchait du Marais. Il était compliqué pour les Nosfertus d’œuvrer le matin, le soleil ayant rapidement raison de leur peau pour s'attaquer à leur chaire en quelques secondes seulement. Ils agissaient alors rapidement, tournant autour de leur proie, hurlant afin de les faire paniquer tout en profitant de la brume pour les faire bouger comme ils le souhaitaient. Sans même s'en rendre compte, l'un fut séparé du groupe et n'avait même pas eu le temps d'ouvrir le feu qu'il fut attiré dans leur caverne à toute vitesse. Autant dire que les hurlements qui s'était ensuivi furent stridents, un homme se faisant étriper vivant dans une grotte, sa voix résonnant à travers le Marais, suppliant d'abord avant de ne plus rien prononcer. La première morsure le plongeait dans une étrange torpeur, deux autres vinrent le mordre en même temps et sa vie s'envolait en un battement de cil.

Entre leur odorat incroyable, leur vision capable de repérer leur corps à travers la brume et leur principale veine à travers la peau. Leur battement de cœur était une douce musique, certain parvenait à garder parfaitement leur calme, d'autre feintait plus qu'autre chose pour pouvoir continuer à se défendre. Il était évident que venir sur leur terrain n'était pas une bonne idée, repartir était la solution, mais le brouillard était devenu encore plus épais et comble du désespoir, tout le matériel informatique se mettait à déconner. Le brouillard était anormal, la scientifique l'avait bien compris, plus rien ne fonctionnait, hormis leurs armes s'ils étaient mécaniques, ce dont il y avait peu de chance. La seule chance du groupe, c'était qu'il faisait jour et le brouillard n'empêchait pas le soleil de les brûler, loin de là. Ils se ravisaient, la position n'était pas pratique pour eux, intelligent, mais manquant d'expérience, ils avaient rapidement saisi que le lieu était mal choisi et ils partaient aux quatre vents, se réfugiant dans le village le plus proche après y avoir massacré les malades y ayant élu domicile. Trois rejetons, cela pouvait mettre en pièce des centaines de malades au vu de leur force et leur résistance. La brume ne tardait pas à se dissiper, laissant entre voir la grotte et les nombreux os d'animaux au sol ainsi que leur camarade. Ce dernier avait la moitié du coup arraché, une jambe séparé du corps et un trou dans le ventre. Son visage exprimait la terreur et la détresse. Ils attendraient la nuit tombée pour attaquer le Campement, il ne faudrait qu'une heure ou deux à Heinart pour rejoindre le campement une fois soleil caché.

Heinart
C'est partie pour l'aventure !  [Heinart] EmptyLun 22 Aoû - 9:53



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Clarissa Lacroix

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Date d'inscription : 27/07/2022
MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La jeune demoiselle venait de traverser une partie du marais envahie par le brouillard avec le reste du groupe. Elle ne se rend pas encore vraiment compte du danger qui les entoure, encore un peu trop euphorique de ce voyage et de toute les découverte qui l'attende. Elle regarde autour d'elle, essayant de percer cette purée de pois, mais en vain, il est trop dense et le chef des soldat leurs dit de faire une halte dans un petit cabanon en attendant que le brouillard se lève enfin. Alors que les crie étrange résonne autour d'eux, la demoiselle commence a installer les appareils de mesure pour les calibrer, les crie de plus en plus proche la fait sursauté autant de peur que d'excitation a l'idée de peut-être apercevoir une créature encore inconnue ! La chercheur essaie d'affiner le calibrage des appareil, mais sans succès, les résultat sont incohérent les un des autres. Puis un crie strident déchire les environs, qui glace le dos des personnes présente, c'était un crie humain ... Cela de Craig ! Il manque à l'appelle alors que le chef d'escouade tente de le contacter par la radio. Là, une forte impression tord les boyaux de la jeune femme, regardant autour d'elle. Elle sent que quelques chose ne va pas, qu'il ne répondra pas à l'appel radio. Le chef d'escouade se tourne vers elle pour demander si le calibrage est terminer. ? Mais a peine finit-il de parler qu'il se tourne vers ses deux soldat pour donner des ordres, il n'attendait même pas de réponses, ne s'en offusquant pas, elle tourne la tête vers l'extérieur et aperçoit le marais, le brouillard venait de se lever subitement. Le chef d'escouade décide de partir à la recherche du soldat Craig avec un autre soldat, laissant la scientifique avec le dernier soldat en guise de garde du corps.

Clarissa profite de se moment pour enfin réussir a calibrer les appareils, étrangement, une fois le brouillard levé, il n'y avait plus aucun soucie. Puis le Soldat Jefferson reçoit un appel radio lui ordonnant d'escorter la chercheuse à la Jeep hors du marais immédiatement, sans même donner plus d'information, lui disant qu'ils se retrouvaient là bas. Clari' comprit rapidement l'urgence de la situation, son travail étant terminé dans l'immédiat, elle récupère son sac et suit le soldat, sa curiosité la poussant à lui demander ce qui se passe, mais le soldat reste sur le qui-vive et silencieux. Elle suit le soldat jusqu'à la Jeep, épuisait alors que lui ne semblait même pas encore échauffé, c'était des hommes parfaitement entrainé et pourtant quand le chef d'escouade revint avec l'autre soldat, c'est la peur et la confusion qu'elle pouvait lire dans se regard. La jeep démarre, direction le campement. Alors que le soleil avait quitté son zénith depuis bien trois heure, le groupe arrivèrent au camp de base ou ils se rendirent dans la tente principale pour un débriefing. Là, la chercheuse apprit que le soldat Craig était mort, ils l'avaient retrouvé dans une grotte, en morceau, le chef d'escouade montre alors des photo sur le grand écran du cadavre du pauvre Craig. Là, la jeune demoiselle se lève de sa chaise venant au plus près de l'écran pour observer le corps attentivement, même si son estomac se retournait de voir une tel horreur sur un homme a qui elle avait parlé peu de temps avant. Elle observe et se remémore les cries strident des bêtes, comprenant que ces créatures venait de chasser une proie, montrant un sens certain de la stratégie.

Cependant, elle n'eut pas le temps de dire quelques chose que le chef des chercheurs leurs dit que ce n'est rien, probablement un ou deux alligators, ils traines dans les marais, Clarissa ne peut s'empêcher de rire doucement.

- Oui, bien sur des alligators, et vous allez nous faire croire que mini-Godzilla vit dans ses marais aussi ? Ce n'est clairement pas l'œuvre des reptiles, le corps est démembré, et les alligators déchire avec les machoires, ils emporte leurs proies, là, on peut voir que ce n'est pas le cas, regardait !  

Elle vient montrait certaine partie du corps arraché ou griffé, attestant l'utilisation de mains griffue, puis les alentour de la photo.

- Et puis, pourquoi un Alligator, qui est plus à l'aise dans l'eau attendrait que sa proie soit dans une grottes pour attaqué, en plus les alligators n'ont pas vraiment l'esprit de meute, eux, clairement, si. A première vue, j'aurais dit Loup-garou, mais les hurlement que l'on a entendue ne sont pas des hurlement de loup, et j'ai lue quelques part, une légende amérindienne sur une créature cannibale qui aurait un corps grand avec assez de force pour arraché un corps, avez vous entendue parlé des Wendigo ?

La jeune chercheuse, présente dans le camp depuis a peine vingt-quatre heure, venait de mouché la vedette au chercheur en chef ! Les autres personnes présente, des soldat majoritairement semblait très intéressait par les dire de Clari' qui avec sa tablette vient présenter des images de la fameuse créature, des peintures et des dessins principalement. Elle commence à leurs raconter la légende, mais le chef militaire l'interrompe en lui demandant si elle est sûr d'elle.

- Et bien, à la base, on était envoyer pour étudier des créature inconnue, donc non, je n'en suis pas sûr, mais je pense que cette description s'en rapproche ... Plus qu'un alligator en tout
cas.


Le petit tacle envoyer à la fin de sa phrase au chef des chercheur le fit sortir de ses gond visiblement, il était devenue rouge de colère vociférant qu'il connaissait son travail depuis bien plus longtemps qu'une petite novice a peine sortie du bac à sable, ordonnant à la jeune fille de sortir de la tente. Elle ne peut s'empêcher de sourire légèrement en sortant pour rejoindre les douches, vide à cette heures, mais elle empester l'odeur nauséabond du marais et il était hors de question de ne pas se laver rapidement, entrant dans les douche, elle put en profiter pleinement pour se détendre ... Et réaliser pleinement qu'un soldat venait de mourir de façon horrible durant son expédition. Il était mort, mais genre ... vraiment mort, elle commence a trembler doucement sous le jet d'eau de la douche, accusant le coup.

En sortant du préfabriqué, vêtue d'une tenue plus décontracter, un t-shirt noir montrant un dragon ainsi que jupe écossaise, au pied, des botte noir avec de léger talons, et part dessus tout cela, une blouse blanche trainant au raz du sol boueux. Elle vient s'installer au réfectoire sous les coup de 19h, avec le soleil se couchant doucement, elle vient illuminer les lieux de son sourire et surtout de la luminosité de l'écran de sa tablette ! Elle faisait des recherche sur toute créature recensé sur ce continent, ne voulant pas écarter la moindre piste, en la mémoire de Craig. Alors qu'elle était entrain de feuilleté le bestiaire familiale, la clé du succès de son début de carrière, ce bestiaire est un des secret de la famille, un recueil de plein de créature mythique, rencontrer par les ancêtres de la jeune femme. Son téléphone se met à sonner alors qu'elle arrive sur une créature étrange et apparemment unique, qui boit le sang comme les vampire, mais sans en être un, une sorte d'aberration, mais elle ne peut pas lire d'avantage, décrochant son téléphone. Ses Parents venait au nouvelle pour sa première journée de travail sur le terrain. Lui donnant des nouvelle de sa grande sœur en même temps comme quoi elle allait bientôt passé à la maison et que c'était dommage qu'elle ne puisse les rejoindre. Oui, c'est vrai que cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas vue sa sœur. Clarissa les rassure disant que la journée était haute en émotion, mais que son travail la passionné toujours, qu'elle n'avait aucun regret.

Puis alors que le soleil se coucher, assombrissant le ciel, laissant la place au étoile d'un ciel sans lune, un hurlement se fit entendre non loin du camp. Un frisson parcourt le dos de la jeune fille qui dit a ses parents que c'est juste une vidéo qu'elle a lancé, qu'elle doit raccrocher rapidement, qu'elle a encore du travail. Une fois le téléphone raccroché, elle lève la tête alors que qu'un second crie se fait entendre, puis un troisième, un quatrième annonce qu'ils sont encerclé, ne sachant dénombré les créature a leurs hurlement. Elle se précipite vers sa tablette alors que les lumière s'éteigne subitement tandis qu'un autre crie retentie, celui d'un humain cette fois. Puis un crie d'alerte se fait entendre, appelant les soldat a prendre les armes. Regardant autour d'elle alors que les soldat court tout autour en direction de l'armurerie ou de leurs poste respectifs, elle lève les yeux et là, elle l'aperçois, du moins, elle en a l'impression, une créature venait de cacher les étoiles en les survolant, mais ... avait-elle rêver ? Rien, n'est moins sûr, elle court pour récupérer sa tablette, la mettant juste en veille tandis qu'un scientifique s'arrête près d'elle pour lui dire de se rendre dans la tente principale aussi vite que possible ! Peu après, elle entend des coup de feu, mais pas des armes a feu, c'était les blaster de la jurisprudence, illuminant l'obscurité par moment alors que d'autre crie d'homme survenait. Les créatures semblait invisible ou insaisissable, Clari' se met a courir vers la tente principale, son cœur bat la chamade, elle est terroriser en réalité, mais qu'est ce qui se passé à la fin, elle n'était là que depuis une journée et voilà que tout part en vrille ! Elle sent des larmes lui monter au yeux alors que ses pieds heurte quelques chose qui la fit chuter dans la boue, lâchant sa tablette qui sort de sa veille, illuminant l'obscurité devant elle ... La chercheuse avait trébucher à cause d'une sardine de l'une des tente mal planté, levant la tête, elle ne se rendit pas compte de suite, que ce qui avait été illuminé par l'écran de sa tablette, n'était pas de l'obscurité, mais le torse noir d'une créature de prime abord terrifiante ! Clarissa retient sa respiration en voyant la bête, levant les yeux doucement, se mettant à tremblé tandis qu'elle se voit déjà morte, dévoré ... Une partie de son cerveau semble vraiment fasciné par la créature, la détaillant autant que l'écran de la tablette le peu, puis les regard se croise. Là, le cœur de la demoiselle rate un battement et elle tente de se relever pour fuir a toute jambe, étrangement le monstre ne semble pas hostile sur le moment, l'observant simplement sans bougé, jusqu'à se qu'un soldat le remarque et ne tire dessus, mais elle n'en sut pas plus car elle avait prit ses jambe a son cou, fuyant vers la tente principale, ayant complétement oublier qu'elle avait laisser sa tablette, toute ses recherche sur le sol boueux ...

Une fois arrivée à la tente principale, sous les crie de monstre et d'autre des soldat se faisant réduire en lambeaux, elle se dit que c'est peut être un cauchemar et qu'elle allait se réveiller pour sa première journée de travail. Les chercheur, et le chef de la sécurité, étaient là. Tout le monde était terrifié, le chef des chercheur accusa la jeune femme d'avoir amené les monstres jusqu'au camp, venant même la traité de menteuse et de traitresse. Clarissa ne comprenait pas vraiment pourquoi il disait des absurdité pareil, c'était l'état de choc surement. Elle tente de bafouillé une contrepartie, mais n'y parvient pas, terrifié elle aussi. Enfin, les crie cesse, rapidement et les un après les autres, jusqu'au silence complet dans le camp ... Puis, ressentie un horrible sentiment, la jeune chercheuse est la première a réagir alors que la façade de la tente se fait éventrer par une pair de griffes acéré, de la, elle prit la fuite par derrière tandis que tous dans la tente se faisait étriper par la créature, et pourtant, elle venait de voir le chef de la sécurité vider son chargeur dessus avant de se faire arracher la moitié du crâne sous les crie terrifié des chercheurs.

Elle ne sait pas ce qui arrive au reste des chercheurs, elle est trop occupée a courir, sa vue se brouille de larmes, complétement terrifié alors qu'elle ne voit pas ou elle court, elle finit par se cogner contre un mur, la faisant tomber sur les fesses. Un mur ? Au milieux du chemin ? Elle lève doucement ses yeux violet, tétanisé vers la grand créature qui na toise avant d'émettre un crie strident et de posé ses grande mains griffue de chaque coté d'elle, lui coupant toute fuite. Elle sent déjà sa dernière heure arrivé, ses jambes flagelle trop pour espéré la soutenir et encore moins courir ... Elle reste là a observer cette créature, autant terrifié que fasciné, certaine que c'était la dernière chose qu'elle verrait, elle prend alors son téléphone et prend rapidement une photo du monstre, qu'il reste au moins une preuve de ses monstres même si tout le monde meurt éviscéré sur place, alors qu'elle n'osait même pas respirer tandis que la créature l'observe sans rien faire hormis lui couper tout chemin de fuite.
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Les créatures de la nuit se rendaient au campement dès la nuit tombée, vorace, ils avaient goûté à la chaire humaine, celle de la Jurisprudence et à présent. Ils en voulaient beaucoup plus, toujours. Des monstres mourants de faim continuellement, seul le temps rendait la douleur plus supportable, mais loin d'être rassasié, ils n'allaient pas être capables de se contenir bien longtemps. Observant depuis le ciel, se fondant dans les ombres comme s'il s'agissait de leur monde, disparaissant du spectre du visible pour les humains, autant dire que pénétrer le camp fut facile pour eux. Cependant, avant d'y pénétrer, ils se mettaient à nouveau à hurler à droite et à gauche. Ils aimaient le goût que donnait la peur à la chaire et le sang. Faisant se déplacer tout le monde, entre panique et sang froid. Ses imbéciles réunissaient toute la nourriture au même endroit, ce qui pour ainsi dire revenait à leur concocter un garde-manger.

Il y avait quelque traînard dans le lot, l'un des monstres s'en approchait depuis l'obscurité et se fit carrément heurter par une jeune chercheuse, celle-là même qui avait cette odeur si particulière. Il était tenté d'y goûter, juste un peu, mais le faire reviendrait à désobéir et pire encore, il était conscient de ne pouvoir s'arrêter s'il le faisait. La crainte du maître le poussait à l'ignorer, mais il fut rapidement ramené à la réalité en se faisant toucher par leurs armes étranges. Les projectiles étaient faciles à voir, mais très rapide et surtout brûlant au contact. Il venait de se faire littéralement transpercer par des projectiles de plasma et s'écroulait au sol alors que la petite était déjà loin. Le soldat, fier de son élimination, s'approchait pour avoir un meilleur aperçu de la créature et s’apprêtait à prévenir son supérieur que la chercheuse avait raison, ce n'était ni un loup-garou, ni un putain d’alligator. Cependant, il n'allait guère plus loin, il réalisait que les blessures n'étaient déjà plus et la créature se relevait pour le frapper et l'envoyer valser plusieurs mètres plus loin. Le choc était suffisant pour lui broyer les os et avant d'avoir le temps de chercher où était tombée son arme, le monstre était déjà sur lui. Trop assoiffé pour faire dans la dentelle, sa gueule géante vint réduire en bouillit le visage du soldat. De loin, on aurait pu dire qu'elle venait de le décapité d'un coup de crocs et à présent roulait une pelle à son cadavre pour en récolter le sang et la chaire.

Dans le reste du camp, la formation se resserrait autour de la tente principale, plus facile à défendre et obligeant moins les troupes à s'éparpiller. Ils croyaient pouvoir mieux résister en faisant front commun et en soit l'idée était bonne. Cependant, le mur de feu nourri ne parvenait pas à avoir raison de leur grande vitesse et leur capacité à se dissimuler. L'un attirait l'attention en se protégeant avec un énorme bloc de béton. Ce dernier finissait tout de même en passoire à terme, mais loin d'être mort, il se relevait lorsque ses frères fondaient sur les soldats depuis le ciel dans leur dos. Ils tombaient comme des mouches, mais les lumières étaient détruites et leurs armes non adaptés à les repousser. Dire qu'une croix brandit avec foi aurait pu suffire à les garder en respect.

À présent que les défenses à l'extérieur était mis hors d'état de nuire, ils entraient par les côtés dans la tente principale, déchirant la toile de toute part pour obtenir leur dû. Leur cible prioritaire était le chef de la sécurité, ce dernier se fit foncer droit dessus et avait beau vider son chargeur sur la créature, elle était bien décidée à le dévorer. Troué, il lui arrachait le visage et une partie du crâne. Là, la panique totale envahissait le campement, le peu de coordination qu'ils avaient réussi à maintenir jusque-là venait de s'effondrer alors que leur dernier espoir se faisait vider de son sang. Les chercheurs furent pour la plupart éventré, dévoré, les créatures s'amusant avec leur chaire. Cependant, ils n'avaient pas oublié leur mission, certain soldat ou chercheur encore vivant avait les jambes brisées et se retrouvait incapable de faire quoi que ce soit d'autre que d'attendre que les monstres reviennent les achever. Ils partaient aux quatre coins du campement pour attraper les femmes et l'un se retrouvait sur le chemin de la petite Clarissa. Heureusement pour elle, il ne fit guère attention au téléphone qui venait de servir, il se contentait de s'assurer qu'elle ne fuirait plus. Il n'y avait plus d'espoir, c'était ce qu'elle s'était dite, mais ce dernier risquait de revenir en entendant un drone de la Jurisprudence dans le ciel approcher. Un acte de courage du dernier soldat valide qui avait demandé un drone pour un repli d'urgence. Ce dernier était planqué plus loin pour éviter d'être découvert ou mis hors service en cas d'attaque. Il arrivait sur zone, prêt à ouvrir le feu, mais leur température corporelle rendait le ciblage compliqué, pas d'infrarouge et... Il n'y avait rien, il ne pouvait le voir et même Clarissa le remarquera en observant son téléphone. Il n'y avait rien, la photo avait pourtant été bien ciblé, mais il ne pouvait être vu à travers un écran. La malédiction fonctionnait dans le principe qu'il n'avait aucun moyen de se voir, aucun moyen matériel et cela avait évolué avec l'époque. Cependant, ce détail était une preuve en soi, la jeune chercheuse se rappelant sans doute les histoires de la famille, parlant de cette fameuse créature sans reflet.

Le drone tentait malgré tout de repérer l'ennemi, mais se faisait chopper au vol avant d'être fracassé au sol lourdement sous les yeux de la scientifique. Cette dernière pouvait le voir, un monstre plus humain, des ailes de Chauve-Souris qui se repliait pour disparaître, ses longues griffes reprenant la taille d'ongle ordinaire bien que légèrement pointu. Les plis de son visage revenant à un état moins monstrueux alors qu'il approchait d'un pas lent. Grand, si grand par rapport à elle et à sa grande surprise, le monstre qui l'empêchait de partir s'écartait pour littéralement s’aplatir au sol. Heinart prenait la parole, sa voix était sinistre, grave et frissonnante :

- Trouve celui qui a appelé le drone et tue-le.

Son regard rougeoyant changeait de couleur pour aller vers un bleu clair perceptible malgré la nuit. Il s'arrêtait à quelque centimètre de la jeune femme et humait l'air avant de sourire :

- Oh ma jolie, tu vas regretter d'être venu ici...

Il attrapait Clarissa par les cheveux et la traînait derrière lui en se dirigeant vers le ventre du camp. Là, face à la tente principale, la chercheuse pouvait voir les rares survivants se trouvant au plus mal. Ils respiraient néanmoins encore, pas très bien, mais tout de même, ils étaient vivants et le monstre prenait alors la parole tout en gardant la petite contre sa jambe :

- Mes enfants !

Trois monstres arrivèrent depuis le ciel, venant former un arc de cercle devant leur... Père ? S'inclinant, l'un avait encore un cœur en main qu'il s'était amusé à presser pour en récolter le sang avant de se baisser. Les deux autres jetèrent chacun une femme devant Heinart, une soldate et une autre chercheuse :

- Nourrissez-vous des autres.

Il repoussait Clarissa vers les deux autres et les regardait tour à tour. Son regard passant doucement au rouge sang, signe que la faim le tenaillait déjà. Il pointait du doigt l'autre chercheuse et s'adressait à elle froidement :

- Chercheuse en quoi ?

Le timbre si sinistre du monstre rendait l'idée de résister bien stupide et elle obtempérait de suite. Cependant, les cris des hommes qui respiraient encore rendait le fait de se concentrer bien compliqué, ils étaient en train de se faire étriper vivant. Elle révélait après plusieurs longs bégaiement être une chercheuse dans le domaine de la Botanique et s’apprêtait à rajouter quelque chose lorsqu'il la coupait en l'attrapant par la gorge :

- Inutile et trop tard.

La seconde main attrapait ses cheveux pour tirer sa tête en arrière afin de pouvoir mordre directement la jugulaire. Sa bouche s'était déformé en une gueule géante pleine de dent d'une taille digne d'un poignard. Curieusement, elle ne parvint même pas à crier, elle avait à peine gigoté, mais ses yeux grands ouverts qui sortaient presque de leur orbite suffisait à savoir que la douleur était incroyable. Heinart la jetait au sol comme s'il ne s'agissait qu'un vulgaire détritus dans un dépotoir. La gorge à moitié arraché, il laissait sa langue passer sur ses lèvres pour en récolter les dernières gouttes de sang avant de regarder la soldate :

- mmm... Toi tu ferais une bonne pondeuse.

D'un geste de la main, une nuée de Chauve-Souris fondait sur la pauvre femme et l'enveloppait pour littéralement l'emporter dans le ciel. Ils formaient une masse noire immense dans le ciel qui filait vers l'océan. Son regard allait à présent vers Clarissa dont le téléphone était resté là où il l'avait attrapé par les cheveux. Il se penchait sur elle et laissait un ongle grandir pour devenir une énorme griffe qui se plaçait sous le menton de la femme pour lui faire relever la tête :

- La vie ? Ou alors la mort ?

Un petit sourire sur le visage naissait alors qu'il tournait la tête vers l'autre chercheuse comme pour lui donner une vague idée de son sort si elle choisissait la mort.

Heinart
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Depuis le début de l'attaque, c'était la panique chez la plupart des gens présent, les soldat, formé et entrainé tenté de combattre et protéger les chercheurs sous leurs protection, mais cela semblait futile, ou qu'elle posait les yeux, Clarissa voyait la mort et la terreur, cela ne l'aidant nullement a garder son calme ! Elle avait tout de même eu certaine ... intuition qui lui avait permis de s'échapper, certaine que ces monstres allait la tuer si ils lui mettaient la main dessus, comme pour les autres qu'elle croisait juste avant qu'un de ses monstre sur lui déchire le visage d'un simple baiser. Dans la tente, elle avait était un peu rassurer de sentir l'assurance du chef de la sécurité ... Une assurance qu'il ne garda que quelques seconde alors que tout ses homme à l'extérieur hurlait de douleurs avant que le silence ne s'installe ... Elle sent son cœur battre la chamade alors que le chef des chercheur la pointe du doigts, lui hurlant dessus qu'elle est coupable, qu'elle est une traitresse. La encore, son intuition lui hurle de fuir, et elle sort de la tente en courant au moment ou les monstre entre, déchirant les pans de la tente. Elle ne se retourne que le temps de voir un de ses créature arracher la tête du chef de la sécurité, enfin, une grande partie du crâne tout du moins, elle entend les hurlement du reste des gens alors qu'elle fuit, prenant ses jambes a son cou. Elle était pleine de boue à cause de sa chute durant sa fuite ... Elle l'aimait bien cette ensemble et le voir tout sale, dans un moment pareille, alors qu'elle aurait du ne pas y faire attention ... Elle sentie de la tristesse pour cela. Bien entendue pour tous ce qui se passé aussi, mais, pensées a quelques chose de moins tragique aidé sa psyché a ne pas lâcher. Elle court et cette fois, elle rentre dans l'une des créatures. Mais alors qu'elle sent sa dernière heure arrivé, le monstre n'en fit rien, l'empêchant juste de fuir alors, dans un éclair de lucidité, elle saisie son téléphone d'une main tremblante pour prendre une photo du monstre. Quel ne fut sa surprise de voir ... Ou plutôt de ne rien voir sur la photo et en un instant, elle se retrouver au coin du feu de cheminée, chez elle.

Petite, alors que le grand père commencer a raconter une histoire de famille, une chasse au monstre, de loin ses histoire préférer ! Surtout celle du Monstre Vampirique, celui qui avait échappé a ses ancêtres. Puis le bruit d'un drone la sort de ses pensées, la créature regarde en l'air, elle prend espoir que le drone tir et abat les monstre, mais étrangement, il n'en fit rien, comme si il chercher des cible pourtant juste devant son nez ! Puis une autres créature réduit le dernière espoir de la demoiselle en miette avant d'ordonner a ses enfants de trouver le coupable et de le tué. Elle le suit du regard alors qu'il prend une forme humaine, chaque pas vers elle et sa forme était de moins en moins monstrueuse, jusqu'à arriver tout près d'elle, les regard se croisèrent et ... Sans vraiment savoir pourquoi, la fascination avait prit le pas sur la terreur, durant quelques seconde, son regard violet soutenait celui, azur de cette homme qui n'en était pas un. Puis quand il s'adressa a elle, lui disant qu'elle allait regretter d'être venue ici, la peur repris le pas sur ses sentiments. Sentant la douleur fulgurante sur son crâne tandis qu'il venait de l'attraper par les cheveux pour la trainer avec lui. Criant de douleurs, elle essaie tant bien que mal de suivre le rythme sur ses genoux, ou même a quatre patte, mais elle glisse, hurlant de douleurs, les larmes lui montant au yeux, aux cries s'ajoute les sanglots alors qu'elle se fait trainer sur plusieurs mètres.

Elle finit par reconnaître la tente principale qu'elle avait fuit un peu avant. Cessant de crier de douleurs quand il arrête de la trainer par les cheveux, ses beaux et long cheveux soyeux. Complétement terrorisé, bouleversé, elle ne bouge pas, sentant que le monstre la gardait contre lui pour le moment ... Elle observe le reste des survivants, tous presque morts, ils en avaient clairement plus pour longtemps ... Lâchant un sanglot, la petite chercheuse ne se rendit même pas compte qu'elle avait laisser tomber son téléphone quand il avait commencer a la trainer par les cheveux, bien trop en état de choc pour penser à quoi que ce soit. Enfin, les autres créatures, les enfants comme il les avait appelé, arrivèrent en jetant deux femmes a devant lui alors qu'elle le sentie la repousser à auprès d'elle.

Elle lève un regard emplie de terreur quant a ce qui les attends, regardant le chef des monstres, le père qui se tourne alors vers la chercheuse, lui demandant en quoi et ... visiblement la botanique n'était pas un centre d'intérêt pour la créature car il venait de lui arracher la jugulaire après l'avoir vidé de son sang en quelques seconde, plus rapide que le plus efficace des aspirateur haute technologie ! Enfin, c'était surtout effrayant à regarder car la jeune chercheuse avait vue clairement la douleurs dans le regard de sa consœur avant de voir peu à peu le voile de la mort s'y installer, les rendant vitreux et inerte alors que le chef des créatures lâcher son casse-croute comme on jetait une cannette. Elle le vit observer la soldate et sans même lui poser de question, il décrète qu'elle ferait une bonne pondeuse et après cela, elle fut emmené par une nué de chauve-souris, elle sent tout son corps trembler de terreur, elle voudrait fuir, mais ... elle en était incapable, sachant que ses jambes flageolantes ne la tiendrait pas sur deux mètres, ni même qu'elle est une chance de fuir face a toute ses créature ...

La jeune Clarissa voit alors le regard du père monstrueux se tourner vers elle, la encore, elle se dit qu'elle va mourir, mais il lui pose une question et quel question ? Choisir entre la vie ou la mort ... C'est quoi cette question ?! Trop terrifié pour réfléchir posément, elle vient vient tenté de se calmer en contrôlant sa respiration comme elle peut, levant un regard sur lui alors que des larmes roulent encore sur ses joues. Elle réfléchie, puis, elle se remémore les soirée au coin du feu, son histoire préféré ... Etais parce qu'elle allait mourir, qu'elle repensait à se qui l'avait le plus marqué ?

- Je, La vie ! Je choisie la vie ...

Elle avait était tout bonnement incapable de choisir la mort alors qu'elle revoyait encore clairement le regard de sa consœur devenant vitreux au fur et mesure que la vie la quitté, elle regarde le monstre, se demandant ce qu'il allait faire d'elle ... Finirait-elle comme la soldate, comme une "Pondeuse" ? Pondeuse de quoi d'ailleurs. Elle semble avoir soudainement une illumination dans le regard, des créature sans reflet, buveuse de sang ... qui contrôle des nuée de chauve-souris, elle venait de mettre un nom sur lui, bien que sa famille, n'est jamais connue son véritable nom, elle lui avait donner un surnom. qu'elle murmure entre ses lèvres.

- ... La légende vampirique ... sans reflet ...

Elle cherche dans ses poches doucement alors que le père des créatures s'apprête à lui annoncé son avenir, au moins a court terme. Elle se rend compte qu'elle a perdue son téléphone et sa tablette, elle n'avait plus rien sur elle, a part un petit stylo ... d'après la légende, un pieu en bois dans le cœur serait efficace ... Qu'est ce qui lui passe par la tête sur le moment, elle n'en sait rien ... Un moment de colère et de rage remplace la peur et la crainte et alors qu'il est tout près d'elle. Clarissa se dresse sur ses genoux tremblant comme des feuilles, asseyant d'attaquer cette chose avec son stylo en guise de pieu ... Attaque risible, voué à l'échec, qu'il arrête son bras ou laisse le stylo toucher le torse, elle s'effondrera en larmes juste après, toute trace de colère et de rage disparue, la peur de mourir ayant repris sa place ... Qu'allait-il faire d'elle après cela ? Avait-elle signé son arrêt de mort ? Elle était en larme, sanglotant tout ce qu'il lui restait de larme tandis que toute son adrénaline s'évaporer de son organisme ... Ne sachant même pas pourquoi, elle avait fait ça, elle était sur le point de s'évanouir a cause du trop plein d'émotion qu'elle ressentait, toute cette peur, cette crainte. Clari' reste la, effondré sur le sol.

- Pourquoi ... Pourquoi vous faite cela, on ... vous a rien fait ...

Sanglotant a attendre de connaître la décision de cette chose envers elle.
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Il ne s'était pas attendu à revoir une membre de cette famille, il s'en souvenait comme si c'était hier, après tout, d'une certaine manière, elle fut sa première proie qu'il avait laissé filer. Pourquoi l'avait-il fait ? Parce qu'elle n'avait pas eu peur de lui, elle avait eu une espèce de droiture à l'arrivée de la mort et de la souffrance. Cette droiture, cette acceptation n'avait rien à voir avec de lâcheté, elle s'était préparée ce qui allait suivre et n'avait aucune cherchée à luter. Il lui avait fait un cadeau, il lui avait accordé un délai avant la mort et lui en était simplement reconnaissante. Alors... Pourquoi lui résister ? Prête à accepter la fin tragique que sa mère et sa sœur avaient subi. Il ne lui avait pas tout pris, il ne l'avait pas non plus détruite, elle avait eu droit de vivre contre toute attente et cette relation allait bien plus loin encore.

Se retrouver face à l'une des descendantes de cette femme, à un tel moment, dans un tel endroit, cela ne pouvait être le fruit du hasard. Quelque part, quelque chose avait agi pour provoquer cet événement et ce dernier n'était pas un ami de cette humaine. La famille avait abandonné la chasse depuis qu'il avait fait son office, mais visiblement cette petite avait gardé une certaine passion malsaine pour les monstres. Son nez ne le trompait que rarement, cela n'avait pas duré longtemps, mais durant un court instant, il avait senti et vue une sorte de fascination. Il lui donnait un choix, un choix simple au terrible conséquence et elle choisissait la vie. Curieusement, elle n'avait pas répondu sur un coup de tête, elle avait semblé poser l'idée et y songer un petit moment. Heinart en fut surprise, malgré la situation, elle parvenait à trouver la force de réfléchir et malgré cela, elle avait choisi la vie. Naïve petite humaine, elle allait découvrir que la mort était souvent un choix bien plus avantageux que la vie. Il suffisait de voir la soldate, cette dernière aurait sans doute choisi la mort s'il lui avait posé la question et c'était bien pour cela qu'il n'en avait rien fait. Il demandait lorsque la réponse serait satisfaisante, sinon, il ne le faisait pas, à quoi bon recevoir une réponse déplaisante ?

Occupé ailleurs, il baissait les yeux sur elle et fut surpris de voir une curieuse étincelle. Qu'avait donc cette femme pour trouver de l'espoir dans une telle situation ? Un murmure lui parvenait aux oreilles et il fronçait les sourcils en l'entendant. Elle venait de comprendre, de faire peut-être un lien ? Sa famille aurait-elle partagé son passé au fil du temps afin de ne jamais oublier leur rencontre avec lui ? Possible, cette réflexion le poussait dans ses souvenirs, mais il ne baissait que rarement sa garde et alors qu'elle amorçait un geste de colère armé d'un stylo, il attrapait son poignet. Il venait de la bloquer dans son geste, ses doigts serrant ceux de la petite sur le stylo afin qu'elle ne puisse le lâcher sous aucun prétexte. Là, il décalait son manteau pour enfoncer lui-même le couteau jusqu'à son cœur et là elle pu sentir que ce dernier ne battait toute façon pas. Un rictus apparaissait sur son visage alors qu'il levait sa main de libre pour envoyer un terrible revers en pleine joue. La chercheuse se retrouvait étalée sur le sol, bien sonné, marmonnant une question tandis que son corps n'était que tremblement. Il avait lâché la main au moment de frapper et à présent jetait le stylo au sol pendant que le trou se fermait immédiatement. Toute forme de rage venait de s'envoler, seule la peur demeurait et cela n'allait pas en s'améliorant lorsque sa main vint la saisir à la gorge afin de la soulever du sol :

- Petite idiote, la seule chose qui retient ces monstres de te charcuter, c'est moi. L'héritage de ta famille semble bourré d'oublie, ils ont essayé les pieux sur moi, douloureux, mais c'est tout.

Sa voix était tellement sinistre, dans cette nuit sanglante, il avait tout du mal incarné. Heinart approchait son visage et sa langue grandissante vint lécher l'une des larmes coulant sur la joue enflée de la petite. Puis, un nouveau sourire alors qu'il la fixait droit dans les yeux :

- Je vais tout te prendre et te laisser ce que j'aurais implanté en toi. Pourquoi je fais cela ?

Il ricanait, sur le moment cette question l'amusait qu'il approchait du cadavre de la chercheuse pour littéralement la piétiner et broyer son crâne de sa botte :

- Parce que je le peu, puisque c'est ainsi qu'on m'a conçu, je suis destiné à être ce mal que l'on craint, ce cauchemar vivant et si tu cherches un responsable... Regarde-toi dans un miroir, c'est vous, l'humanité, qui m'avez créé ainsi et je dois dire que j'adore ça !

Il riait avant de shooter dans le cadavre afin de l'envoyer valser dans une tente avoisinante. Ses yeux devinrent rouge vif alors qu'il la fixait et Clarissa verrait sa vision s'assombrir pour tomber dans une espèce de sommeil. Pourtant, il n'avait pas serré la gorge, pas particulièrement et il ne l'empêchait pas de respirer. Gênant, mais voilà tout. Cependant, alors qu'elle dormait, elle faisait un rêve particulièrement réaliste où elle se trouvait face à Heinart, mais ne bougeait pas, calme, presque comme un automate bien obéissant. Ses doigts passaient sur son corps qui réagissait légèrement, elle pouvait même sentir dans son sommeil son passage, mais rien de ce qu'elle ferait n'y changerait quoi que ce soit. Il serrait alors contre lui sa prisonnière et se changeait à son tour en une nuée de Chauve-Souris. Emportant ainsi la petite dans le ciel et au-dessus de l'océan, gardant malgré tout la plage à portée de vue, comme si finalement, ils ne faisaient que la longer. Durant le rêve, il y avait de petits moments d'absences, mais durant l'un des moments de lucidités limitées, elle voyait ce qui ressemblait à une... Île forteresse, des maisons, des murailles et surtout une Tour qui sortait tout droit de la fiction en son centre.

La première chose que Clarissa sentait à nouveau était la douleur, une douleur lancinante dans les épaules, la chaleur, étouffante et faisant couler la sueur sur son corps. Elle était encore habillée, en ouvrant les yeux et elle découvrait une cellule ronde. Une grille rigide sous ses pieds qui ne touchaient pas le sol et des chaînes accrochés à ses poignets qui la maintenaient suspendue. Il faisait bien trop sombre pour voir les murs, mais le peu qu'elle apercevait donnait l'impression que tout cela était construit en cercle. Un néon au plafond éclairait très légèrement l'endroit, principalement au centre, créant une sorte de halo de lumière sur la chercheuse. Combien de temps avait-elle dormi ? Combien de temps allait-elle devoir attendre ainsi ? La soif et la faim se faisaient clairement sentir au bout d'un moment et pourtant personne ne venait. Elle s'était sans doute faite dessus aussi, toujours personne, la douleur aux épaules étaient maintenant si forte que dormir était impossible. Combien de temps avant qu'elle ne supplie avec sa voix émettant à peine un murmure ? Clarissa était restée suspendu deux jours avant que la porte ne s'ouvre, si lourde, mais aucun grincement et seul la lumière provenant du couloir permettait de savoir que cette dernière venait de s'ouvrir. Elle pouvait discerner Heinart, une femme le suivait à quatre pattes et déposait au sol deux bols ressemblants surtout à des gamelles. Elle ressortait et le Nosferatu demeurait les bras croisés à la regarder avant d'appuyer sur un bouton qui libérait la petite de ses chaînes.

Repère du Monstre
Heinart
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Clarissa venait de voir cette homme, ou se monstre boire le sang de sa consœur en quelques minute, lui arrachant la moitié de la gorge au passage, elle avait vue toute la douleur de la chercheuse dans son regard alors qu'il s'éteignaient. Puis, sans qu'elle n'est le courage ou même pensées a réagir, la deuxième femme, une soldat fut emmené comme "pondeuse" par une nuée de chauve-souris ... Sa respiration s'accélérait tandis que le regard du père des créature se tourne vers elle, lui demandant ce qu'elle préférait entre la mort, ou la vie ... Un choix sans vraiment en être un, même si en son fort intérieur, elle savait que la mort serait peut être plus ... charitable, la jeune chercheuse n'était simplement pas prête a faire se choix et elle lui annonce qu'elle veut vivre. Oui, elle a peur. Elle est même terrifié de tout ce qui se passe, les dernier survivant autour d'eux émettait leurs dernier râle d'agonie, dévoré par les enfant de cette homme, les créatures responsable de tout ce carnage. Puis elle semble avoir une illumination durant un instant, se rappelant d'une histoire de ses ancêtre, mettant les pièce du puzzle ensemble, elle finit par savoir qui y est, même si le bestiaire était vide en grande partie sur lui car il semblait unique, comme si il était une erreur de la nature et qu'elle n'avait voulue la reproduire ...

Après cela, la jeune demoiselle avait tenté une action des plus stupide, avec le seule objet qu'elle semble avoir sous la main, un stylo. Sur le moment, emplis de rage et de colère, la jeune femme se redresse, sortant son stylo de sa blouse pour essayer de le lui planter dans le cœur, une action aussi désespérer que risible, stoppé d'une main par cette inconnue, cette légende vampirique. Elle sentie les doigts se serrer sur sa main, la bloquant complétement ainsi il lui montre clairement que sa pathétique tentative n'aurait pas fonctionner peu importe si elle avait réussie ou non. Puis une intense douleur l'envoya s'étaler sur le sol boueux, elle venait de se prendre le revers de la main dans une gifle mémorable. La crainte et la peur ayant repris le dessus, la pauvre demoiselle n'a pas la force de se redresser, sanglotant en demandant pourquoi il faisait cela ? Mais il venait de confirmer ce qu'elle pensait, sa famille avait déjà croiser cette chose à l'époque ... Le seule monstre à leurs avoir échappé, l'Ombre sans reflet. Elle n'a pas le temps de réagir qu'une main se referme sur sa gorge, la soulevant du sol comme si elle ne pesait rien alors qu'il dit qu'il allait tout lui prendre et ne lui laisser que ce qu'il allait implanter en elle. Que voulait-il dire par là ? Ne comprenant pas bien, elle baisse les yeux en entendant un craquement écœurant ... le chef des monstre venait marcher sur le crane de la chercheuse en botanique, lui broyant le crane de son talon.

Clari' essaie de remuer doucement, toujours tenue et balader par la gorge tandis qu'il shoot maintenant dans le cadavre et lui disant que si il était ainsi, c'était de sa faute, à elle et la l'humanité. Elle ouvre la bouche pour parlé, du voix un étouffé, gêné par la grosse main autour de son cou.

- Ce ... n'est pas notre faute ... Ce sont, nos choix qui ... nous façonne ...

Elle fixe les yeux de l'homme qui été passé de l'azur au rouge sang de nouveau, allait-il la dévoré elle aussi ? Elle avait de plus en plus de mal a rester alerte et éveillé. Puis elle chute dans un sommeil des plus étrange, était-elle entrain de rêver alors qu'elle se tenait sagement devant lui, fasciné et terrifié par se qu'il était. Dans ce rêve, il lui était impossible de bouger, mais elle ressentait pourtant clairement ce qui touchait sa peau ... Comme quand il vint se serrer contre elle pour l'emmener avec lui. Tout une nuée de chauve-souris l'avait remplacer et la transporté dans les air, elle était toujours dans cette étrange état de sommeil dont elle ne pouvait extirper pour le moment. Elle panique, alors que le campement s'éloignait d'eux a grand vitesse, le vent agitant ses long cheveux et caresser son visage et pourtant, elle restait de marbre face a ce sursaut de terreur. Elle se faisait enlever ... Alors qu'elle cligne des yeux, du moins c'est l'impression qu'elle a, le décor change du tout à tout, ils longent désormais la côte, elle cligne de nouveau des yeux et aperçois une sorte de ville fortifier, une imposante tour, très haute ... tout droit sortie des livre de Tolkien ... Ensuite, se fut le noir complet.

Clarissa finit par émergé de cette étrange torpeur et la première sensation qu'elle ressent est la douleur au niveau des épaules. Ouvrant doucement les yeux, grimaçant légèrement a cause de cette douleur qui persiste en se demandant pourquoi elle avait mal comme cela. La chercheuse n'avait pas complétement émergé et mit un petit temps a comprendre que ce qu'elle voyait devant-elle était en réalité une grille en guise de sol et ses pieds qui se balancer doucement quand elle essayer de bouger ... Puis elle réalise que ses pieds ne touche pas le sol et que la douleurs des épaules était du a son propre poids, car elle était suspendue a un plafond par des chaines. Son cœur se met a battre la chamade, la réveillant plus rapidement et elle regarde autour d'elle, puis au dessus, voyant les chaines et ses poignets contraint de supporté son poids. Elle s'agite pour essayer de se libérer mais rien n'y fait, elle ne réussie qu'a accentuer la douleurs sur ses épaules. En panique complet, elle se met a hurler, demandant de l'aide.

- Héééé ! Hééé-Oooohhh !! Y a quelqu'un ! Au secours !! J'ai mal ... Aidez moi !

Elle finit de crier à l'aide dans un sanglot, laissant sa tête tomber sur son torse ... Personne ne viendrait l'aider ... Elle remarque bien vite qu'elle étouffe dans cette pèce, la chaleur y est étouffante, la faisant suer abondamment ...

Combien de temps reste t-elle suspendue dans ce lieux inconnue, elle ne sait pas, mais un long moment, ses épaule lui font tellement mal qu'elle n'arrive pas a fermer l'œil, elle sent le sang perlé sur ses poignets, roulant doucement le long de ses bras tendues. Sa gorge s'assèche, puis la faim finit par faire gronder son estomac, n'ayant plus la force de crier, ni de s'agiter. La pauvre chercheuse avait finit par s'uriner dessus, comprenant du coup pourquoi une grille en guise de sol. Ayant l'impression de devenir folle, d'être la dedans depuis une éternité, écoutant sa respiration dans un silence totale. Elle se demandait pourquoi le monstre la emmener avec lui, pourquoi elle était suspendue là, a mourir de faim et de soif ... Qu'est ce qu'il lui voulait à la fin ! ... Allait-il faire d'elle une "Pondeuse" comme l'autre fille ? Elle finit par lâcher dans un murmure.

- Pitié ... A l'aide ... Vous en ... supplie, quelqu'un ... Aidez moi ...

Puis après un long moment, la porte finit par s'ouvrir doucement, une grande et lourde porte et portant, elle ne grince pas le moins du monde. La chercheuse le voit entrée, restant à l'entrée de la salle tandis qu'elle aperçois auprès de lui une femme à quatre patte qui entre le temps de déposer deux bol, ou des gamelles, la voyant ressortir sans même lui accordé un regard, elle s'agite légèrement pour essayer d'attirer l'attention, mais la douleur est trop forte, elle s'arrête tout aussi rapidement. Quand ses chaines s'ouvrir d'une pression de l'homme sur un bouton, elle ne s'en rendit pas compte de suite et s'écrasa sur le sol. Elle avait trop faim et trop soif pour réagir rapidement ou avoir les idées clair, de plus la douleurs et le manque de sommeil n'aidait pas non plus ... Elle lève un regard violet vers l'homme qui la toise de haut avant de regarder vers les gamelles cherchant s'avoir se que c'était, mais elle avait a peine la force de se redresser lentement sur ses genoux, les membres tremblant avant de parler d'une voix enrouer à cause de la gorge pâteuse.

- Pourquoi ... Faire ça ... Qu'allez vous ... me faire ...

Clarissa est prise d'une grosse quinte de toux, lui faisant mal à la gorge, sentant les larmes lui monter de nouveau au yeux. Elle ne sentait plus ses bras a cause de la douleurs a niveau des épaules, n'étant pas une fille du genre sportive. Mais son regard lui semble toujours vif, il passait de cette homme, si l'on pouvait appelé ça un homme au gamelle que la femme était venue déposer, curieuse a ce sujet, mais elle désirer surtout des réponses. Son estomac ne pouvant s'empêcher de se noué quand l'homme était là, L'ombre sans reflet.
Clarissa Lacroix
C'est partie pour l'aventure !  [Heinart] EmptyJeu 25 Aoû - 22:47



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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Heinart s'amusait encore de la petite leçon de vie de la gamine, ricanant ouvertement avec plusieurs esclaves allongés sur le lit tout autour de lui. Ils riaient tous, hommes et femmes esclaves. Très amusé par son imitation :

- Ce sont nos choix qui... Cherche de l'air... Nous façonnes... HaHa !

Laissant les esclaves glisser leurs mains sur son corps froid, détaillant les muscles sculptés, il se demandait si elle serait encore capable de raconter de telles conneries maintenant. Combien de temps était passé depuis son retour ? Il fallait dire que la notion du temps était compliqué avec les nuages noirs qu'il créait tout autour de son île et ces esclaves avec lui n'aidait en rien. Il soupirait, comptant rapidement combien était présent :

- Un, deux, trois, quatre, cinq et... Où est la sixième ? Merde où est passé Moustique ?

Les esclaves se redressaient, il s'agissait après tout de l'esclave personnelle de leur maître à tous, l'une approchait de la niche qui se trouvait dans cette vaste chambre et prévenait le monstre :

- Elle est ici maître et...

Un silence étrange venait de se poser sur elle, après tout, elle découvrait que cette dernière était simplement morte à cause de ses blessures. Il fallait dire que lors des ébats, il avait un moment pas été satisfait d'elle et l'avait jeté à travers la pièce. C'était arrivé si souvent que le geste était devenu ordinaire à leurs yeux, mais le choc était loin d'être anodin à chaque fois. Pourtant, ce n'était pas la mort de cette dernière qui venait de la plonger dans le silence, mais ce que cela signifiait. Elle tournait son visage vers le groupe, retenant un tremblement de peur, elle souriait alors que ses yeux s’embuaient de larmes. Les autres comprenaient et un froid glacial se posait dans la chambre. Tous, sans exception, se mettaient légèrement à trembler, cherchant à le contenir au mieux et donner le change. Heinart savait parfaitement ce qui se passait à cause de leur réaction, ce qu'elle venait de voir et surtout ce qu'elle venait de comprendre. Il se levait du lit, approchant doucement de la niche pour observer le corps sans vie recroquevillé dans sa pitoyable niche. Il penchait la tête sur le côté avant d'attraper par la nuque celle qui l'avait découverte et la jeter auprès des autres. Finissant en rouler boulet et à genoux au pied du lit comme les autres qui la rejoignait rapidement. Heinart prenait la parole, une voix sinistre comme toujours et avec un curieux petit sourire :

- L'esclave personnelle est morte, encore une fois... Bon... Qui va la remplacer ?

Toutes les esclaves tremblaient comme des feuilles, la tête baissées, fixant le sol, certaines pleuraient complètement, retenant leurs mains dans leur dos afin d'éviter qu'elles ne viennent étouffer leur gémissement et donc quitter la position d'attente. Homme et femme étaient littéralement pétrifiés de terreur. Personne dans cette pièce, dans cette tour et même sur cette île ne désirait devenir l'esclave personnelle. Après tout, cela signifiait la souffrance, l'humiliation et les tourments sans arrêt. Les esclaves portaient tous un masque, le Père était terrifiant, mais n'être qu'une esclave parmi plein d'autres permettaient de se fondre dans la masse. Cependant, en tant qu'esclave personnelle, cela n'était plus vraiment possible et surtout cela signifiait être très souvent avec le Maître.

Sur cette île, il existait deux castes parmi les humains, les originaux, donc ceux qui étaient présents sur l'île depuis près d'un siècle. En somme, principalement des réfugiés de la guerre, cela voyait en Heinart un sauveur, un dieu qui avait droit de vie et de mort sur tout le monde. Ils effectuent les tâches nécessaires à ce qu'une ville tourne, ils géraient le côté administratif de l'île et les métiers les moins difficiles ainsi que la sécurité. Puis, il y avait la seconde caste, les esclaves, ceux qui n'avaient pas été élevés dans les profondeurs de l'île et ne vouaient pas forcément une vénération envers le monstre. Après, il arrivait souvent que des natifs viennent s'offrir au Père, pour mourir, pour la couche ou le sang. À leurs yeux, c'était un privilège et la famille se mettait presque à pleurer de joie en voyant leur enfant s'offrir ainsi. Si l'offrande était acceptée, la famille était félicitée par les autres Originaux.

Heinart approchait et leur souriait. Un énorme sourire et s'ils ne pouvaient le voir, le savoir si proche était suffisant. Il se penchait vers eux et riait. Le salopard savait parfaitement à quel point ils avaient peur, il y a une minute, ils riaient aux éclats et maintenant ils se faisaient presque dessus. Il annonçait le verdict :

- Aucun d'entre vous... Haha ! Bande d'idiot, dégagé de ma chambre en vitesse et recyclez le cadavre là-bas... Je vais aller voir la petite idiote dans les geôles.

Autant dire qu'il ne fallait pas leur dire deux fois, ils étaient partis avec le cadavre très rapidement, ils ne courraient pas, histoire de ne pas trop faire remarquer leur peur, c'était la règle. Heinart descendait dans les donjons de la tour, emportant avec lui une esclave pour ramener à manger et à boire à la petite Clarissa. Ouvrant la porte, dévoilant le bout de femme suspendu à des chaînes qui se négligeait en s'urinant dessus et ainsi de suite. Elle n'avait plus très fière allure à présent, l'esclave partait rapidement une fois la nourriture déposée et le monstre libérait la petite de ses chaînes. Cependant, elle trouvait encore la force de se mettre à genoux, il ne lui avait pourtant rien dit et elle avait même le courage ou la bêtise de lui poser une question. Son regard toujours relativement vif, mais le reste était déplorable et le fait de parler la fit directement tousser. Elle était au bord des larmes, à peine était-il arrivé et malgré tout ouvrait sa bouche pour parler. Il levait les yeux au plafond alors que l'autre esclave partait très rapidement et lorsque les yeux du Père se posaient sur la fille... Il lui envoyait à nouveau un méchant revers de la main avant d'approcher et de déposer son pied sur le crâne de la chercheuse. Faisant légèrement pression, bien suffisant pour causer une forte douleur, il prenait alors la parole sur un ton calme, mais d'une voix sinistre :

- Ici, c'est moi qui parle et les autres qui répondent. Ouvre encore ta petite gueule sans mon autorisation et c'est de mon fouet que tu goûteras.

Il retirait le pied avant de pointer les gamelles du doigt :

- Interdiction de te lever, rampe ou marche à quatre pattes, je m'en cogne tant que tu ne te lèves pas sur tes pieds. Maintenant va boire et manger... Et sans tes putains de main, sale chienne de la Jurisprudence.

Il était glacial, presque haineux, on aurait dit qu'elle était son ennemi et l'avait tourmenté durant des siècles. Enfin, c'était l'impression qu'il donnait alors qu'il s'adossait au mur, la porte à présent fermée, y voir quelque chose était compliqué dès qu'on s'éloignait du centre. Autant dire que sans les yeux rouges qui brillaient dans le noir, impossible de savoir où il était. Les gamelles avaient été posée à la limite de la grille au sol, ce qui permettait de faiblement les distinguer. L'observant se nourrir, il finissait par approcher à nouveau alors qu'elle était loin d'avoir fini et vint l'attraper par les cheveux pour la faire se redresser sur ses genoux. L'observer se mouvoir était amusant et galérer à se nourrir, mais là, il voulait des réponses :

- Nom, qui tu es et ce que tu faisais aux États-Unis avec les autres.

Alors qu'elle répondait, si elle répondait, ses mains passeraient sur le corps de la demoiselle, il voulait voir si elle réagirait, le repousserait d'une quelconque façon ou se laisserait faire. Effleurement sur la joue, passant sur l'épaule forcément douloureuse, puis passant à l'avant et effleurant la poitrine. Le moindre signe de protestation verrait la prise des cheveux s'intensifier. Dans tous les cas, sa main se faisait enveloppante, intrusive sans aller plus loin que la poitrine pour le moment.

Heinart
C'est partie pour l'aventure !  [Heinart] EmptyVen 26 Aoû - 11:31



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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Depuis combien de temps elle était attaché ainsi, suspendue au plafond par les poignets, elle ne savait même pas pourquoi on lui faisait subir cela, allait-elle servir de pondeuse aussi, comme la soldate ? Elle avait des tas de question qui tournait dans sa tête et aucune réponse ne semblait venir ... Puis enfin, au bout d'un temps infiniment long, la jeune demoiselle vit la porte s'ouvrir. Le chef des monstre était là, a l'entrée de la pièce et semblait l'observer, elle qui avait à peine la force de redresser la tête tellement ses épaules était meurtrie de cette position, une femme marchant à quatre patte attire aussi son regard, la voyant entrer pour déposer des bols avant de ressortir sans un mots, rien. Puis elle se sent chuter sur le grille, trouvant malgré tout ça, la force de se redresser sur ses genoux pour lui demander pourquoi il faisait cela, une question des plus légitime à ses yeux, elle voulait une réponse. Mais à peine avait-elle finit de la poser qu'il s'était approcher pour lui décrocher un autre revers de la main, douloureux pour elle qui n'avait pas l'habitude des sévices de se genre et se retrouve étaler sur la grille qui sert de sol, le larme lui montant au yeux ... La jeune chercheuse allait se redresser quand le pied de son tortionnaire se pose sur sa joue, elle sentait la semelle de sa botte pressé contre sa joue, juste assez pour être douloureux, l'obligeant à rester allonger au sol a grimacer de douleur tandis qu'il lui dit clairement qu'ici, il pose les question et elle répond, sinon, ce serait le fouet. Là, elle ouvre grand les yeux de terreur, comment ça un fouet ?! Non, mais ... Qu'est ce qu'il allait lui faire à la fin, la torturer juste par plaisir ?

Elle n'eut pas le courage de lui poser la question, et puis parler avec une botte pressé sur la joue, c'était assez compliqué ! Mais Clarissa finit par sentir la botte se retirer alors qu'il pointe les gamelles de la main, cette claque venait de lui faire remonter le toux d'adrénaline dans le sang, la réveillant un peu plus. Il lui autoriser a boire et manger, mais en restant a quatre patte et sans utiliser les mains ... Mais pourquoi ? Tournant la tête vers lui, fixant ses yeux violet sur lui un moment, elle ouvre la bouche, prête a parler, mais la peur ... La peur revint lui tordre les boyaux, étais ce judicieux de désobéir encore alors qu'il venait de la menacer ... Elle avait peur, elle était même terrifié par cette homme. Après un petit moment, elle referme la bouche pour allait à quatre patte vers les gamelles. Clari' se sentait vraiment humilier à se déplacer ainsi, étant couverte de crasse et de boue, sa blouse blanche qui n'était plus très blanche déchiré en plusieurs endroit de même que son beau T-shirt, sa jupe écossaise était sale, mais encore en un morceau. Elle puait l'urine depuis qu'elle s'était fait dessus et voilà qu'elle devait se déplacer ainsi et manger juste avec la bouche ? En arrivant au niveau des gamelles, elle ne put s'empêcher de faire une grimace en regardant la purée de ... Elle ne saurait même pas dire ce qu'il y avait dedans, l'aspect un peu gluant et l'odeur désignait tout de même le poisson comme l'un des ingrédient. Mais le fait qu'elle ne doive pas utiliser les mains était ... vraiment humiliant. Commençant par la gamelle d'eau, elle se penche, trop craintive pour désobéir actuellement, surtout qu'il était juste derrière elle ... Elle vient boire comme elle peut dans la gamelle d'eau, trempant ses cheveux crasseux dedans sans le vouloir. Bon, humiliant, serte, mais se désaltérer la gorge était vraiment bon, elle sans même qu'elle ne s'en aperçoive, la moitié de" la gamelle avait été avalé. Ensuite elle se tourne vers la nourriture, la sorte de purée gluante. La jeune demoiselle commence a avalé son plat, s'en mettant sur presque toute la partie basse de son visage, la nourriture n'était pas bonne, lui tirant même une grimace et un frisson de dégout au moment de l'avalé, mais ... elle avait faim et son estomac était étrangement moins difficile dans ses moment là.

Elle se demandait si c'était parce qu'elle faisait partie de la jurisprudence qu'il la traitait ainsi ? Ou bien pour une autre raison, car visiblement, elle n'était pas la première Lacroix a croiser la route de cette chose, faisait-il tout cela pour se venger de quelques chose ? Pourquoi ce genre de genre lui tomber toujours dessus ... Elle sentie un léger goût salée dans la prochaine bouchée de sa nourriture, ses larmes ayant rouler sur ses joues jusqu'à son menton pour tomber dans la gamelle. Elle en était réduite a marcher et se nourrir comme un animal et c'était très humiliant ! Pourquoi la traitait-il ainsi ? Elle pense à sa maison, ses parents ... ses collègues à l'université. Elle voulait retrouver sa vie ! Ou au moins se réveiller de se rêve ... Ou plutôt de se cauchemar !

Alors qu'elle n'avait pas mangé un-quart de la gamelle, la jeune femme sentie une main lui agrippé les cheveux fermement pour la tiré en arrière, lui faisant lâcher un crie de douleur alors qu'elle se redresser rapidement sur ses genoux. Levant les yeux, elle vit le visage de son tortionnaire malgré elle, il lui faisait peur, et quand elle avait peur, la jeune chercheuse essayer souvent de détourner le regard, bien que cela ne fonctionne rarement en réalité, car la curiosité dévorante qu'elle possédait était toujours plus forte. Elle fixe son regard sur le père des monstre, le détaillant alors qu'elle le voit à l'envers. Puis il pose des question, question auquel il voulait des réponses.

- Je ... m'appelle Clarissa Lacroix. Je, je suis une chercheuse ! J'était juste ...

Clari' sent sa respiration s'accélérer alors qu'elle la main de l'homme commence lui caresser la joue, instinctivement, elle essaie d'écarter son visage, comme si elle voulait éviter le plus possible les contact avec lui, mais elle ressent une douleur au niveau de sa chevelure quand il resserre son emprise dessus comme pour la rappeler à l'ordre ... Mais à l'ordre de quoi ?! Elle n'avait pas envie qu'il la touche en plus ! Sa respiration devient plus forte à mesure que la mains descend, sur son cou, Etais ce du à la panique ... Ou bien à l'excitation de voir une créature mythique de si près ? Bien que là ce soit trop près a son goût quand même.

- ... Juste en observation des ... Créatures surnaturelle, c'est ma spécialité de ... les étudier. Je ... je suis au camp que ... depuis Hier, je sais ... rien sur ce qu'il faisait ! Je devais ... Observer des créature non identifier.

Là, la pauvre demoiselle ressentie un long frisson alors que la main passé sous son T-Shirt pour lui caresser la poitrine, la faisant grimacer de douleurs quand il passe sur ses épaules. Elle essaie de bougeait, de le repoussait, mais la prise sur ses cheveux fut une nouvelle fois plus douloureuse pour la rappelé à l'ordre. Des larmes roule encore sur ses joues, elle était toujours en état de choc ... Après tout, quoi de plus normal après avoir vécue tous ce qu'elle venait de vivre ? Elle jeta un regard suppliant à son tortionnaire, d'arrêter, de la relâcher, elle n'avait rien fait et ne méritait pas cela ! Frissonnant à chaque fois qu'il venait à laisser la main passer sur des zone plus sensible de sa peau. Sanglotant, elle finit par ouvrir la bouche, terrifié.

- Pitié, je ... laissez moi partir, je ... Je n'ais rien fait de mal, je ... veux juste rentrer chez moi !

Elle ne pouvait rien faire contre lui et elle n'y avait même pas songer depuis sa piètre tentative dans les ruine du camp ... Après tout, même ces Illustres ancêtre n'avait pas réussie, alors elle, une simple chercheuse qui n'étais pas très doué dans les cours de sport à l'école ... Elle n'avait aucune chance contre une créature surnaturelle comme cela, mais peut être que ... Si il comprend qu'elle ne sait rien d'utile, il la relâcherait ? ... Ou la tuerait comme sa consœur, cette pensée eu pour effet de la faire éclater dans un gros sanglot sur l'instant, bien qu'elle commencerait à paniquer et s'agiter si, l'homme exécute sa menace du fouet pour avoir parler à nouveau sans autorisation ... Oui, c'est une chercheuse qui de base, n'a pas sa langue dans sa bouche après tout, alors quant elle est terrifié et choqué ... Elle parle avant de réfléchir.
Clarissa Lacroix
C'est partie pour l'aventure !  [Heinart] EmptySam 27 Aoû - 2:19



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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La petite semblait légèrement teigneuse, ce n'était pas vraiment pour lui déplaire en vérité, sans un peu de force de caractère, elle se ferait bouffer tout cru et elle lui serait bien inutile. Cependant, trop, cela l'énerverait trop vite et trop souvent, sa pitoyable carcasse ne supporterait pas longtemps les punitions. Néanmoins, il reconnaissait qu'elle avait aussi une certaine résistance, après tout, elle parvenait à se déplacer à quatre pattes malgré l'état de ses épaules et se redresser sur ses genoux. En soi, c'était un début prometteur, il n'était pas idiot, il voyait bien la honte qu'elle ressentait à devoir se mouvoir de la sorte et manger de cette façon. Visiblement, cette famille faisait toujours encore partie de la haute et ne supportait que très mal d'être ainsi rabaissé. Certes, mais cette petite allait rapidement apprendre qu'ici, elle n'était vraiment pas grand-chose et allait devoir travailler très dur pour survivre.

L'empêchant de trop manger, déjà qu'il avait laissé pas mal d'eau rentrer, heureusement, il nourrissait à la gamelle, sinon cette idiote aurait sans doute vomi toute l'eau et le repas. Cela n'avait rien à voir avec le goût, elle n'avait rien avalé depuis plusieurs jours et en descendre de trop d'un coup pouvait provoquer des problèmes. Heinart en savait bien plus qu'on ne le pensait sur ce qu'un corps humain pouvait ou non subir. Du coup, la vérité était qu'il rendait service à la petite en la faisant manger ainsi, empêchant donc qu'elle en avalait de trop d'un coup. Évidemment, il ne faisait pas manger en gamelle pour cette raison, mais c'était un bonus non négligeable. Cette façon qu'elle avait de le regarder, d'oser déjà le faire, mais il sentait sa peur et cela ne ressemblait pas à du courage. Alors quoi ? Était-elle simplement trop curieuse ? Les humains pouvaient se montrer assez stupide pour cela, mais cette curiosité leur avait permis de telles découvertes qu'il n'irait pas jusqu'à dire que c'était un défaut. Cela dit, dans son cas à elle, cela relevait de l'inconscience et heureusement pour celle-ci, elle commençait à répondre à ses questions suffisamment rapidement pour éviter une nouvelle correction.

Clarissa Lacroix, elle était donc bien une Lacroix, une descendante de ceux qu'il avait rencontrés et s'il se référait à ce qu'elle avait dit au campement, un héritage quelconque sur lui avait été transmis. Elle lui révélait être une chercheuse, mais en quoi ? Il semblerait que sa façon de la toucher la rendait beaucoup mal à l'aise, suffisamment pour la couper et la faire tenter de le repousser. Mauvaise idée, il rappelait la petite à l'ordre en faisant pression avec la poignée de cheveux qu'il avait entre ses doigts. Elle n'aimait vraiment pas cela, grand bien lui fasse, lui, il appréciait et en conséquence ne se gênerait pas pour continuer. La chercheuse poursuivait malgré sa gêne évidente et dévoilait en quoi elle était une chercheuse. En créature surnaturelle, là, elle éveillait sa curiosité, elle devait observer des créatures non identifiées, peut-être les Nosferatus qui surveillait le campement ? Possible, elle tentait aussi de justifier des choses inutiles, comme le fait qu'elle venait d'arriver, qu'elle ne savait rien, si elle pensait que cela la mettait dans ses bonnes grâces, elle faisait une lourde erreur. Sa main continuait son cheminement, s'amusant à présent avec la poitrine sous ses vêtements et chaque tentative de bouger se soldait par une douleur plus vivace.

Cette façon qu'elle avait de le regarder, les yeux baignant de larmes, frissonnante et totalement paniquée. Là encore, elle ne faisait que l'exciter en vrai, à se demander si elle ne le faisait pas exprès de se montrer aussi vulnérable. Elle trouvait le courage de prendre la parole, même si sa voix tremblait de peur, le suppliant de la laisser partir, qu'elle n'avait rien fait de mal et qu'elle voulait juste rentrer chez elle. Heinart ricanait à présent avant de retirer sa main de la poitrine pour la traîner à nouveau au centre de la pièce. Il faisait en sorte qu'elle se mette à genoux avant d'aller amener des chaînes qui étaient visiblement au niveau des murs. Les poignets furent attachés de sorte que ses mains demeures bien écartées et tendu vers les côtés. Des fers furent placés ensuite au niveau des genoux et relié à la grille rigide au sol. Ses cuisses se retrouvaient bien écartés, mais tendu comme elle l'était au niveau des bras, elle ne risquait pas de poser ses fesses au sol, ni même sur ses chevilles. Là, il revient face à elle et faisait s'allonger l'une de ses griffes. Attrapant ses vêtements de son autre main, il tranchait lentement les vêtements, commençant par le superflu avant de s'attaquer aux parties les plus intimes. Il ne lui laissait rien et qu'importaient ses protestations, la prise de parole serait directement soldé par une gifle avant qu'il ne poursuive. Chose faite, il se redressait et allait chercher son fouet pour revenir face à elle et bien lui montrer :

- Je t'avais prévenu, je ne suis pas un menteur, je n'en ai pas besoin, mais cela signifie aussi que j'exécute toujours mes menaces.

Heinart contournait la chercheuse pour se placer dans son dos à bonne distance et armer son fouet. Le coup qui s'en suivait avait claqué fort, sifflé dans l'air juste avant et laissant ainsi le grand plaisir de paniquer un quart de seconde avant l'impact. Sa peau se déchirait sous le choc, la douleur pour une jeune chercheuse comme elle devait être incroyable et c'était pour cela qu'il laissait le temps à la gamine de bien ressentir chaque partie de la douleur. Sa voix sinistre reprenait, donnant une leçon importante à Clarissa :

- Je suis un monstre, une engeance traquée autant par les créatures surnaturelles que par les Hommes. La pitié, je ne connais pas, je l'ai oublié après l'avoir trop souvent scandé, tu n'as rien fait de mal ? Pauvre petite chose, bien sûr que si, tu respires, tu es belle, tu te crois le droit parler alors que je te l'avais interdit et toi et ton espèce pensez que ce monde est le vôtre.

Il frappait à nouveau, fort, sans pitié d'aucune sorte, formant ainsi une croix dans son dos de chaque épaule jusqu'à la base des fesses. Le sang coulait doucement alors qu'elle pouvait l'entendre approcher à nouveau et se placer face à elle ensuite. Des gouttes carmin coulaient du fouet enroulé qu'il déposait sur la grille, ses mains vinrent à nouveau éprouver sa poitrine découverte et cette fois, il agrippait les tétons entre ses doigts. Les pressants pour la faire couiner tout en souriant de la voir souffrir ainsi :

- Je ne suis pas l'ami de l'humanité, je suis votre prédateur, vous êtes ma nourriture et ma proie. Si je ne te dévore pas, alors tu me serviras, tu ramperas à mes pieds, tu me supplieras bientôt de te frapper, car cela signifiera que j'ai encore envie de toi. Cependant, si je perds cette envie, je te jetterai avec les autres esclaves de bas étages, tu travailleras sous le fouet, tu mourras de faim et sera violé par les gardes comme bon leur semble... Remercie ton ancêtre, il y a dans ton sang un délicieux arrière-goût que j'apprécie beaucoup, grâce à lui, je ne risque pas de me lasser de toi.

Heinart faisait faire un tour complet aux tétons avant de poursuivre :

- Par contre, veux-tu n'être qu'un gigot dans un frigo ? Pendouillant dans le vide dans l'attente de mon prochain passage, où je me nourrirais de toi à te laisser presque morte ? Je peux aussi te changer en légume serviable et sans éclat afin que tu me serves dans le silence ? Dans tous les cas félicitation, tu es à présent mon esclave personnelle, tu vas hurler, pleurer, jouir et maudire... Mais tu vivras et je vais peut-être même te laisser poursuivre tes recherches sur mon espèce. Je veux savoir ce que je suis, car je suis unique.

Il n'avait pas conclu par ce mot pour rien, si une partie de la force de ses ancêtres se trouvait en elle, alors peut-être que sa passion la sauverait. Rien de mieux qu'un but pour survivre et mieux endurer ce qui l'attendait. Puis, si cela lui permettait d'enfin en savoir davantage sur ce qu'il était, il ne cracherait pas dessus. Il relâchait la poitrine et laissait ses doigts pianoter lentement, mais sûrement, sur son ventre jusqu'à son intimité qu'il venait titiller doucement.

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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Clarissa n'avait même pas mangé un-quart la nourriture se trouvant dans la gamelle qu'il venait l'en écarter en lui tirant les cheveux pour ensuite lui poser des question, pourquoi ? Pourquoi lui poser ses question à elle ? Après tout il aurait eu plus d'information en les posant directement au chef des chercheur au lieux de le dévorer. La demoiselle ne tente même pas de résister, répondant rapidement au question avec ce qu'elle connaissait et elle essayer ensuite de lui demander de la relâcher, car elle n'en savait pas plus et qu'elle ne lui était pas vraiment utile, elle avait fixer son regard sur lui, brillant d'une étrange lueur de fascination malgré ses larme et sa peur.

Après cela, elle sent la main baladeuse se retirer avant de crier de douleurs alors qu'elle se faisait trainer de nouveau par les cheveux, il va finir par les arracher à la fin ! Elle gémie et couine de douleurs alors qu'elle se retrouve à nouveau au centre de la pièce, l'endroit le plus éclairer avant d'être redresser sur ses genoux. Mais lorsqu'il lui attache un bras tendue vers l'un de mur, Clarissa se met à paniquer, essayer de se soustraire a son emprise. Elle fut rapidement réprimander d'une gifle qui la sonne quelques peu alors que les larme coule sans discontinuer sur ses joues, puis l'autre bras est rapidement attacher à l'opposer du premier. Elle ne peut que le regarder faire de même avec ses genoux écarté et fixé à la grille sur le sol, en larmes et complétement paniquer. Ces épaules étant toujours douloureuses de plus, elle ne peut retenir des couinement de douleurs quand il la manipule.

Alors qu'elle lève son regard apeuré sur lui quand il se replace face à elle, allongeant une griffe. Clari' regard cela avec curiosité et terreur en même temps et elle essaie de remuer, bouger pour éviter cette griffe qui s'approche d'elle afin de déchirer et de réduire en lambeaux ses beau vêtements, mais pourquoi faisait-il ça ? Qu'est ce que ça pouvait bien lui apporter ? Dans un moment de rage, elle essaie de tiré sur les fers, mais elle lâche rapidement un couinement de douleur avec une grimace. Elle venait de se faire mal toute seule ...

- Non ! arrêter ! Vous n'avez pa- ...

La chercheuse ne peut terminer sa phrase, se prenant une gifle plutôt douloureuse et malgré ça, elle ne peut s'empêcher de remuer vainement alors que son tortionnaire venait déchirer ses sous vêtement terminant de la mettre toute nue, dévoilant sa peau blanche dépourvue de cicatrice ou de tatouage, montrant qu'elle a plutôt été sage au cours de sa vie.

Clarissa le suit du regard, puis de la tête quand il s'éloigne, mais ses yeux violet s'agrandisse d'horreur en apercevant ce qu'il avait en main en revenant vers elle. Elle savait qu'il venait se placer juste devant elle pour bien lui montrer l'objet, qu'elle puisse commencer des maintenant à imaginer la torture. La jeune demoiselle se met a secouer vigoureusement la tête de terreur, tirant sur les chaines, mais rien y fait, elle est solidement enchainer et la seule chose qu'elle réussie a faire est de se faire mal toute seule. Alors qu'il commence a faire ne tour, elle ne suit du regard, voulant parler, plaider sa cause mais ... à cause de la peur, elle se taie, craignant qu'il n'augmente la punition. La jeune femme semble en panique totale alors qu'elle sursaute et ferme les yeux en entendant le sifflement de la lanière de cuir juste avant que ça ne déchire la peau dans son dos, une peau douce et blanche, déchiré désormais de l'épaule jusqu'à la base des fesse. La douleurs fut elle, que la demoiselle hurle de douleur, une douleur qui se propager dans tout son corps. Son dos lui brulé, la faisant sangloter alors que la voit de son tortionnaire parvient a ses oreille malgré la panique et la douleur qui venait d'envahir son cerveau.

Elle l'entendait dire qu'il ne connaissait pas la pitié, qu'il était un monstre traqué par tous et qu'elle était fautive de bien des chose ... Mais elle n'avait rien fait ! Elle n'y pouvait rien pour la beauté et n'était en rien responsable de se que faisait l'humanité de ce monde ! Elle sanglote, son dos la faisant souffrir atrocement, n'ayant jamais ressentie pareille douleur ... Puis elle lâche un autre hurlement de douleur a s'en arracher les cordes vocale, se terminant en sanglot alors que le son dos venait d'être marqué d'un deuxième coup de cette objet de torture, rendant les plaie symétrique l'une de l'autre. Clarissa n'essaie même pas de retenir ses larmes, son dos n'étant plus que douleurs tandis que le monstre reviens dans son champs de vision face à elle, son sang perlant de la lanière de cuir du fouet qui venait de lui mordre le dos. Elle sentait son sang également rouler sur son dos, s'échappant des deux plaie ouverte.

Clari' le vit déposer cette objet de douleur et de peur sur la grille avant de sentir les doigts de cette homme venir presser ses petit tétons à la faire couiner de douleurs de nouveau. Puis elle l'entend parler qu'il garde les doigts pressé sur ses tétons, disant qu'il était le prédateur de l'humanité et non son ami. Que si il ne la mangeait pas, alors elle le servirais, ramperait a ses pieds, que bientôt, elle le supplierait de la frapper car si il venait a se lasser d'elle, ce n'en serait que plus dur avec les autres esclave de bas-étage ... Mais, elle ne voulait pas rester, elle voulait rentrer chez elle, reprendre sa vie ... De nouvelle larmes roule sur ses joues, lâchant un autre couinement de douleurs tendis qu'il fait faire un tour complet a ses pauvres tétons devenue tout douloureux, mais pas autant que son dos.

Elle se demande pourquoi il parle de ses ancêtre qui aurait laisser un gout délicieux dans son sang, cela rester du sang, non ? Humain de surcroit ... Puis, elle l'écoute parler, restant silencieuse pour le coup ... Son dos lui servant de leçon plutôt ... marquante. Il se met a lui parler de deux "solution" et l'une comme l'autre, elle n'avait pas vraiment envie de les subir ... Elle baisse la tête un instant avant de la relever d'un coup d'horreur quand il vient la félicité car dorénavant elle était son esclave personnelle ! Mais mais ! Mais elle n'en avait aucune envie ! Mais pourquoi elle ! Non ! Non, elle ne voulait pas être l'esclave de se monstre ! Des larmes remonte aux yeux avant de rouler doucement, silencieusement sur ses joues. La jeune femme évitait de trop bougeait car son dos était encore trop douloureux. Il lui annonce qu'elle vivra, comme si elle n'avait pas le choix et que si il était d'humeur, peut être la laisserait il étudier son cas unique ... Oui, malgré toute cette peur, cette douleur, cette envie de fuir ... A cette annonce, c'était presque sur que son nouveau "Maître" verrait de la curiosité typique d'une chercheur dans le fond de ses iris mauve. Après tout, peut-être quand faisant ses recherche, elle trouvera de quoi s'enfuir, se libérer de lui ... voir même réussir là ou son ancêtre avait échoué ...

Son corps tremblait doucement a cause de la douleurs des coups de fouet marquant son dos. Gardant son regard fixé sur lui tendis qu'elle sent les doigts enfin lâcher la pression sur ses tétons pour descendre sur son ventre, elle compris rapidement ou cela se diriger, mais ... Elle ne voulait plus qu'il la touche, remuant doucement, sentant son corps frissonner au contact des doigts se rapprochant de son intimité, elle avait envie de hurler, de lui crier d'arrêter, de ne pas la toucher, surtout pas là ... là ou personne encore ne s'était encore approcher. Oui, elle est toujours vierge, mais entre les main de cette chose, elle craignait pour son intégrité, sachant qu'elle était persuadé qu'il s'arrangerait pour qu'elle ne meurt pas avant qu'il ne se lasse d'elle ... si il se lasse un jours. Clarissa essaie de remuer doucement, son dos lui bruler, il était douloureux et elle ne pouvait même pas soulager cette douleurs, ne pouvant que ... la supporter malgré elle, sentant un nouveau frisson, plus fort cette fois, sentant les doigts titiller son intimité, fermant les yeux pour ne pas voir cela ... Mais cette curiosité, terrible curiosité la pousse a ouvrir de nouveau les yeux, fixant son regard sur celui Heinart, comme si elle cherchait à percer le mystère de cette être unique à travers les regard.
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La douleur, elle y était réceptive, la faire souffrir et plier ne serait pas compliqué. Cependant, il voyait qu'une chose n'était pas près de disparaître, c'était cette curiosité, elle s'y accrochait et même si elle voudrait s'en détacher, elle en serait bien incapable. Lui annoncer qu'elle pourrait l'étudier semblait être une carotte qui lui plaisait beaucoup, qu'importait combien elle cherchait à le cacher, c'était une évidence. Néanmoins, elle était fermement contre l'idée de le servir, n'appréciant aucunement sa façon qu'il avait de la toucher, pauvre petite créature qui pensait que son avis avait la moindre importance. La petite avait mal, tremblait de douleur, de peur et ne pouvait s'empêcher à la fois de frissonner à ses caresses. Il supposait, à l'odeur, à sa manière d'être, qu'elle était encore vierge, une jeune chercheuse comme elle, il ne serait pas étonné. Attaché comme elle était, bientôt ses genoux seraient douloureux, être ainsi sûr des barres de métal, il y avait bien plus confortable, la douleur dans son dos l'empêchant de se réajuster pour soulager la pression. Puis, ce n'était pas comme s'il s'était assuré qu'elle ne puisse fermer les jambes et donc les mouvoir, même le haut du corps était bien limité dans ses gestes.

Pourtant, elle avait tenté à plusieurs reprises de bouger, d'échapper, vainement, mais elle essayait malgré tout et ne gagnait que des piques de douleur. Ses doigts entraient en contact avec les plis les plus sensibles, elle frissonnait encore, remuait dans la douleur et tentait de fermer les yeux. Cependant, l'occulter semblait impossible et ses pupilles se dévoilaient déjà à nouveau. Quelle curiosité, quelle soif de découverte, cette flamme, il l'avait déjà vu mainte fois chez l'Homme et si souvent ces derniers avaient fini par se brûler. Son doigt se glissait entre les plies, écartant les lèvres intimes pour le plaisir de la voir subir sans rien pouvoir faire. Là, le doigt au chaud, il souriait légèrement avant de demander de sa sinistre voix :

- Es-tu vierge ? Je crois bien que oui, pauvre chose, ne t'en fais pas, je prendrai ton cul en premier.

Il avait parlé avec une telle sincérité et ne semblait pas plaisanter du tout. Tirant un peu son doigt pour tordre son corps qui ne pouvait se mouvoir et la faisant ainsi grimacer encore davantage :

- Enfin, là, je ne parlais que de tes trous du bas, ta bouche va servir dans peu de temps, mais je vois dans ton regard que tu es contre. Attends un instant, je vais te convaincre d'ouvrir la bouche et d'appeler ma queue au plus profond, j'attends tes suppliques.

Disait-il alors que son pouce vint d'un coup se placer au niveau de la perle et se mettait à faire pression dessus des deux côtés. Le doigt à l'intérieur, le pousse à l'extérieur, créant une espèce de pince pour la faire couiner. Si elle hurlait, chose qui risquait fort d'arriver, sa main libre viendrait la gifler à nouveau alors qu'il précisait :

- Je n'aime pas qu'on hurle dans mes oreilles petites chercheuses.

Il s'amusait un peu à la faire couiner de cette façon avant de se redresser en délaissant le corps. Il se tournait pour rejoindre le mur et saisir une espèce de matraque munie de deux pointes en métal au bout. Aucune n'était destinée à percer la peau, mais elles servaient à déverser une chose bien douloureuse. Heinart revenait vers l'esclave et lui montrait le bâton avant d'appuyer sur un petit bouton au niveau du manche. De petits crépitements se voyaient, signe assez clair qu'il s'agissait d'une matraque électrique sans doute modifiée. Son regard n'avait rien d'avenant, il semblait presque impatient de l'utiliser, qu'importaient ses suppliques, ses promesses, il plaçait le bout contre son ventre et envoyait une lourde décharge dans le corps de la suppliciée. Le bruit à peine perceptible du bouton qu'il pressait, ce dernier précédait la douleur, une douleur accompagnée d'un fort bruit au moment où le courant électrique touchait le corps. Elle allait rapidement paniquer en n'entendant rien que le son du bouton, craindre la détonation du bâton lorsque le jus passait et évidemment maudire la douleur ressentie. Même en voulant hurler, elle n'y parviendrait pas son corps n'obéissant plus, l'électricité était Roi dès le moment où il pénétrait la peau. Clarissa allait se retrouver tétanisé, incapable de se mouvoir alors que la douleur pulsait comme jamais. Puis, le bâton reculait et là... Là, il était possible d'hurler, ce qui risquait d'arriver, le corps tendu, cabré au maximum suite à la décharge allait retomber. Evidemment, chaque hurlements recevraient son dû, une gifle puissante. En somme, elle allait à nouveau fonctionner uniquement pour encaisser ce qui venait de se produire.

Cependant, malgré l'épuisement des plus intenses après une telle douleur, elle risquait de vite se réveiller en voyant le bâton approcher à nouveau pour se poser sur l'un des lourds seins. Aucune décharge pour le moment, il ne pressait pas le bouton, mais il regardait droit dans les yeux la petite esclave. Elle n'y trouverait aucune compassion, aucune pitié, uniquement de l'amusement pur et simple. Il se régalait de la peur qu'il engendrait, il se languissait de la prochaine douleur qu'il allait pouvoir infliger. C'était pour cela qu'elle pourrait supplier, cela n'y changerait rien, elle pourrait même appeler sa verge, à ses yeux, elle ne supplierait pas assez fort et avec suffisamment de conviction. Il envoyait une nouvelle décharge, longue de quatre secondes, le double de la première, une odeur de brûlé remontant alors qu'il retirait le bâton. Les deux endroits directement touchés laissait voir la marque des deux pointes brûlées légèrement. Là, il ricanait en attrapant l'esclave à la gorge afin de s'assurer qu'elle ne bougerait pas trop et plaçait le bout sur le téton de l'autre sein. Il pressait ce téton, l'écrasant sous le poids de sa force et de la matraque. Il relâchait la gorge afin qu'elle puisse bien voir l'emplacement, imaginer la suite et anticiper la douleur. Elle aurait beau essayer de ne pas y penser, plus on essayait de le faire et moins on y parvenait. Allait-elle être très très convaincante cette fois ? Où désirait-elle une nouvelle décharge ?

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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Clarissa était complétement terrorisé alors que ce monstre jouait avec elle, l'attachant dans une position contraignant et la rendant vulnérable, bien que, par rapport a lui, elle était toujours vulnérable ... Elle n'était qu'une faible humaine, contre une créature de légende, aussi ... aussi imposant que le célèbre comte Dracula ! Ce monstre venait de la punir pour avoir osé prendre la parole sans en avoir reçu l'autorisation, il s'amusait encore avec elle, ricanant de ses tourments et ce, peut importe ce qu'elle pouvait dire pour espérer éviter cela, rien y faisait ... Le jeune chercheuse avait compris, qu'il s'amusait tout simplement avec elle, comme un enfant s'amuserait de son nouveau jouet. Elle avait essayer de se débattre, cela n'avait fait qu'accentué la douleurs ressentie dans ses bras tendue de chaque coté ...

Mais la demoiselle ressentie un regain de force pour se débattre alors qu'un doigt entrait en elle doucement, elle le sentait écarter doucement ses lèvres intime avant de le ressentir en elle, lui faisant  hoqueter de surprise et de terreur. Elle voulait lui dire d'arrêter, lui crier dessus, mais son dos encore brulant de douleur sanglante l'en empêcher ... Comme si sa gorge, son corps refuser de produire le sons nécessaire au mots, laissant juste des larmes rouler sur ses joues, mais malgré tout cela, toute cette terreur, elle n'y arrive pas ... Clarissa n'arrive pas a détourner les yeux de lui plus de quelques seconde, une partie d'elle toujours fascinée par cette être unique alors que tout le reste de son corps était terrifié par ce même être.

La jeune femme écarquille les yeux à la question sur sa virginité, secouant la tête comme pour réfuter la déduction qui suivie, mais les battement de son cœur parlait pour elle, tout comme l'on pouvait lire la réponse sur son visage si expressif, a cette façon qu'elle avait d'essayer de retenir un sanglot alors qu'elle avait déjà atteint le fond, du moins le croyait-elle alors que le père des monstre lui annonce qu'il commencerait par son petit troue, il parlait même de la bouche, comme quoi, elle le supplierait d'avoir la ... chose dans sa bouche, pourquoi, ferait-elle une chose pareille ?! Il faudrait être vraiment briser pour cela ... Elle ne put retenir un couinement de douleur alors qu'elle sentait sa petite perle de plaisir pressé entre les doigt de son tortionnaire qui ajoute qu'il n'aimait pas que l'on crie dans ses oreilles. La pauvre demoiselle ouvre la bouche en grand, comme pour crier, mais retient sa voix au dernier moment, le corps prit d'un grand et long frisson, finissant par émettre un long couinement de douleur. Puis la douloureuse pression qui contracte tout son corps se relâche d'un coup, elle lève un œil vers lui, le suivant du regard, peut être en avait-il finit avec elle ? Peut-être allait-il sortir pour la laisser croupir ici, ou mieux la détacher avant de ... Clari' laisse échappé un couinement de désespoir en le voyant prendre un bâton pour revenir devant elle.

Un simple coup d'œil sur l'objet suffit à lui faire comprendre, à la faire paniquer complétement, s'agitant d'un coup alors qu'il venait d'appuyer sur le bouton pour le faire fonctionner. Une putin de matraque électrique ! Elle remue comme une endiablé, se faisant plus de mal que de bien, mais son état de panique rendait tout raisonnement ... superflue.

- Non ! Non, pitié arrêter ! Je ... ferais ce que vous voud- ...

Malgré ses suppliques, elle le vit poser le bâton sur son ventre, les deux pointe de métal froid la fit doucement frissonner, étais le froid ? ... Ou savoir la douleur imminente qui venait de la faire frissonner, elle n'en savait rien. Mais la suite fut terrible pour la nouvelle esclave personnelle de ce monstre. Elle venait de l'entendre appuyé sur le bouton, puis une intense douleurs bloquant tout son corps, comme si il était contracté à l'extrême, elle ouvrait la bouche, mais aucun sons n'en sortait ... Son regard montrant une intense douleur. Le crie vint après, une fois la décharge passé, un bref crie de douleur suivie d'un sanglot. Elle respire fortement, choqué de ce qu'elle venait de subir, puis une puissante gifle vint après son crie. Elle lève un regard sur lui, en larme, pitoyable et craintive. Mais aussi, une lueur de rage au fond de ses yeux violet. Puis la peur revint en force quand elle voit de nouveau la matraque se poser sur son sein, secouant la tête, lâchant un sanglot avant de fermer les yeux, tachant de se préparer à la douleur, véritablement terrorisé. Mais seulement la douleur attendue ne vient pas ... L'esclave ouvre doucement les yeux pour voir le regard du monstre, un regard sans aucune compassion ni pitié, simplement amusée de la situation, cela l'amusait vraiment de la tourmenté. Elle ouvre la bouche, le visage plein de larme, mais ... Elle ne dit aucun mot, sachant que cela ne servirait ç rien ç l'heure actuelle. La créature ne la torturait pas pour des information ou autre chose, non ... Simplement pour le plaisir. Quand elle entend le bouton, puis la douleur qui suivit, le crépitement, mais quand il survient, elle a déjà mal, une terrible douleur qui lui tétanise complétement le corps, bien entendue. La chercheuse savait ce que faisait l'électricité sur un corps humain, elle l'avait déjà étudié dans des projet pour la capture des créatures dangereuse ... La douleur tétanisante dure ce qui semble être une éternité pour elle, ouvrant la bouche dans un crie muée. Quand enfin cela s'arrête, elle lâche un long crie de douleur qui se finit subitement sous un bruit d'une gifle résonnant dans la salle. Clarissa baisse le regard sur son corps voyant les trace de brulure sur son sein, laissant tomber un nouveau sanglot, complétement sonné et choqué. Puis elle fut surprise et terrifié d'être attrapé par la gorge, l'empêchant de remuer d'avantage alors qu'elle sens le bâton se presser contre son téton, celui de son sein encore épargné pour le moment. Elle sait que la douleur allait être terrible, pire encore que la dernière décharge, elle en tremblait déjà de peur, elle renifle avant de sangloter. Clari' essaie de se préparer à la douleur, mais elle ne sentait pour le moment que le poids du regard de ce monstre sur elle, il ... lui laissait une chance de plaider sa cause ? Enfin ... Plutôt de le supplier de ne pas le faire, il l'avait dit qu'elle finirait par le supplier de mettre sa queue dans sa bouche ... Elle ne peut toujours pas détourner le regard malgré sa terreur, une terreur bien visible dans ses yeux violet.

- Pi ... Pitié, je ... vous supplie de me mettre votre queue dans ma ... dans ma ... Bouche, je vous ... en supplie, laissez moi ... Vous sucez ...  

Clarissa n'arrivait pas a y croire, elle venait vraiment de le supplier ainsi ? Mais elle était terrorisé, c'était normal de dire n'importe quoi pour éviter plus de douleurs non ? Oui, la jeune chercheuse trouvait cela logique, elle ne voulait plus subir une autre décharge alors elle fait le nécessaire pour ne pas la subir ... Mais est ce que cela lui suffirait a lui ? Elle garde ses yeux fixer sur lui, cherchant a découvrir ce qu'il pense la maintenant, espérant vraiment qu'il n'allait pas appuyer sur le bouton de ce bâton terrifiant qui lui presser son pauvre téton actuellement, elle ne réalise pas encore ce qu'implique le fait qu'elle est était choisie comme esclave personnelle ... Et elle était pas sur de vouloir le savoir ...
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Il ne se lassait pas de tourmenter les pitoyables humains qui se retrouvaient entre ses griffes et autant dire qu'avec le temps, il avait développé un sacré talent pour les faire céder. Quoi de plus normal, cette petite n'était guère si différente, la seule chose qui pouvait varier, c'était le degré de résistance à la douleur. Cependant, il ne l'avait pas brisé, il ne l'avait pas non plus fait céder, non, elle n'avait qu'accepté une chose pour échapper à une autre qui lui semblait pire. En somme, là, elle pensait encore avoir le choix, bientôt, elle découvrirait qu'elle n'en avait aucun. Il décidait, elle obéissait, il voulait qu'elle le supplie, il avait fait en sorte que cela arrive et lui avait expliqué ce qui se produirait à ce moment-là. Rien de fou, mais pour cette chercheuse, c'était énormément et si difficile. Elle devait se sentir si faible, si fragile, apportant son lot d'excuse sous des raisonnements foireux dans l'espoir de garder un peu d'estime. Là encore, ce n'était qu'une illusion, il retirait pourtant le bâton, le gardant en main cela dit alors qu'il se plaçait face à elle. La hauteur ne collant pas très bien, il allait au niveau de la télécommande et faisait monter les chaînes de sorte à obliger la jeune femme à se faire la plus grande possible sans que ses genoux ne quittent le sol. Puis, il revenait se mettre face à elle et prenait la parole tout en balançant de droite à gauche et inversement le bâton :

- Ajoute des gestes à la parole petite.

Vu sa situation, il était évident que le seul geste en son pouvoir était d'ouvrir la bouche, tout simplement, si elle ne le faisait pas, le bâton goûterait son sein et plus précisément le téton. Cependant, si elle était obéissante et ouvrait la bouche. Elle accueillerait sans attendre la verge du monstre. Chose promise, chose due et il glissait doucement jusqu'au fond de la gorge. Il se fichait bien de l'étouffer, de la faire vomir ou autre. La main de libre se plaçait derrière sa tête pour l'empêcher de reculer alors qu'il coulissait jusqu'au bout et y restait quelques instants :

- Je vais te donner une seule chance, rien qu'une, lorsque je sortirai, tu avanceras de toi-même pour la remettre tout au fond. Si tu échoues, je prendrai mon dû à ma façon.

Un léger sourire en coin apparaissait sur son visage, car il fallait le reconnaître, elle n'avait pas la moindre chance de réussir une telle gorge profonde du premier coup en étant une petite vierge. Puis, il n'était pas mal membré, certaine femme serait peut-être impressionnée, trop, mais d'autre y verrait un sacré molosse à enfiler. Qu'importait, cette dernière avait fait beaucoup de mal et ce n'était pas terminé. Heinart avait simplement été proportionnel, il était grand et large, sa verge était à son image. Il avait reculé, laissant la petite tousser, vomir probablement avant de juste la gifler pour la ramener à la réalité et comme d'habitude, on ne parlait pas d'une petite baffe, mais plutôt du genre de gifle qui foutait un homme par terre. Heinart n'avait pas la patte légère en la matière et la petite allait devenir naturellement plus résistante à force d'encaisser. Il replaçait sa verge dans la bouche offerte et attendait. Cependant, il ne fallait pas jouer avec lui, avec ses nerfs, il n'était pas du genre très patient et elle allait devoir se lancer vite. D'ailleurs, même s'il était certain de son échec, il l'obligerait à essayer, quitte à la motiver avec le bâton. Plaçant ainsi ce dernier sur le téton, la peur encore récente devrait faire son œuvre pour la faire essayer. La pauvre petite chose n'ayant aucune chance de réussir, à peine dépassait-elle la fameuse limite qu'elle reçut des hauts le cœur. La réaction réflexe du corps fit qu'elle rejetait la verge et toussait à en saliver sur le sol. La peur ne faisait aucun doute, le temps que son cerveau réalisait qu'elle venait d'échouer, mais elle aurait tout juste un instant, rien de plus, juste pour qu'elle comprenne. Ses mains attrapaient la tête de l'esclave et la verge profitait de la quinte de toux pour s'engouffrer dans la gorge sans sommation. Il lui démolissait la bouche, violant sa gueule comme la dernière des traînés. En somme, il baisait et ravageait sa petite bouche de chercheuse. Elle pouvait pleurer, tenter de gigoter, cela n'y changerait rien du tout, mais préférant éviter un incident douloureux, il ressortait finalement, laissant la petite subir les relents d'un tel acte.

Heinart revenait avec une petite ceinture un peu bizarre, sans chercher à recevoir un quelconque avis ou retour, il appuyait sur les joues pour obliger l'esclave à ouvrir la bouche. Là, il plaçait méticuleusement des morceaux en plastique dure relié à la ceinture qui passait derrière la tête de l'esclave. Ainsi, elle ne pouvait plus fermer la bouche, maintenu totalement bloqué en position grande ouverte. Autant dire que lorsqu'il se plaçait face elle, il avait un large sourire, il plaçait le bout de sa verge en bouche et prenait la parole :

- Lèche.

Un simple mot, un ordre sur un ton sinistre, mais il n'attendait aucun geste pour placer le bâton au niveau du bas du dos et envoyer une décharge. Elle ne fut pas très longue, deux petites secondes, mais bien suffisant pour rappeler la terreur de l'objet. Il recevrait ce qu'il désirait, toujours et après avoir reçu la délicieuse caresse, exigeant qu'elle continue un petit moment avant de reprendre son office. Le monstre abusait de la bouche de la petite, l'encourageant alors qu'elle ne pouvait que subir en lui donnant une décharge ou deux tout le long du dos. Pire, Heinart semblait être le genre d'homme à avoir besoin d'une très très longue stimulation pour enfin se lâcher et il laissait peu de temps pour respirer. Cela avait littéralement duré plus de trente minutes, une gifle de temps en temps l'aidait à reprendre son calme, car cela faisait coupure, tranchait dans son enfer. C'était sa façon de faire tomber la panique, mais uniquement pour reprendre de plus belle. Lorsqu'il en avait terminé, il se finissait au fond de la gorge et la gardait ainsi jusqu'à ce qu'elle tourne de l'œil. À son réveil, elle était à nouveau seule et suspendue d'une manière fort déplaisante au-dessus de la grille. Les bras attachés dans le dos, les seins comprimés par des cordes et les cuisses grandes ouvertes. La bouche à nouveau libéré de toute contrainte, elle resterait là, seule, durant deux heures avant de voir son bourreau revenir. Des bottes, un pantalon et autrement rien, il était torse nue lorsque la lumière du couloir derrière lui l'éclairait, la porte se refermait pour la replonger dans cette même ambiance funèbre.

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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La jeune demoiselle venait de le supplier de lui mettre sa chose dans la bouche, elle trouvait cela dégradant au possible, mais elle ne pouvait faire autrement si elle voulait éviter de se prendre une nouvelle décharge sur un endroit aussi sensible que le téton, rien que de penser à la douleur que cela pouvait produire, elle avait sentie un frisson lui parcourir l'échine dorsale. Clarissa garde les yeux fixé sur ceux de son nouveau maître malgré elle. Elle essaie d'y trouver des émotion ou au moins une once de compassion ... Mais rien, elle ne vois que le sourire léger sur les lèvres. Puis elle le sent qui retire la matraque de son sein, lui faisant soupirer de soulagement ... Jusqu'à se qu'il ordonne d'y ajouter le geste alors qu'il utiliser une télécommande pour, d'un coup, elle sentait ses bras se faire relever alors que les chaine la tirait vers le haut, tendant son corps douloureusement à cause de son dos et des coup de fouet reçue, lui faisant lâcher une grimace car ses genoux étaient toujours solidement enchainer à la grille du sol.

Clari' avait bien comprit de quel geste ce monstre avait fait allusion et après une seconde d'hésitation, elle finit par le faire, le souvenir douloureux des décharge étant encore trop cuisant ... Elle ouvre la bouche et à peine fit-elle ce geste qu'elle sentie l'engin entrer dedans brusquement. La jeune chercheuse ressent alors vivement l'envie de vomir, d'agiter la tête pour la faire sortir de sa bouche, mais une main placé à l'arrière de son crâne l'empêcher de se retirer, elle avait l'impression d'avoir envie de vomir et d'étouffer en même temps, la verge imposante semblait bien installer au fond de sa gorge durant un moment. Puis il lui dit qu'elle allait devoir lui faire la même chose mais d'elle-même, disant qu'il lui laissait une chance de le faire d'elle-même.

Clari' commence a paniquer complétement alors que la verge du maître des lieux l'empêche complétement de respirer, levant ses yeux grand ouvert vers lui dans une supplique silencieuse ... Elle s'agite aussi fort qu'elle peut sans réussir à y changer quelques chose. Essayant de hurler de terreur, ce n'est qu'un gémissement étoffé qu'elle réussie a produire, se sentant tourner de l'œil alors qu'il se retire enfin, la laissant reprendre assez d'air, toussant, elle finit par vomir le peu qu'elle avait pue mangé dans la gamelle. Jusqu'à se qu'elle se prenne une nouvelle gifle mémorable qui eu pour réaction de la calmer directement ... En plus d'avoir les joues cuisante de douleur. Clarissa lève les yeux sur lui, n'ayant pas du tout envie d'essayer de faire ce qu'il lui avait demander, venant secouer doucement la tête, des larmes roule sur ses joues. Non, elle ne veut pas ... Mais la froideur du métal du bâton sur son téton la dissuade de rester têtue ... La jeune esclave se penche comme elle peut, ouvrant la bouche alors qu'elle voyait la verge en gros plan. Elle n'en revenait pas qu'elle allait faire cela ... C'était si dégradant, si ... Humiliant ! La chercheuse vient accueillir l'engin dans sa bouche tentant de lui faire une gorge profonde, mais ... Des qu'elle arrive juste assez profondément pour l'empêcher de respirer, le corps de la demoiselle panique de lui-même s'écartant instinctivement pour tousser, sur le point de vomir de nouveau.

Là, la jeune demoiselle eu à peine le temps de réaliser qu'elle venait d'échouer que ... qu'elle sent alors des mains lui saisir la tête, la terreur pouvait se lire dans son regard alors que le glaive de chaire entrait brutalement dans sa bouche jusqu'à la garde. Elle avait beau essayer de faire des chose, crier, pleurer, s'agiter ... Rien, elle ne pouvait rien y faire, même respirer était compliquer, complétement impuissante dans son propre corps, à un moment, elle sent ses dent racler un peu trop la verge de ce monstre qui la violait par voix orale. Cela n'avait pas du lui plaire car il se retirait peut après. En avait-il finit ? Allait-il enfin la laisser tranquille ? La chercheuse en venait à craindre d'avoir de l'espoir ... qui finirait réduit à néant par le sadisme de cette homme ... Non, cette chose, car peut importe ce qu'il était, il n'était pas un homme.

La jeune femme sanglote, complétement choqué de ce qu'elle vit alors qu'elle le voit revenir face à elle avait une étrange petite ceinture, à la fois curieuse de ce que cela était, elle craignait aussi que ce soit un nouvelle engin de torture ... et ç raison alors qu'elle le sent appuyait sur ses joues douloureuse à cause des gifle pour lui faire ouvrir la bouche. Ne pouvant que le regarder lui mettre une partie étrange et dur de cette objet dans la bouche, la forçant à la garder grande ouverte alors qu'il venait attacher le reste derrière sa tête. La chercheuse ne pouvait même plus fermé la bouche, elle émet un gémissement de panique en regardant son "maître". Il venait de plaçait sa verge à l'entré de sa bouche pour lui ordonner de lécher ... Que pouvait-elle bien faire ? Elle pourrait essayer de ne pas obéir ... Elle n'avait même pas encore réfléchit, ou décider d'obéir ou non, qu'elle sent le bâton se poser dans le bas de son dos. Là, elle a juste le temps d'écarquillé les yeux avant de sentir la décharge traversé son corps dans une douleurs intense, tétanisant tout ses muscles, la faisant de nouveau hurler après coup. La pauvre demoiselle ne réfléchit même pas et vient lécher directement la lance de chair que lui présentait son maître, des larmes roulait sur ses joues. Elle fut obligeait de continuer ainsi encore un petit moment, léchant l'engin alors qu'elle même saliver abondement a cause de ce qu'elle avait dans la bouche qui la maintenant grande ouverte. Elle ne pouvait que subir quand enfin, le monstre se décide a reprendre son office, elle sent la verge entrait jusqu'à la garde de nouveau, les bourse tapant contre son menton.

Durant un long moment la demoiselle devait lutter pour respirer quand elle le pouvait alors qu'elle se faisait prendre par la bouche un sacré long moment, trouvant que cela durait une éternité, les larmes roulant sans discontinué sur ses joues ... Ce prenant même par moment des décharge du bâton, comme pour la motivé : ... Mais à quoi ? Elle ne pouvait rien faire à part subir ... Puis, elle sent qu'il agit différemment, restant au fond de sa gorge plus longtemps. La demoiselle panique en le sentant se vider directement en elle, essayant de s'agiter, mais le manque d'air la fait complétement suffoquer ... Alors qu'elle finit par s'évanouir.

Clarissa ne sait pas combien de temps elle était resté inconsciente, mais elle eut la mauvaise surprise de s'éveiller complétement immobiliser, ne touchant même plus le sol, des corde l'attachant au plafond dans une position des plus inconfortable. Mais au moins, elle n'avait plus l'engin de torture dans la bouche. Restant plusieurs heure ainsi, a ne rien pouvoir faire ... Hormis réfléchir ... Pourquoi ce monstre lui faisait cela ? ... Il avait dit que son sang avait un goût des plus succulent, mais ... il ne l'avait même pas encore mordue ! Et vue la douleurs de sa consœur, elle n'avait pas vraiment envie qu'il le face ... Mais ... Peut être aurait-il mieux value qu'elle choisisse la mort ... Elle se met à penser à sa famille, ses parents qui devait surement s'inquiéter pour elle ... Sa grande sœur, elle aurait aimé la revoir avant de ... Elle se met à avoir plein de regret, comme avoir accepté se travaille sur le terrain, car si elle ne l'avait pas accepté, elle serait chez elle à l'heure actuelle ...

Le monstre finit part faire son entrée dans la pièce, refermant la porte de la pièce pour la plonger dans la pénombre de nouveaux, mais il était là, elle fixer son regard sur lui, plein de crainte et de terreur, ses yeux ne veulent même plus lâcher de larmes, la source étant assécher ... Elle essaie de remuer, mais rien, elle est à la merci de se monstre ... quand arrêtera t-il de la tourmenté ainsi ? Visiblement jamais. Clarissa désespère de ne jamais sortir de cette pièce ... Elle veut juste que cela s'arrête, par tout les moyen ! ... Enfin, c'est ce qu'elle se dit, mais est-elle réellement prête a tout ? La chercheuse ne peut rien faire, a part attendre et subir les bon vouloir de ce monstre qui en avait fait son jouet ... Son jouet ? Ou son esclave personnelle comme il avait dit, mais qu'est ce que cela voulait-il vraiment dire ? Elle n'en savait rien encore, et elle n'était pas sur de vouloir le savoir.
Clarissa Lacroix
C'est partie pour l'aventure !  [Heinart] EmptyMer 31 Aoû - 4:51



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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La créature de la nuit entrait dans la pièce, cette cage si lugubre et sombre où se trouvait suspendu une jeune chercheuse au corps déjà mutilé. Il approchait, sa main froide se posait sur les fesses pour remonter en douceur le long de l’échine, caressant en passant les marques noires laissées par le bâton. Son geste était doux, mais malgré cela, il était aisé de sentir la rugosité de cette main. Cette dernière n'était pas habituée aux caresses et à la délicatesse. Il était plutôt question de violence et d'assurance. Arrivant sur la nuque, il attrapait une poignée de cheveux pour tirer et ainsi lui faire redresser le visage un peu plus. Cette dernière était déjà en train de le regarder, de le fixer avec cette petite flamme qui voulait le décortiquer, décidément, elle ne pourrait s'en libérer. Son autre main passait sur ses joues, à nouveau une douce caresse sur ses joues marquées de ses mains. Il fixait cette dernière, droit dans les yeux et pour le coup, il avait les yeux aux couleurs du clair de lune et non rouge.

En somme, il semblait calme, mais était-ce vraiment une source sûre d'information de se fier à la couleur de ses yeux ? Pas sûr, absolument pas. Ainsi, face à elle, il prenait la parole de sa voix toujours aussi sinistre :

- Je vois que tu es à nouveau consciente, c'est bien, nous allons pouvoir continuer, mais avant cela, je voulais te dire une chose très importante. La caresse est réservée au pardon, celle-ci fait donc figure d'exception, alors n'imagine pas en recevoir d'autre de cette façon.

Il souriait en coin, amusé de sa propre petite blague ou du faux espoir qu'il venait peut-être de lui donner. Ses mains se retiraient, délaissant en passant ses cheveux, ce qui lui permettait de baisser la tête si elle le souhaitait. Cependant, si elle ne le faisait pas, il enverrait une nouvelle gifle en plein visage de l'esclave, ce qui la faisait tourner sur elle-même avant qu'il ne l'arrête une fois un tour complet de fait. Il attrapait un fouet à neuf queues dont les lanières étaient très longues pour ce type d'objet et vint faire des moulinets. Approchant à nouveau, il frappait de bas en haut pour toucher la poitrine et lui laisser une multitude de stries non sanglante. La douleur était là, sa poitrine devait chauffer rapidement et devenir plus sensible. Sans compter que la manière dont elle était ficelé faisait que ses seins étaient comprimés à la base, les forçant à être plus gros, mais les rendant aussi très délicat. Il prenait ensuite à nouveau la parole, tournant autour d'elle tout en faisant faire des moulinets sans cesse avec le fouet :

- Je vais t'enseigner les règles que tu auras à suivre, attention, le moindre écart sera systématiquement sanctionné de manière impitoyable.

Il frappait une nouvelle fois sur la poitrine, voulant avoir sa pleine et entière attention et ainsi aussi lui rappeler que les sentences devait être bien plus horrible que ce qu'elle vivait actuellement. Après tout, elle n'avait pas été une seule fois puni jusque là, ce n'était que le Monstre qui jouait :

- La première, ne regarde personne au-dessus de ton rang dans les yeux, cela fait que seules les esclaves aux colliers sont assez misérables pour obtenir ton regard. Tu seras aussi nue en tout temps où de simple petits artifices en guise de vêtement. Cacher, dissimuler quoi que ce soit à ton maître, que cela soit une information ou physiquement revient à une désobéissance. Seul ton maître n'a d'importance, alors il n'y a pas lieu de tenter de te soustraire au regard des autres et le faire est une bêtise.

Il avait appuyé chaque point d'un coup de son fouet, la poitrine étant à présent rouge vif et d'une extrême sensibilité :

- Chaque fois que je me lèverais de mon lit, tu seras au pied du lit à m'attendre à genoux, qu'importe que tu doives y ramper pour l'atteindre.

Cette fois, il n'avait pas visé la poitrine, mais l'intérieur des cuisses sans toucher à son intimité :

- Respect ses règles et ce sera déjà très bien. Nous verrons d'ici quelques nuits si tu mérites d'avoir le droit de travailler dans un labo pour tes recherches ou non.

À nouveau, chaque point était marqué d'un coup, passant d'une cuisse à une autre aléatoirement :

- Tu ne prendras la parole que pour me répondre et uniquement si cela exige que tu ouvres la bouche pour le faire. Cependant, si jamais tu devais avoir besoin de dire une chose et que tu es consciente que me faire perdre du temps est lourdement sanctionné... Alors, tu peux venir frotter ta joue contre ma jambe, si tu le fais, je saurai que tu souhaites parler, je te donnerais ensuite la parole si j'ai envie de t'écouter et tu l'ouvriras qu'en obtenant ce droit.

Il ponctuait chaque fois d'un coup et à la fin. Il en enchaînait quatre d'affilés, meurtrissant les cuisses avant de revenir face à elle. Il regardait si elle avait compris la règle concernant le regard, si ce n'était pas le cas, elle prendrait deux gifles d'affilés et d'autre jusqu'à ce qu'elle ne relève plus les yeux jusqu'à son visage. Satisfaction obtenue, il reprenait la parole en passant sa main sous son menton pour lui faire redresser la tête. À elle de voir si elle osait malgré tout en faire de même avec son regard, mais cette fois, il ne ferait rien, il lui autorisait :

- As-tu compris les règles ? Car il en reste deux très très importante... Le mot humain est interdit, ose le prononcer rien qu'une seule fois et je te crucifie sur la place publique avant de te jeter aux chiens pour te violer à la chaîne.

Là, autant dire que son regard avait viré au rouge, il était putain sérieux et n'exagérait pas sa menace :

- La seconde et dernière règle concerne les noms. Vous n'êtes plus rien, vous n'êtes que des esclaves, des insectes misérables qui avez le droit de vivre uniquement parce que j'en ai décidé ainsi. Oublie ton nom, les autres l'ont tous oubliés et seule demeure celui que je leur ai offert. En ce qui te concerne, je n'ai pour l'instant pas encore décidé de comment j'allais t'appeler. Tu seras donc pour l'instant la nouvelle ou tout autre adjectif qui me passera par la tête. Retiens bien tout cela et je n'aurais pas besoin de te punir, ta douleur sera seulement celle provenant de mes amusements.

Au moins, elle était prévenue, la douleur allait être son quotidien et elle allait devoir s'y faire rapidement pour éviter de perdre la boule. Il tendait alors son doigt devant la bouche de l'esclave :

- Suce, crois-moi, tu veux lubrifier.

Si elle ne le faisait pas ou prenait trop de temps à ouvrir la bouche pour recevoir le doigt. Il ferait le tour pour le rentrer dans son petit cul et la préparer à ce qui allait suivre. Si elle avait bonne mémoire, elle devinerait ce que cela signifiait, il revenait face à elle et là souriait largement alors que son pantalon retombait au sol. Il plaçait sa verge devant le visage de l'esclave et fixait simplement cette dernière. Avait-il seulement besoin de lui dire quoi faire ? Une chose était certaine, il ne s'en donnerait pas la peine et elle faisait mieux de rapidement se décider avant qu'il ne choisisse de passer outre et aille se placer derrière elle. Une claque sur son cul pour bien la réveiller, un crachat plus tard sur son trou et il plaçait le monstre à l'entrée de son arrière-boutique. Elle sentirait la pression, le bâton de chaire qui tentait de se frayer un chemin en elle et de nouvelles claques sur sa croupe pour la punir de tenter de le retenir. Une chose était certaine, constitué comme il était, si elle résistait trop longtemps, il forcerait l'entrée d'une poussée violente.

Heinart
C'est partie pour l'aventure !  [Heinart] EmptyJeu 1 Sep - 9:37



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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La jeune chercheuse reprenait doucement conscience, toujours dans cette salle sombre et lugubre. Combien de temps est-elle restée là, attachée comme un rôtie que l'on allait mettre sur le feu, elle ne s'était jamais sentie aussi vulnérable ... La peur, ce sentiment qui comprimait son cœur revint au galop des lors que son maître ouvrait la porte de sa cellule. Clarissa panique complétement alors qu'il approche. Pourquoi lui faisait-il subir tout cela ? Pourquoi a elle et pas une autre ? Oui, elle avait compris qu'il haïssait les humains, qu'ils était tous de la vermine pour lui, mais alors alors ... pourquoi s'encombré d'une humaine en particulier, Est ce a cause de sa famille, ces ancêtre ayant chassé cette créature, liant ainsi leurs destins ?

Une caresse sur ses fesse la fit sursauté, s'agiter de peur d'être a nouveau frappé, la faisant sortir de ses pensées, les doigts lui parcourant le dos avec cette étrange ... douceur ? Cela la fit frissonné, les doigts de son tortionnaire était rugueux, se qui trahissait leurs utilité la plupart du temps. Alors que la caresse atteignit la nuque, la demoiselle sentie la poigne se refermer sur une poignée de cheveux pour la forcé à le regarder ... Mais il n'avait pas à le faire, ses yeux violet étant déjà fixer sur les sien, qui cette fois, était un d'une couleur lunaire. Elle se demande si ses yeux refléter ses humeurs. Peut être bien, mais il était impossible d'en être certaine ...

La créature, dont-elle ignorait toujours le nom vint lui dire qu'il pouvait continuer, et que les caresse n'était réservé que pour le pardon, donc celle-ci était la seule exception. Autrement dit, elle ne risquait pas d'avoir de tendre de sa part. Tant mieux, car elle n'était pas sur d'en vouloir ! Même si ... Elle aurait surement droit a de la douleurs en échange, se nourrit-il de la souffrance pour autant aimer la produire ? Continuer de l'observer alors qu'il venait de lui lâcher les cheveux n'était peut être pas ce qu'il attendait, car elle sentie par la suite la douleurs d'une gifle percuté sa joue. La faisant tourner sur ses lien, à moitié sonné, grimaçante de douleurs.

Elle le vit s'éloigner pour prendre un étrange fouet munie d'une multitude de longue lanière, sa respiration se mettant à s'emballer à la vue du fouet que son maître s'amuser a faire moulinet dans le vide. Cette fois elle le vit frapper, bien que la douleurs qui suivie juste après fut terrible, la faisant s'agiter comme elle peut, exprimant sa douleurs dans un crie, bien que la douleurs était moindre en comparaison au deux marque dans son dos. Il annonça alors qu'il allait lui enseigner les règles de vie et que toute action y contrevenant serait sévèrement punie. Puis une nouvelle vague de douleur, elle avait essayer de s'y préparer, mais le coup, claquant et la douleurs fulgurante la prenait toujours au dépourvue, la faisant gémir fortement, laissant apparaître sur son visage la grimace typique de la douleurs. Elle l'écoute alors donner la première règle. Ne regarder personne qui soit au dessus de son rang dans les yeux, pour elle se serait que les esclaves au collier ... Alors cela signifier qu'elle était au plus bas de l'échelle social, y avait-il autre chose que des esclave ici ? Elle se posait réellement la question. Ne s'attendant pas a la douleur d'un coup alors qu'il n'avait pas finit de parler, lui fit lâcher un crie de douleurs, de plus sa poitrine était de plus en plus sensible et douloureuse ...Il ajoute qu'elle devrait demeurer nue à partir de maintenant et qu'elle ne devait absolument rien cacher a son maître. Là, elle s'était préparer a la frappe du fouet, mais la douleurs la surprise, la faisant crier de manière bref malgré tout.

Elle l'entend ajouter qu'a chaque levé, elle devrait l'attendre au pied de son lit, à genoux ... Elle grimace à la morsure des multiple lanière de cuir lui ayant mordu l'intérieur de sa cuisse cette fois. Etrangement, la demoiselle se mit a penser a son propre lit, chez elle ... Qu'est ce qui lui manqué ! La voix de la créature la sort bien vite de sa rêverie. Disant que si elle respecté déjà cela, se serait très bien. La phrase bien entendue, ponctué par des coup de se fouet de malheur. Elle n'en pouvait plus de la douleurs en permanence, elle est prise d'un nouveau sanglot ... La règle suivante fut pour la parole, ne lui autorisant à la prendre que pour répondre a une question qui demande de la prendre. Sinon, pour demander la parole, elle devra dorénavant frotter sa joue sur la jambe de son maître. Mais ... Elle n'en revenait pas, il voulait en faire quoi, un petit animal de compagnie ? Les coups tout au long de l'explication la faisant crier de souffrance, mais également de désespoir ... Peu à peu, elle prenait conscience qu'elle avait peu de chance de revoir un jours sa famille, ou son ancienne vie ... Car son nouveau Maître avait visiblement déjà prévue le reste de sa vie. Ses cuisse était devenue rouge vif de chaque coté, tout aussi sensible et douloureux que sa poitrine.

La chercheuse l'entend marcher vers elle, se mettant devant elle. Ayant l'habitude de lever le regard sur la personne devant elle, Clari' n'avait pas fait attention, mais elle ne vit pas les deux gifle fulgurante la faisant crier de douleur, qui la fit a nouveau tourner sur ses liens qui la maintenait suspendue et complétement immobile. Ne pouvant retenir un sanglot, les larmes roulant sur son visage, baisant piteusement les yeux lorsqu'il réessayait. Lorsqu'elle sentie le doigts de la créature de la nuit se pressé sous son menton pour lui relever le visage, son regard se relevait instinctivement sur celui de son maître. Elle se rend compte qu'elle vient de fauter et la peur peut se lire clairement dans ses yeux violet, une lueur implorante à l'intérieur, la demoiselle se prépare a une gifle douloureuse au vue de l'état de ses joues, mais rien ne vint et elle en fut surprise.

Elle l'observe attentivement, avec crainte alors qu'il finit par lui demander si les règles étaient comprises. Là, la demoiselle, après une seconde finit par hocher la tête, ayant trop peur de nouvelle douleurs, les larmes roulants toujours sur son visage au joues rouge de coup. Il ajoute qu'il reste deux règles très importante, la première de bannir le mot "humain" de son vocabulaire, sous peine d'une terrible punition, qui la fit frissonner d'horreur, lâchant un nouveau sanglot. Enfin, la dernière fut qu'elle devait oublier son nom, et donc son identité, car il lui en donnerait un nouveau par la suite. Clarissa en fut choqué ... Pourquoi ? Elle aimait son prénom, était fière de son nom de famille, de ses souvenirs. Et lui voulait effacer tout cela ... Restant silencieuse, laissant tomber sa tête en avant, elle semblait ... vidé, sanglotant en silence. Elle ne pouvait pas oublier son prénom ainsi, elle ne voulait pas l'oublier ! Mais ... Il la terrifié et elle n'avait pas la force d'allait contre lui ... Pas tout de suite ... Si il lui relevait le visage pour l'observer, son maître pourrait voir la lueur déterminer qu'elle avait au fond du regard, cette éclat qui faisait briller d'esprit ses yeux mauve.

La demoiselle vit soudainement un doigt tendue devant elle, lui demandant de le sucer, elle ne comprend pas assez vite ce qu'il veut et elle le vit quelques instant plus tard passer derrière elle. Un crie de surprise sortie de sa bouche alors que le doigt pénétrait son petit troue sans avis de passage. La jeune femme se débat, s'agite, mais elle est encore plus contrainte que la dernière fois, ne pouvant presque pas bouger, ne pouvant que sentir le doigts la préparer sans rien pouvoir faire d'autre que gémir et sangloter, sachant très bien qu'elle serait la suite ... il le luit avait dit, il commencerait par le cul ... Levant son regard vers lui quand il revient vers elle, croisant se regard brillant, non humain, là, elle se rappelle la règle et baisse immédiatement les yeux, au niveau du pantalon et de la verge qui en sortait. Clari' compris très bien ce qu'il voulait, elle ne voulait pas ... pas après ce qu'elle avait vécue, mais ... Que lui ferait-il si elle résistait ? Pire, et si il la prenait sans qu'elle lubrifie le glaive ? ...Encore plus de souffrance. Il n'en fallait pas plus que se raisonnement et la demoiselle approche sa tête de la verge pour la lécher et rapidement la sucer, n'arrivant pas a aller très loin, traumatiser par son expérience précédente. Elle essaie de le lubrifier de son mieux. Une fois que son maître décide qu'elle en a assez fait, il s'écarte, venant se placer derrière elle, sentant son cœur battre la chamade, l'entendant clairement frapper sa poitrine tellement il bat fort ... Non ! Elle ne veut pas qu'il fasse cela ! Non, pas ça ! Elle ferme les yeux alors qu'elle sent le crachat tomber son son petit troue, puis se fut la glaive qui entre d'un coup en elle, forçant jusqu'à se que la garde tape contre ses fesses, la faisant hurler de douleur et de désespoir se terminant en sanglot ... Il était entrain de tout lui prendre ... absolument tout, sa virginité, son corps et même son identité ... Elle ne pouvait rien faire contre cela ... Pourtant au fond, tout au tréfond de son âme, elle s'avait qu'il y avait des découverte a faire malgré tout ... Mais pourquoi ?! Penser a des découverte alors qu'un monstre était entrain de la détruire entièrement ? ...Peut être que c'était la clé ? De quoi ? Elle n'en savait rien, elle était juste terrifié, en larme, sachant que cela ne s'arrêterait pas malgré ses supplique, elle était devenue son jouet ...
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Heinart s'amusait de la situation, il y avait de quoi, il ne s'était jamais retrouvé devant une descendante d'une lignée qu'il avait persécuté et c'était plutôt logique. Après tout, comment pouvait-il la différencier d'une autre ? Certes, leur sang gardait des similitudes, mais sinon la plupart des lignées changeaient tellement, se mêlant à d'autre au point de perdre toute trace de leur ancêtre. Cependant, les Lacroix grâce à leur ancienne profession et la noblesse de leur lignée, avait gardé des archives quelconques sur le passé. Néanmoins, il se doutait que la belle Lucrétia Lacroix n'avait guère raconté en détail ce qui s'était passé dans son passé et ces fameuses nuits où elle l'avait rencontré. Enfin, il savait qu'elle avait un journal intime et il était presque certain de s'y trouver vu qu'elle avait passé sa vie à l'attendre. Qu'était-il devenu ? Il doutait sérieusement que les informations de la chercheuse venaient de là, peut-être dans ce cas cela provenait d'histoire orale. C'était bien plus vraisemblable, une espèce de chasse gardée afin d'éviter que la descendance se remette à chasser les créatures surnaturelles.

Les cris de son esclave le ramenaient à la réalité, il venait de se glisser au fond de son antre des plus serrés. La petite salope, elle avait tellement mal qu'elle contractait puis relâchait sans cesse, procurant ainsi un délicieux massage et pour ne rien arranger. Heinart flanquait des claques mémorables sur sa croupe, y inscrivant la marque de sa main jusqu'au détail des doigts. Cette petite avait commencé à comprendre sa situation, choisissant de baisser les yeux la plupart du temps, le silence lorsqu'il ne s'agissait pas de hurlements de douleur et ainsi de suite. Il restait à voir si cela allait durer dans le temps, pour son bien, elle ferait mieux de bien en avoir pris note et de ne pas jouer avec ses règles. Elle avait même relativement vite accepté de le sucer, même si le doigt était passé à la trappe, sa verge y avait eu droit. Il entamait un lent va-et-vient dans le petit cul, mais à chaque fois, il se rendait au plus loin jusqu'à ce que sa garde claque contre le fessier. C'était très agréable, mais il voulait assaisonner un peu tout cela et décidait de reculer jusqu'à sortir. Là, il attrapait des pinces et revint pour les fixer tranquillement aux tétons. Elles étaient munies de petits crans afin de s'assurer qu'elles ne puissent glisser, ce qui en passant rendait leur morsure encore plus terrible. Le tout reliés ensemble par une chaînette, il avait aussi tiré avec lui une petite table jusqu'au bord de la grille au sol. Dessus, le bâton électrique et des poids en nombre. Heinart se plaçait face à l'esclave, la verge dressée, pulsant de désir après son passage dans les fondements de Clarissa :

- Suce, mets-y beaucoup d'ardeur.

Les femmes de la haute comme elle, qui était habitué à une certaine classe, elles hésitaient toujours dans une telle situation, après tout, sa verge venait de passer dans son cul. Il attrapait alors un poids et vint le placer au niveau de la chaînette, aucun doute sur la douleur occasionnée. Heinart ajouterait des poids à chaque fois qu'elle avait une seconde d'hésitation, mais une fois dans sa bouche, il mettrait des poids lorsqu'elle ne mettait pas suffisamment de cœur à l'ouvrage. Chaque poids faisait cent grammes, cela pouvait sembler peu, mais passer les cinq cents cela faisait très lourd pour de pauvres petits tétons fragiles. Puis, il arrivait des fois qu'il s'enfonçait davantage dans sa gorge et si elle ne se maîtrisait pas, elle recevrait aussi du poids supplémentaire. En vérité, elle n'avait pas la moindre chance de réussir une gorge profonde sans savoir comment faire, l'astuce et pour cela, soit elle expérimentait, soit on lui disait et ce n'était pas Heinart qui allait lui expliquer. Une fois satisfait, donc une fois qu'elle aurait atteint les six cents grammes, il quitterait la bouche pour revenir au niveau du cul, le claquant avec violence à plusieurs reprises avant de se glisser à nouveau tout au fond. Là, il n'était plus question de douceur, il enchaînait quelques coups rapidement et surtout brutalement avant d'attraper une poignée de cheveux et tirer dessus pour la forcer à se cambrer :

- Esclave, je vais maintenant prendre mon du, tâche de ne pas me casser les oreilles.

Sadique ? Totalement, sans relâcher les cheveux, il commençait à ravager les entrailles de l'esclave sans la moindre retenue et qu'importait à quel point la petite souffrait. Cependant, à chaque fois qu'elle commençait à hurler, il ressortait, arrivait face à elle et lui enfonçait sa verge au fond de la gorge jusqu'à ce qu'elle manquait d'air. Néanmoins, il faisait en sorte qu'elle ne tournait pas de l'œil, quittant sa bouche avant. Retournant alors dans son cul pour s'amuser, chaque coup faisait balancer la chaîne riche en poids, sa croupe était rouge vif à force de recevoir des claques. Il violait Clarissa qui était entièrement démunie jusqu'à se répandre au fond d'elle. Ressortant dans un lourd grognement de plaisir, il retirait les poids après quelques instants et la faisait descendre jusqu'au sol pour la libérer des cordes. Toutefois, à peine c'était fait qu'elle se retrouvait plaquée au sol et il se frayait à nouveau un chemin dans ses fesses en la comprimant contre la grille de métal. Tout en la baisant avec force, il vint décaler les cheveux, pencher la tête sur le côté avant de mordre le cou.

Là, les sensations changèrent totalement, si l'impact des crocs transperçant la chaire était douloureuse, surtout que tous ses dents devenaient des poignards. La suite fut bien différente, elle se sentait légère, dans une espèce de trans qui rendait les coups de buttoir bien plus agréable tout d'un coup. Son corps était incapable de faire le moindre mouvement, devenant prisonnière de sa propre enveloppe charnelle et entièrement à la merci du monstre. Son sang se faisait aspirer et au lieu de souffrir, elle en jouirait intensément. La morsure était un pur délice, enivrant et cela au point de pouvoir facilement devenir une drogue. Son venin avait bien des pouvoirs sur l'organisme de ses victimes et la morsure couplé au viol de ses fesses ne faisaient que rendre le tout plus intense.

Heinart s'arrêtait relativement vite de mordre, la petite n'avait pas mangé grand-chose et bue quelques grosses gorgées. Cependant, cela restait peu, lui prendre trop de sang pouvait la tuer rapidement et ce n'était pas son but. Il délaissait le cou pour y donner un coup de langue réparateur. Ce dernier fit cicatriser la plaie très rapidement, l'un des pouvoirs qu'il avait obtenu avec le temps, même s'il ignorait pourquoi. Il sortait de son cul pour la tirer par la jambe derrière lui. Vu son état, elle ne risquait pas de marcher d'elle-même, l'effet de trans étant déjà retombé, elle pourrait voir qu'ils quittaient la prison. Lui était nue, mais semblait en avoir que faire, des esclaves s'écartaient du passage, visiblement aisément à leur absence de tenue et un collier au cou. D'autres portaient des vêtements et des armes, servant sans doute de garde. Les couloirs de cette tour étaient tellement lugubres, inquiétant, mais à la fois magnifique à n'en pas douter. Il y avait même un système de téléportation au centre qui permettait de passer d'un étage à l'autre. Heinart trouvait cela fascinant, pratique aussi, mais il était certain que c'était l'une des choses qui finirait par rendre les humains faibles. En décoration, gargouille en pierre et autre peinture provenant toute des musées du pays tout entier. Beaucoup relatait de la guerre d'indépendance ou du lointain passé. Cependant, la plus incroyable décoration n'en était pas vraiment une, il s'agissait au niveau de la grande pièce où se trouvait le téléporteur, pièce qui faisait office de cœur du rez de chaussée. En face du cercle de téléportation et devant une immense statue de dame se trouvait une véritable femme enchaînée vivante grâce à des ronces de fer lui lacérant la chaire. Son supplice semblait durer depuis longtemps, très longtemps et bien que vivante, elle ne regardait même plus les gens qui approchaient. Il ne se donnait même pas la peine d'aller jusqu'à sa chambre, il avait préféré monter jusqu'à l'immense salon qui se trouvait si haut dans la tour. Un salon privé où se trouvait aussi un lit dans une pièce adjacente, il lui arrivait de dormir ici, mais c'était assez rare. Il y avait aussi une niche, pour les quelques fois où cela arrivait pour son esclave. N'y passant que brièvement, elle n'avait pas vraiment eut le temps de voir grand-chose, se retrouvant tout de suite sur le balcon auquel elle fut placée face au reste de son nouveau monde. Le ventre plaqué contre la rambarde, elle pouvait le sentir rentrer à nouveau dans son cul avec force, mais il ne redonnait pas de coup violent, mais lent :

- Regarde ce que j'ai créé.

Elle ne rêvait pas, une tour immense en plein cœur d'une forteresse, une ville entre les deux dont les quartiers étaient séparés par des murs d'enceinte. De la tour partaient d'immenses ponts qui finissaient au mur. Au-delà, l'eau, elle était sur une île et au loin, elle voyait la terre. Un cimetière de navire entourait l'île, rendant ainsi son approche des plus compliquées et donnait une vague idée du nombre de personnes qui avait perdu la vie en cherchant à rejoindre ce lieu ou en partir. La ville était animée, mais un autre détail risquait de la surprendre et ce dernier fut révélé par le monstre qui vint murmurer à son oreille tout en palpant sa poitrine :

- Nous sommes en plein jour.

Une évidence non ? Uniquement en théorie, car le ciel était voilé de nuage sombre et impénétrable d'où un visage démoniaque se dessinait par moment. La foudre tombait par moment, rarement, mais surtout la pluie, une pluie faite de gouttes noires qui avaient changé l'eau autour de l'île en une mer d'huile. Ce n'était pas le paradis, c'était l'enfer sur terre, une ville caché d'un autre genre et qui risquait de laisser un goût amer dans la bouche de Clarissa. Cependant, s'il lui laissait quelques minutes pour encaisser le choc en ne la ravageant pas, cela ne durait guère plus longtemps. Il vint murmurer à son oreille et cette fois sa voix avait quelque chose de terriblement envoûtant. Comme la dernière fois, elle avait l'impression d'être plongé dans un rêve étrange, elle ressentait les choses, voyaient tout et se trouvait au même endroit que dans l'autre monde réel :

- Prend du plaisir.

Un murmure porté par le vent, étant sous le charme du Nosferatus, elle ne pourrait lutter, son corps obéissant naturellement alors que son esprit était en stase dans une espèce de rêve. Elle voyait son corps ravagé par la sauvagerie des coups qu'il donnait, mais aussi sur son visage un sourire immense, un pur moment de plaisir et de bonheur. Elle ressentait tout cela, jouissant contre toute logique et se faisait remplir une nouvelle fois sur ce balcon. Ses gémissements s'étaient répandu sur la ville, sans honte, sans complexe. À son réveil, son corps n'ayant pas tenu plus longuement, elle se trouvait dans une niche fermée, ayant tout juste la place pour se dresser à genou, mais guère davantage. La niche avait bien des fonctionnalités qu'elle aurait le temps de découvrir, une toute petite lumière qu'elle pouvait allumer via un bouton, mais aussi une petite armoire à pharmacie et elle allait en avoir besoin. En effet, ce qui venait avec son réveil était la douleur, son corps meurtri par les sévices multiples reçus et enfin le temps de bien les ressentir. C'était à elle de se soigner si elle voulait soulager son corps, au moins un peu, bien qu'aucun antidouleur n'était présent. Uniquement des produits et des bandages. Sur le sol, il y avait l'équivalent d'un tapis en guise de lit, rien de plus, rien de moins.


Couloir
Teleporteur et femme attachée
Salon
Heinart
C'est partie pour l'aventure !  [Heinart] EmptySam 3 Sep - 10:39



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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La jeune chercheuse venait de crier longuement alors que son nouveau maître venait d'entrer en elle jusqu'à la garde sans ménagement, si la douleur n'avait pas était là pour la forcer à le réaliser. Elle ne aurait sans doute mie du temps à réaliser qu'il venait vraiment d'entrer en elle, dans son entrée de service ... comme il le lui avait dit. Jusqu'à là, elle put remarquer qu'il ne lui avait pas menti ... Et c'était sans doute le plus terrible car tout ce qu'il venait de dire, sur les règles et les éventuel punition impitoyable. Elle savait qu'il mettrait toute menace à exécution sans la moindre pitié ... Le pire étant qu'elle avait suffisamment peur de lui pour obéir sans résister, mais étais être lâche que de ne pas vouloir avoir mal ? Et même là, pourtant elle se doutait ... Que la douleurs deviendrait probablement une vielle amie ... Elle gémit de douleur alors qu'il prend possession d'elle, de sa petite entrée, ne pouvant s'empêcher de contracter ses muscle comme pour tenter de le rejeter, mais elle ne se rend pas compte que cela produit tout l'effet inverse, poussant des crie bref de douleur alors que son maître venait marquer sa croupe de la trace de sa main à force de la frapper à cette endroit.

Le sentant en mouvement en elle, douloureusement dans son entrée qu'il ramonait de son glaive, jusqu'à ce qu'elle le sente sortir complétement, l'entendant s'éloigner ... Ce n'était pas bon quand il faisait cela, il allait surement revenir avec un instrument de douleur ... Cela ne rate pas quand Clari' le vit approcher avec une fine chainette reliant deux pince, l'observant avec curiosité, ne comprenant pas ce qu'il allait faire avec. Puis la douleur piquante qu'elle ressentie alors que la première pince fut placé sur son téton lui fit comprendre, malgré toute les protestation, secouant vigoureusement la tête en essayant de s'agiter, en vain. La deuxième pince fut installer sur son deuxième téton, son un long frisson de douleur alors que le moindre mouvement faisait balancer la chainette qui relie maintenant les deux tétons. Lui demandant, ou plutôt ordonnant de le sucer d'un coup et prise au dépourvue, observant la verge qui venait tout de même de lui ramoner l'anus, elle hésite durant une seconde ... Une de trop visiblement car, elle sent d'un coup un poids sur la chainette, la faisant grimacer légèrement. Alors que des larmes venait humidifier une nouvelle fois ses joues, elle finit part mettre la verge dans sa bouche après qu'un deuxième poids est rejoint le premier, accentuant la douleur sur ses pauvre tétons malmené ... Elle essaie de sucer correctement malgré son dégout, la demoiselle ne pouvait s'empêcher de sentir dans sa bouche, les arômes de son anus ... Cela étant vraiment dégradent pour elle et avait du mal a obéir correctement ce qui lui value quelques poids supplémentaire sur la chainette, la faisant désormais gémir de douleurs quand il les déposait dessus. De plus, elle se mettait toujours a paniquer quand elle le sentait aller plus en profondeur dans sa gorge, lui bloquant le souffle, ne sachant quoi faire dans ses moment là ... D'autre poids vinrent s'ajouter aux autres la faisant crier de douleur au sixième poids sur les chainettes.

Le voyant quitter enfin sa bouche, elle ne put s'empêcher de gémir doucement de peur, de désespoir en le voyant passer derrière, juste avant de le sentir entrée en elle comme si elle était devenue son fourreau, non sans malmené le dit fourreau de plusieurs claques sur le fessier déjà rouge vif, la faisant hurler de douleurs et de sanglot. La jeune femme avait l'impression que les tourment ne se finirait jamais. Qu'elle allait rester attacher là a servir de vide-couille a se monstre quand il en aurait envie, bien que les règles lui revenait en tête, confirmant qu'elle finirait tout de même par quitté cette enfer, du moins cette pièce de l'enfer ... Mais son désespoir était-elle qu'elle avait l'impression que cela ne s'arrêterait jamais. Elle sanglot et crie de douleurs en le sentant brutalement en elle, lui tirant les cheveux pour la contraindre a se cambrer encore davantage dans un gémissement de douleurs. Elle avait beau se dire que cela ne finirait jamais, qu'elle avait touché le fond ... Ce monstre arrivait encore à la faire mentir car ce qui venait ensuite était toujours pire ... Alors qu'elle se faisait ramoner la petite entrée, la faisant hurler de douleur, de peur. Quand il trouvait qu'elle crier de trop, il ressortait pour venir la lui mettre dans la bouche, s'enfonçant jusqu'à la gorge, un message pour lui dire de souffrir en silence ... Les larmes roulent sur ses joues alors qu'elle se fait violer ainsi durant un bon moment encore alors que chaque balancement de la chainettes était une torture de plus, un moment de pure souffrance pour elle. Puis elle finit par le sentir se vider en elle, une semence épaisse et chaude remontant en elle alors qu'elle crie longuement de douleur et de désespoir. Clarissa se sentait sale, si sale que ... rien ne pourrait la laver de toute cette saleté.

Alors qu'elle était suspendue comme un pantin, elle sent la chainette s'alléger avant de se sentir descendre jusqu'à enfin toucher le sol, quand les cordes furent défaites, elle se sentie soudainement toute tremblante de douleurs, mais la demoiselle n'eut pas le temps de dégourdir les membres car elle se fit plaquer soudainement contre la grille sur le sol avant de le sentir revenir durement en elle, la faisant crier de surprise, mais surtout de douleur, éclatant en sanglot ... c'était trop pour elle, elle n'en pouvait plus ... Elle ne pouvait que subir, attendre qu'il passe a autre chose, mais même là, qui aurait pue dire que c'était une bonne chose ? Une douleurs supplémentaire au niveau du cou la fit gémir, une morsure. Puis tout devint plus léger dans son corps, moins ... douloureux, cette douleurs se changeait soudainement en plaisir, un intense plaisir qui la fit gémir d'un autre manière alors qu'elle se faisait toujours prendre avec brutalité, puis en plus de cela, la demoiselle se retrouvait à nouveau prisonnière de son propre corps ... Une sensation horrible et pourtant, elle ne ressentait que légèreté et plaisir, son sang qu'avaler le monstre avait un goût des plus exquis ... Probablement le meilleur qui est put lui être donner de goûter, un petit quelques chose dedans qui lui donnait cette arrière goût si ... délicieux et enivrant ... Et cette force qui lui venait par la suite devait être toute aussi enivrante.

Clari' sentie le coup de langue sur la morsure par la suite et il sortie de son cul juste après. Elle n'osait pas se demandait si s'était terminer, mais elle avait encore un peu de mal à réaliser que la créature venait de la mordre et qu'elle en avait ressentie un plaisir si intense ... Elle en éprouvait un peu de honte sur le coup, ce demandant pourquoi si corps avait réagit ainsi ... Elle ne put se poser plus de question car elle fut tirer par la jambe hors de la pièce. Tout les deux étaient nue, mais cela ne semblait choqué ni le maître des lieux qui passé en ignorant les passant et les passant qui prenait soins de s'écarter et de baisser le regard devant leur maître ... Puis elle sentie tout de même des regard se braquer sur elle, trop gêner d'être vue ainsi nue, elle essaie de se cacher au moins les parties les plus intimes ... En plus de détourner les yeux de honte. Il était toute fois impossible de savoir si elle rougissait, ou bien si s'était juste la rougeur du au gifle répété qu'elle avait reçue, tout son corps était douloureux ... La curiosité l'oblige malgré tout à observer les lieux, notant le luxe de l'endroits, cela lui rappelait un peu les château de vampire dans les légendes, la salle du téléporteur fut des plus impressionnantes, fixant son regard sur l'étrange femme emprisonner par les ronces métallique, se demandant qui cela pouvait être. Comme d'habitude, les téléportation lui retourne l'estomac, surtout quand elle est trainé au sol ainsi et heureusement qu'elle n'avait pas grand chose dans le ventre car elle était sur le point de tout vomir ... Mais la peur de son maître la força a garder la bouche fermé, a cause de cela elle ne vit pas grand chose de la salle avant de finir soulevé et plaqué sur la rembarde d'un balcon. Là ... Clarissa écarquille les yeux de surprise. Une ville, une véritable ville s'étendait loin en dessous d'elle, et elle se trouvait dans une tour immense digne des châteaux des démons dans les romans. C'était vraiment impressionnant, terrifiant, mais impressionnant... Les mots du monstre lui fit lever les yeux au ciel, un ciel gris remplie de nuage horrible, la faisant frissonner avec un sentiment au plus profond d'elle, cela n'était pas naturelle, de même que cette pluie noir et étrange.

La chercheuse reste plaquer contre la rembarde du balcon à observer cette ville tout droit sortie de l'enfer, encaissant le choc que son voyage la probablement amené au pire endroit sur terre ... Venant à se demander si les malade n'aurait pas était préférable ... Puis, une voix a son oreilles lui susurre de prendre du plaisir et la encore, elle se met à ressentir à nouveau un plaisir intense alors qu'elle se fait prendre à nouveau, mais cette fois elle retrouve les même sensation que durant son voyage en chauves-souris. Prisonnière de son corps qui s'était mis a jouir pour la deuxième fois tout seule ... La première étant lors de la morsure. A ce demander si elle n'était pas une fille facile au finale ! Mais elle ne contrôlait absolument plus rien et c'était terrible pour elle, a la fois cette terreur et ce plaisir intense ... Après elle ne se souviens plus vraiment, son esprit s'embrouille et finit par sombrer dans les ténèbres ...

La jeune esclave se réveille dans une pièce minuscule, se cognant la tête sur le toit avant de trouver l'interrupteur d'une minuscule lumière, sa première pensées fut qu'elle avait atterrie dans une maison de poupée, elle pouvait se tenir à genoux dans cette endroit, mais guère plus. Elle regarde autour d'elle, voyant une boite a pharmacie et cela lui rappelle l'état lamentable et douloureux de son corps, la faisant grimacer et couiner de douleur ... Elle ouvre la boite et entreprend de se soigner du mieux qu'elle peut, heureusement qu'elle avait eu une formation de premier soins avant le départ en mission. Elle désinfecte et passe une pommade sur sa peau, prenant le temps de bandée comme elle pouvait son dos qui garderait certainement la marque des coup ... Le bandage n'est pas parfait, mais il fait son travail, la demoiselle profite de cette instant de répit pour souffler un moment, son corps encore tremblant d'émotion et de douleurs. Elle réalisait qu'elle était dans l'entre du monstre, qu'il n'allait pas la relâcher aussi facilement, puis elle se demande c'est quoi cette pièce minuscule avec pour seule mobilier un vieux tapis ... Elle regarde la petite porte au sommet arrondie, puis elle regarde si il y a une poignée, un loquet ou autre chose pour l'ouvrir, essayant de sortir doucement pour voir l'extérieur ... Elle ne savait même pas combien de temps elle était resté dans les vape !
Clarissa Lacroix
C'est partie pour l'aventure !  [Heinart] EmptyDim 4 Sep - 8:55



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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Heinart était retourné dans son antre, laissant derrière lui le corps de Clarissa gisant sur le sol en tremblant et dont sa semence coulait encore de son orifice. À demi consciente, il aurait pu la ramener dans sa niche, nouvelle demeure de son esclave, mais il n'allait pas s'abaisser à une telle tâche. Puis, il n'avait aucune envie de la trimbaler à nouveau dans toute la tour jusqu'à sa chambre dans laquelle se trouvait son précieux cercueil. Il appelait donc la fameuse esclave qui régissait tant de choses à sa place. Extension de lui-même, elle n'avait d'esclave uniquement le fait qu'elle appartenait corps et âme à son maître Heinart. Pourtant, son autorité allait bien au-delà de celle d'une esclave, elle avait le pouvoir d'ordonner aux gardes d'agir et même les Nosferatus inférieurs lui obéissait. Qui était cette femme ? Peu connaissait les détails de son existence, mais pour tout le monde, elle était comme la Prêtresse de leur dieu. Heinart pénétrait le salon totalement nu, le sourire aux lèvres et encore remonté à cause de ce fameux sang. Il était un tel délice, d'une telle puissance, une merveille dont il ne se lasserait pas de si tôt. De derrière une vitrine sortait une femme magnifique qui portait une espèce de masque sans orifice sur le visage, cachant ses yeux et le haut de son visage tout en laissant apparaître sa bouche souriant légèrement. Approchant dans sa tunique de soie recouvrant presque entièrement son corps, elle se mettait à genoux devant son maître sans un mot. Heinart, en la voyant, n'avait rien dit sur le moment, la laissant approcher et se placer avant d'ouvrir la bouche :

- Tu es là pour elle je suppose...

Elle hochait la tête et ajoutait de sa voix presque mélodieuse :

- Évidemment maître, n'alliez-vous pas m'appeler pour que je l'emmène dans sa niche ?

Il souriait et approchait d'un pas, ce à quoi elle ouvrait la bouche pour prendre la verge à l'intérieur. Coulissant à plusieurs reprises jusqu'au fond de sa gorge avant de la relâcher bien propre et reluisante. La créature de la nuit n'en attendait pas moins, elle se décalait d'un demi mètre sur le côté sans quitter sa position et le mal incarné pu passer pour rejoindre le téléporteur. Disparaissant ensuite, rejoignant son cercueil protégé pour se reposer, la femme approchait de l'esclave dans un piteux état et malgré une apparence frêle, cette dernière parvient à la hisser sur son épaule. L'emportant ainsi jusqu'au salon, passant la porte du fond qui menait à la seconde chambre de son maître pour la placer dans la niche. Voulant éviter un quelconque incident, elle verrouillait celle-ci et retournait à ses affaires durant un temps. Toutes les heures, elle rendait visite à l'esclave, vérifiant qu'elle ne s'était pas réveillée, mais vu les récents événements, elle ne croyait pas à un réveil rapide. Elle avait raison, il fallut neuf heures pour se réveiller, son corps ayant accumulé une grande quantité d'épuisement, mais la douleur l'empêcherait de dormir plus longtemps que cela.

À l'intérieur de la niche, il n'y avait point de loquet au sommet, mais bien une entrée comme dans une niche de chien ordinaire et cette dernière était bloqué. Enfin, jusqu'au moment où elle s'ouvrait d'un coup en laissant la lumière entrer. La femme au visage masqué avait allumé la lumière de la chambre pour faciliter les choses à la nouvelle favorite, sa voix d'une douceur presque envoûtante appelait la jeune femme :

- Petite nouvelle, peux-tu sortir de ta cachette ? Il te faut me suivre, je t'attends.

L'idée même d'une quelconque malveillance provenant d'elle était absurde, rien ne trahissait en tout cas de telles attentions. Patientant les mains jointes sur le devant de sa robe, elle pouvait presque faire office de décoration vu son immobilité. La chambre était relativement grande pour un usage secondaire, un grand lit, une immense baie vitrés donnant sur le balcon, quelques armoires en bois d'ébène, une porte donnant sur le salon et une autre ouverte sur ce qui semblait une salle de bain. Cependant, c'était davantage le reste qui risquait d'attirer l'œil de l'esclave, un chevalet fait dans un plastique rigide, une croix dans un cercle de métal suspendu au plafond et dont une fente dans ce dernier laissait penser que la croix pouvait être approché par un quelconque mécanisme. Un pilori, une cuve de verre remplis d'eau placé sur un socle qui pouvait aisément contenir une personne entière et encore bien d'autre. Un véritable atelier de torture. Lorsque la petite sortait de son trou, la femme prendrait la parole sans bouger d'un pouce :

- Bonjour la nouvelle, je m'appelle Blattella, suis-moi, tu as besoin d'un bon bain et tu pourras en profiter pour retirer ses affreux bandages que tu as installés maladroitement.

Comment faisait-elle pour voir ? Excellente question, en tout cas, elle savait et lui indiquait la fameuse porte ouverte. À l'intérieur, une salle de bain typique, blanche, serviettes, ustensiles de beautés, ainsi qu'une douche. Si par malheur la favorite devait ouvrir la bouche pour prendre la parole et dire autre chose qu'une simple réponse à la présentation. Alors Blattella lui enverrait une sévère gifle, bien qu'elle était loin de la force de Heinart avant de préciser :

- Ses règles sont absolues, transgressent les devants moi et j'utiliserai le bâton sur toi. Bien...

Le plus étrange était que même là, en menaçant, il n'y avait pas une seule part de colère dans sa voix ou de malveillance. En vérité, c'était à se demander si elle ne protégeait pas la jeune esclave. Rendu dans la salle de bain, Blattella s'assurait que la petite s'était à nouveau totalement mise à nue et l'aiderait à se laver correctement. C'était de la bienveillance, car rapidement l'esclave réaliserait que se baisser, se tordre pour se frotter partout n'avait rien de facile avec de telles blessures. L'eau était évidemment froide, ce qui ne risquait pas d'arranger les choses, mais ce n'était pas comme si la petite avait le choix. La main de Blattella se plaçait sur l'anus après avoir terminé de l'aider à se laver et annonçait :

- Il va falloir soigner cela, le maître ta déchiré et étant donné qu'il recommencera... Il serait judicieux de rendre l'expérience un peu plus supportable pour une jeune fleure comme toi.

Elle disait cela avec un sourire presque radieux, retirant son doigt, elle invitait l'esclave à se sécher, l'aidant au besoin, mais elle lui interdirait de sortir sans se faire belle devant le miroir. Insistant, quitte à dévoiler le bâton sous sa robe pour l'inciter à obéir.

Blattella
Heinart
C'est partie pour l'aventure !  [Heinart] EmptyLun 5 Sep - 9:20



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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Clari' fut réveillé à cause de la douleur qu'elle ressentait dans tout son corps, ouvrant les yeux dans une pièce, plutôt petite et plongée dans la pénombre. En se redressant trop rapidement, elle se prit le plafond, qui était très bas ... Puis elle rencontra les mur de chaque coté toute aussi vite, une fois l'interrupteur trouvée, Clarissa put mieux voir la taille de la pièce dans laquelle elle se trouvait, se disant qu'elle avait atterrie dans une maison de poupée. La petite porte s'ouvrit peu de temps plus tard, alors qu'elle venait de finir bander ses plaies et qu'elle cherchait justement un moyen d'ouvrir la porte, n'en notant aucun, ce qui indiquer qu'un verrou extérieur était installer dessus. Mais cette ouverture subite la fit reculer vers le fond de la pièce, méfiante et craignant de tomber de nouveau sur le monstre qui se disait son maître. La chercheuse avait du mal à réaliser le bordel dans lequel elle était et se demandait si tout cela n'était pas un rêve, ou plutôt un cauchemar ...

Une voix se fit entendre, une voix féminine lui demandant de sortir de sa cachette, comme si elle parler a un petit animal craintif et ... Elle finit par se demander si ce n'était pas le cas au final. Au bout de quelques minute de réflexion et d'attente pour la dame avant que, finalement elle ne se décide a sortir doucement la tête de la petite pièce pour l'observer, cette dame qui avait un étrange masque sur les yeux. La jeune demoiselle semble méfiante, bien que la voix de la dame ne semble empreinte d'aucune animosité, bien au contraire. Que ferait cette étrange dame si elle refusait de sortir ? Ou d'obéir ? ... Elle regarde la pièce rapidement et se qu'elle vit lui fit froid dans le dos, c'était autant une chambre qu'une salle de torture ! Toute intimidé par les lieux, elle se dit qu'il valait mieux ne pas faire sa forte de tête ... Ne voulant plus souffrir comme ça. Une fois hors de la pièce, qui s'avérait être une niche. Décidément tout la ramenait à cette état de petit animal de compagnie et c'était vraiment très étrange pour elle qui avait toujours vécue dans le luxe et le respect de soit. Clarissa finit par se lever, observant un peu plus le décor de la pièce malgré la peur et la crainte qu'elle sentait monter en elle ... La dame, Blattela, lui indique la salle d'eau en disant qu'une toilette était nécessaire ainsi que de retirer ses affreux bandage ... Quoi, il était si mal mis que ça ? Ou bien étais ce autre chose ? Même les bandage elle n'y avait pas le droit ? Sa tête fourmillait de question, alors qu'elle s'apprêtait à en poser une. Ouvrant la bouche pour commencer sa phrase, elle n'eut pas le temps de réagir en la voyant faire volte-face pour lui envoyer une gifle mémorable, bien que moins douloureuse que celle de son maître ... Elle sent douloureusement la morsure de la main sur sa joue déjà bien rouge et endolorie. Clari reste la a regarder cette femme qui venait de la frapper en lui disant que les règles sont absolue, qu'elle tâterait du bâton pour la prochaine faute, au bord des larmes, elle finit par acquiesçait ne sachant quoi faire d'autre avant de la suivre dans la salle de bain.  

La chercheuse s'arrête devant la grande cuve d'eau, un engin de torture parmi d'autre et pourtant, c'était sans conteste celui qui semblait la terrifié le plus ... Elle ne voulait pour rien au monde finir coincer la dedans. Puis après un dernier regard sur cette cuve abominable, elle se dépêche de rejoindre Blattela qui l'attendait à l'entrée de la pièce, y entrant à sa suite. La salle d'eau était plus normal, ayant tout ce qu'il fallait pour faire sa toilette ... Elle se défait des bandages se retrouvant toute nue devant la femme. Clari' semblait éprouver une étrange sympathie pour cette femme, il émanait d'elle une bienveillance qui ... dénoter grandement du reste des lieux. Une fois prête, elle met un pied dans l'eau et ne put retenir un crie de surprise en sentant que l'eau était froide, frissonnant à cela avant de regarder vers Blattela, puis le bain ... Même de l'eau chaude elle n'y avait pas le droit ?! Mais ... C'était horrible pour elle qui avait toujours vue le confort comme acquis. Non, elle n'arriverait pas ... Et pourtant, elle savait qu'elle n'avait pas le choix alors après une profonde inspiration, elle rentre dans l'eau en une fois, frissonnante de nouveau ... Mais l'eau froide sur son corps meurtrie et douloureux fut plutôt agréable.

Une fois dans l'eau elle va pour prendre le savon, mais la dame fut plus rapide, alors elle s'écarte pour lui montrait qu'elle ne veut pas, qu'elle peut le faire toute seule ... C'était son amour-propre qui parlait pour elle car, la douleur était présente dans tout son corps, puis la femme ne semblait pas lui laisser le choix venant la laver presque de force, n'oubliant aucune parcelle de peau, ni ses long cheveux châtain ... Une fois toute propre, la jeune esclave put sortir du bain, toute grelottante, l'esclave ne pouvait s'empêcher de hoqueter ou gémir de douleur en sentant le savon passer sur des zone encore douloureuse de son corps ... C'est a dire presque partout. Lâchant une grimace de douleur en quittant la baignoire, les lèvres toute bleu à cause de l'eau froide, mais au moins, elle était parfaitement réveillé désormais. Elle émet malgré elle un crie de surprise en sentant le doigt de cette femme au niveau de son anus, lui disant qu'il faudrait soigner cela car le maître allait recommençait et qu'il faudrait que pour sa petite fleur cela soit plus supportable. Clarissa observe Blattela avec curiosité durant un moment, sentant clairement de la bienveillance dans  cette voix alors que le sujet était horrible ! Cela était des plus étrange ... Elle commence a se sécher quand elle fut conduite devant un miroir pour se faire une beauté ...

Là, devant le miroir, la jeune esclave put s'observer avec attention, les marque sur son corps, ses joues rougit de coup ... Elle eut une soudaine envie de fuir loin de son reflet, mais Blattela l'en empêche, voulant qu'elle se fasse belle, Clari' essaie une nouvelle fois de lui glisser entre les doigts, mais la vue du bâton sous la robe de la dame la refroidie instantanément, se montrant soudainement plus calme et coopérative ... Un sanglot au bord des lèvres. A quoi cela servait de se faire toute jolie ? L'autre n'en avait cure, il haie les humains ... Les larmes roules sur ses joues et tant pis pour les reproche ou les gifle, mais elle parle tout de même.

- Pourquoi dois je me faire belle pour lui, alors qu'il n'en a rien a faire ?!

Après cela, elle vint tout de même se sécher les cheveux en les coiffant, optant pour une simple queue de cheval, regardant son visage larmoyant dans le miroir ... Est ce que ça allait suffire ou allait-elle devoir s'infliger un maquillage avec cela ? Elle n'avait aucune envie de se maquiller, pas pour lui ... Bien qu'elle n'aurait pas le choix de toute manière, la dame la forcerait à le faire si nécessaire. A chaque fois que son regard passé sur Blattela via le miroir, elle se demandait comment elle pouvait voir avec un masque de se genre ... Elle  obéit donc a la femme qui lui sourit, faisant tout ce qu'il fallait pour se rendre présentable ... Elle se trémousse doucement, non sans grimacer de douleur, elle avait mal partout, mais surtout le dos et l'anus ... Si possible elle ne mit que le stricte minimum pour le maquillage, faisant ressortir davantage se grand regard violet qui était le siens. Elle se demande se qui allait se passer par la suite, craignant le retour de se monstre, dont-elle était devenue la favorite ... Pourquoi elle ? Etais sans doute la question qu'elle se posait le plus ... Une question parmi tant d'autre et cela ce voyait sur son visage qu'elle était pleine de questions.
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Blattella l'aidait pour un peu tout, mais elle demeurait aux aguets et veillait à ce que la nouvelle favorite ne fasse guère d'écart. Ce n'était pas toujours évident, ni facile, l'esclave encore trop fraîche, les souvenirs trop vivaces d'une vie qu'elle ne goûterait plus de près ou de loin. Aux yeux de servantes étranges, une vie loin de ses murs lui semblait totalement impossible, impensable, qui voudrait d'elle ? Qui pourrait en vouloir ? Son père était destruction, sa mère était morte et ses enfants ne pouvaient qu'être l'incarnation de la désolation absolue. Voilà ce qui pouvait se cacher derrière son visage à demi masqué, sa voix mélancolique et si douce alors que son attitude démontrait une capacité à torturer au besoin.

Lavé, rendu présentable, ayant eu à corriger quelques impairs, mais rien de bien folichon dans le fond et Blattella n'en était que plus heureuse. Cependant, voilà que l'idée de se maquiller semblait la déranger, là, l'ombre de la flamme insistait, elle devait se faire belle pour lui. Elle avait même résisté et cette fois la servante due montrer le bâton sous sa robe pour l'aider à se calmer. Décidément, elle aimait jouer avec elle, un moment tout allait bien et l'instant d'après elle compliquait les choses. Les larmes roulaient et Blattella penchait la tête sur le côté, intrigué par la réaction. La voilà qui répondait à nouveau, scandant qu'elle ne comprenait pas l'utilité de se faire belle alors que son maître en avait cure. Là, une gifle sévère repartait, mais ce n'était pas tout, une main ferme attrapait petite par la nuque avant de la plaquer au mur. Étrangement, elle avait une certaine force, loin de celle du monstre, mais la question de son humanité était à se poser. Cependant, Clarissa risquait d'avoir d'autre préoccupation sur le moment, elle prenait une décharge dans le dos et seul réconfort était que la décharge était un peu moins puissante que celle du Père. La servante refusait que cette dernière ne chute au sol après cela, la gardant plaqué face contre le mur avant de prendre la parole :

- Qui est-il ?

Elle renvoyait une décharge dans son dos et attendait une réponse. Qu'importaient les pleurs, les suppliques, elle insistait en imposant une décharge dans le dos de la pauvre esclave :

- Qui est-il ?! Répond !

Levant la voix pour transpercer les hurlements si besoin ou les pleurs. Elle insisterait un moment avant de cesser si jamais la bonne réponse ne finissait pas par tomber. La déposant en douceur sur le sol froid, sur le dos afin de soulager la brûlure du bâton alors qu'elle le rangeait sous sa robe. Cette réaction serait la même dans tous les cas, elle l'aiderait à s'allonger si bonne réponse il devait avoir :

- Il est ton maître, ne l'oublie jamais lorsque tu parles de lui, jamais, tu m'entends ? Il te fera bien pire s'il devait le découvrir crois-moi. Sache qu'il sait tout, n'hésite pas à lui dire que tu as fait l'erreur et que je t'ai sévèrement réprimandé. Fais-le, tu as bien compris ?

Curieusement, il y avait une sorte de compassion dans sa voix, une recherche de la préserver, de la sauver du pire. En effet, si le maître devait le découvrir, il aurait fait tellement pire que quelques coups de bâton. Elle venait alors essuyer les larmes sur le visage de la pauvre esclave, en douceur :

- Chuuute... Allez calme-toi maintenant, tout va bien, tu vas te faire belle pour lui et la raison est toute simple en vérité.

Elle l'aidait à se lever, ses réactions seraient identiques, qu'importaient si elle avait donné la bonne réponse tout à l'heure ou non. Remettant la favorite devant le miroir alors qu'elle se plaçait dans son dos, son reflet était bien là, il ne s'agissait donc pas d'une Nosferatus :

- Soit agréable à ses yeux et aura envie de te préserver un peu plus. Soit obéissante et il ne te frappera que par envie et non par colère, car sa colère est puissante et destructrice. Soit aussi parfaite que possible et alors peut-être verras-tu qui se trouve derrière le visage de notre maître à tous. Fait ça bien et plus que le minimum ma belle. Je vais parler en même temps, te donner des informations qui te seront utiles.

Elle lui caressait les épaules en même temps, laissant ses doigts glisser jusqu'aux coudes et des fois passant derrière pour venir glisser sur ses flancs. Elle parlait comme promis en même temps, sa voix était d'une telle douceur, chaque fois qu'elle le faisait, sauf avec le bâton en main, elle était un ange, un ange dans le cœur :

- Cette ville est peuplée, ils sont si nombreux là dehors et beaucoup viennent en vérité du monde brisé du continent américain. Des survivants, des personnes en proie aux ténèbres et à la maladie. Fuyant la fin et trouvant le maître, le Père comme beaucoup l'appel, car il fut la main tendue à leurs ancêtres et qui les sortaient de leur tourmente. Le Maître à sauvé d'innombrable vie, a permis à ce que la vie perdure, leur donnant un toit en échange d'une chose toute simple...

Ses bras vinrent l'enlacer par la taille et si les mains étaient déjà très chaudes et d'une grande douceur. Le corps n'était en rien plus froid, c'était tout l'inverse, elle était si chaude que cela dépassait de loin la température qu'on attendrait d'un corps ordinaire :

- La même chose que ceux qui sont venus sauver ton monde, la dévotion. Juste la dévotion. Il a besoin de sang, alors certain s'offre à lui par amour, il est aimé, notre maître est aimé, pourtant il souffre et combat pour nous tous. Ses monstres qui nous effrayaient dans nos cauchemars, il les envoie repousser les hordes de Malades, il nous apporte ce que le monde nous a refusé... Le droit de vivre.

Elle regardait par-dessus l'épaule, voulant voir le travail effectué et si elle ne s'était contenté que des yeux, elle ferait une moue de la bouche avant de simplement lui dire de faire plus. Patientant ensuite que cela soit fait, elle prenait ensuite sa main dans la sienne et la menait à ses côtés vers la porte permettant de quitter la chambre. Cette dernière réagissait automatiquement, s'ouvrant à leur arrivée et se refermant ensuite. Le salon, énorme, luxueux et magnifique. Tant d'objet d'art ancien, des tableaux dévoilant une multitude de scènes cauchemardesque. Cependant, il y avait une récurrence, la présence de Heinart sur chacune et toujours mis en scène. Blattella ne s'attardait pas, se rendant au téléporteur après avoir grimpé quelques marches. Elles apparaissaient à un étage encore inconnu, les gardes observaient, habillé et sans collier. Ils inclinaient pourtant la tête vers Blattella et en progressant une chose étrange se produisait. Les esclaves portant le collier se mettaient sur le côté et à genoux avant de dire :

- Merci d'être la favorite.

Chacune remerciait, en progressant dans les couloirs, chaque fois que l'une les croisaient, elle agissait de la même façon et aucun sarcasme ou moquerie ne sonnait dans leur voix. Blattella ouvrait une porte menant à un petit salon, un canapé en cuir ancien, quelques meubles et une table de massage. Refermant derrière elle, l'ombre de la flamme indiquait la table de la main en ajoutant :

- Sur le ventre, je vais regarder tes brûlures et ton anus. Je ne suis pas médecin, enfin, officiellement, je ne le suis pas, mais il m'arrive de soigner les favorites, rendant leur existence plus supportable et les aidant à revoir leur vision...

Elle lui faisait un petit sourire avant de relâcher sa main et de se diriger vers une armoire en précisant une dernière chose pour éviter les mauvaises surprises :

- Sache que nous sommes sur une île forteresse, deux façons de rejoindre le rivage, les ponts menant aux remparts sont à découvert et remplis de garde et la ville. Lorsque tu auras ton collier, tu seras facilement reconnaissable et même si tu devais parvenir à rejoindre l'eau. Eh bien, c'est un océan noir que tu verras, remplis de carcasses de navire et grouillant de requins et autres animaux mal aimé. Tout cela pour rejoindre un continent infesté par la Maladie et la désolation. Donc... Apprends à vivre ici.

Oui, c'était ça la réalité, son nouveau monde, un seul endroit où vivre, un seul maître et un seul dieu.

Heinart
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Une fois lavé, la demoiselle fut un peut décontenancé d'être conduite devant un miroir, pourquoi devait-elle regarder son corps ainsi meurtris ? Elle n'en avait pas envie, mais la femme semblait vouloir la rendre présentable car elle l'empêcher de s'éloigner du miroir tant que ce n'était pas fait ... Elle finit par demander à quoi cela servait car il n'en avait cure d'elle. Clarissa fut surprise par la gifle et la douleur sur sa joue maltraité. Puis d'être prise par la nuque avant d'être plaquer contre le mur. La décharge qui suivit fut une grande et douloureuse surprise ... Ses jambes flagelle après cette décharge mais la femme la maintient contre le mur en lui demandant qui il était. Elle le savait, il le lui avait dit clairement alors pourquoi ne rien dire quand Blattela le lui demande ? L'esclave ne savait pas vraiment pourquoi, seule un sanglot sort de sa bouche durant le temps d'attente avant que la femme ne lui envoie une autre décharge en lui hurlant de dire ce qu'il était. Pourquoi ses lèvres refusait de laisser se mot sortir ? ... Un reste de fierté surement, elle se prend encore quelques décharge, finissant en larmes, mais sans avoir pue le dire. Les décharges était d'une douleurs étourdissante alors pourquoi n'avait-elle pas réussie a répondre à la question ? Une question simple à laquelle elle avait la réponse pourtant.

Une fois la punition terminé, la femme la déposa, le dos sur le sol froid, ce qui la fit frissonné de soulagement, la froideur du sol lui faisait du bien. La femme lui dit qu'il était son maître, qu'elle ne devait jamais l'oublier, qu'il sait absolument tout ce qu'il se passe en ces lieux et qu'elle allait devoir lui avouer ce qu'il venait de se passer, que c'était impératif, pour son bien. Clarissa lève son regard violet sur le visage masqué de la servante qui semblait si douce et bienveillante avec elle, alors que juste avant elle se prenait les décharge de son bâton ... Elle continue de sangloter à cause de la douleurs, sentant le pouce de Blattela venir essuyer les larmes sur ses joues, presque avec affection. La nouvelle favorite finit par se relevé avec l'aide de la femme, guider par celle-ci devant le miroir pour qu'elle finisse de se faire belle. Pourquoi ? Pour la simple raison, qu'elle devait être parfaite pour son maître, afin qu'il ne la frappe pas plus que selon ses envies. Elle allait devoir prendre sur elle et le servir du mieux qu'elle pouvait ... Mais son regard au travers du miroir se pose sur la servante, emplie de tristesse et de désespoir, elle n'avait aucune envie de le servir, d'être l'esclave favorite de se monstre, elle n'avait rien put décider ... Hormis le choix entre la vie ou la mort quand il l'a emmené et là ... Même là, en sachant ce qu'il lui réservait, elle aurait sans aucun doute était incapable de choisir la mort, la jeune demoiselle voulait trop vivre pour se résigner a la mort ... Quitte à le regretter par la suite, comme à l'heure actuelle. Elle vient se maquiller légèrement pour mettre ses yeux en valeurs, comme sa mère le lui avait montré, alors que la Dame masqué vient lui caresser les épaules et le corps avec tendresse. Elle écoute les explication sur cette ville qui se trouvait, habité par des personne que le maître avait sauvé. La jeune chercheuse sent ensuite la chaleurs du corps de la femme qui l'enlace en lui expliquant que le maître leurs a offert a tous le droit de vivre, sentant la dévotion dans la voix que la femme bienveillante. En voulant s'éloigner du miroir pour indiquer qu'elle avait terminée, les mains de la servante se resserre sur ses épaules pour la garder face au miroir, en voyant la tête de Blattela, Clari' comprit qu'elle allait devoir vraiment se maquillé, bien qu'elle trouvait cela toujours ridicule et elle n'aimait pas voir son corps ainsi maltraité ...Donc, elle prend un jolie rouge à lèvres pour l'appliqué sur les siennes, ensuite, de quoi donner de jolie couleurs a ses joues encore douloureuses, arrangeant un peu mieux sa coiffure avant de regarder la servante. Oui, son visage était bien plus jolie ainsi agrémentée de maquillage.

Une fois l'étape de la beauté terminée, elle sent la main de la servante venir prendre la sienne pour la conduire hors de la chambre. Elle avait mal alors qu'elle sortie de la chambre en sa compagnie, son corps était toujours douloureux mais elle devait supportait cette douleurs, comprenant que cela deviendrait naturelle au du temps, bien malgré elle car en général, elle était plutôt du genre douillette concernant la douleurs, la supportant assez mal ... Clarissa observe le salon, énorme est richement décoré, notant la présence des tableau qui représentait toute sorte de scène macabre avec son maître, mis en avant. Elle se demande si ce n'était pas pour compenser un manque chez lui ... Elle n'eut pas le loisir d'y réfléchir d'avantage car Blattela la conduit jusqu'au téléporteur, se retrouvant nue dans un couloir sans qu'elle ne puisse rien y faire, Clarissa se sent rougir de honte quand le regard des garde se pose sur elle tandis qu'ils incline la tête devant la femme qui la guide dans les couloirs. Elle tente de couvrir au moins sa poitrine de son bras libre sous peine de se faire réprimander par a guide. Une chose étrange vint la surprendre par la suite tandis que Qu'elle passe a côté d'une esclave, tout aussi nue qu'elle, mais avec un collier autour du cou. Quand elle la vit se mettre a genoux en les laissant passer, Clari' se disait que c'était par respect pour Blattela ... "Merci d'être la favorite", cela lui fit prendre conscience que les esclaves la remercier, elle et non Blattela, on venait de la remercier car ... elle était la favorite ? Vraiment ... Chaque esclave qu'elle croisait la remercier de la même manière, Clarissa était perdue vis à vis de cela, ne sachant pas vraiment comment le prendre, elle n'avait jamais demandé à être esclave, ni la favorite d'un monstre et elle craignait réellement la suite des évènements. La femme qui la guidé a travers le couloir, la fait entrer dans une pièce joliment meublée ou elle lui dit de s'installer sur le ventre en désignant la table. La nouvelle esclave vint s'y installer, préférant ne pas désobéir de nouveau alors qu'elle lui explique qu'elle rend la vie des favorite plus supportable en les soignant un peu. Clarissa sent son corps trembler légèrement a cause de la douleurs mais aussi à cause de la panique ... Apprendre qu'il n'y a aucune échappatoire a cette vie de souffrance est particulièrement éprouvant pour cette jeune chercheuse ... Au bord des larmes, attendant que Blattela vient l'ausculté de plus près et la soignée.

- Je ... Pourquoi tout le monde m'a remercier dans le couloir ? ... C'est si terrible d'être sa ... Favorite ? Bien que je ne sache pas vraiment ce que cela signifie ...

Clarissa se demandait se qui allait arrivée ensuite, qu'allait-elle subir de plus par la suite ? Sachant qu'elle ne réussissait toujours pas à l'appeler Maître, ne le voyant pour le moment que comme un monstre, bien qu'elle se posait pas mal de question. Si il haïssait autant les humains, pourquoi gérer et protéger une ville ainsi, se faire adorait ? Alors qu'il pourrait simplement les parquer en ville et aller se nourrir sans prendre la peine de les mêler  à sa vie ... Elle gémit de douleurs en essayant de trouver une position un peu plus confortable, son corp n'étant que souffrance, elle tremble de peur sur la table alors que la servante vient la soigner. Elle se met a pensait à ses parents, sa sœur, son travaille ... Sa vie, tout cela, elle devrait vraiment faire une croix dessus ? Non, elle ne pouvait y croire, ce serait comme dans les films ou les romans, on allait la rechercher et la sauvé ... Ou bien, elle trouverait un moyen de fuir cette enfer ... Même si elle ignore encore comment, Blattela lui affirmait que c'était impossible et suicidaire et ... elle ne pouvait que lui donner raison malheureusement. Des larmes roules silencieusement sur son visage alors qu'elle se demandait ce que lui réservait l'avenir ... Et puis, elle était curieuse également vis à vis de la remarque de la servante sur son collier, qui la rendrait facilement reconnaissable.
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Le maquillage n'avait pas été facile à mettre en place, mais même si à présent, c'était le cas, Blattella savait qu'elle n'en ferait qu'à sa tête la prochaine fois à nouveau et elle lui souhaitait de comprendre rapidement l'utilité d'être belle. La règle primordiale d'une favorite était très simple, survivre et pour cela créer le moins possible de raison de voir le maître se fâcher. S'il frappait par envie, sa force était relativement non mortelle, mais lorsque la colère le gagnait, il était si cruel que beaucoup de favorite succombait. Le problème étant qu'après la première, elles étaient souvent trop faibles pour éviter de refaire des bêtises et du coup subissait de plus en plus jusqu'à la mort. C'était pourquoi Blattella s'occupait d'elle de temps en temps, les soignants un peu mieux que ce qu'elle faisait d'eux-mêmes avec les ressources à leur disposition. L'autre affaire qui hantait son esprit était le fait qu'elle avait refusé d'utiliser le terme maître pour qualifier Heinart et cela se retournerait contre elle dès le levé. Après tout, elle allait devoir faire le rapport de ce qui venait de se produire et la petite allait certes sans doute parler de la punition, mais en aucun du fait qu'elle n'avait finalement pas corrigé ses paroles. Autrement dit, lorsque Blattella dirait tout à son maître, la petite allait souffrir et pas qu'un peu. On ne défiait jamais le Père, cela revenait à rencontrer la douleur et le désespoir. Cependant, elle n'y était pas encore et pour l'heure elle lui indiquait la table sur laquelle s'allonger à plat ventre. La favorite n'hésitait pas vraiment à s'y installer, mais elle pouvait voir la détresse de cette dernière lorsqu'elle apprenait la réalité sur cette île et ses chances de fuite.

Faisant une petite moue en voyant cela, elle s'intéressait malgré tout à l'anus bien détruit, normal, c'était sa première fois et le maître était plutôt bien monté sans parler de sa sauvagerie. Puis, la petite n'avait pas la moindre expérience, encore vierge, la prochaine morsure allait commencer à instaurer une dépendance, mais il y aurait aussi les voyages astraux. Blattella secouait en prenant une meilleure idée des dégâts, plutôt sévère, une autre pénétration l'aurait fait hurler à la mort sans le moindre doute et le Père l'aurait cogné pour la faire taire. En effet, c'était sa façon de réagir à la douleur trop exprimée d'autrui, à moins qu'il souhaitait l'entendre, ce qui pouvait aussi arriver, mais uniquement jusqu'au moment où celle-ci lui cassait les oreilles. Réagissant un peu tardivement à la question posée, elle se disait qu'elle était relativement légitime et pouvait y répondre. Après un petit soupire, elle attrapait une crème à l'allure translucide et prenait la parole :

- Je vais te répondre, mais sache qu'en même temps, je vais devoir mettre une crème particulière sur ton anus et un peu à l'intérieur. Ne bouge pas et essaie de te détendre s'il te plait.

Elle attendait un quelconque signe démontrant qu'elle allait obtempérer, puis se lançait et appliquait la crème en douceur :

- Celles et ceux qui devenaient des favorites sont systématiquement des esclaves ramenés, un peu comme toi, elles ont un collier et sont nues. Le maître peut être très dure et si peu parviennent à le comprendre. Leurs espérances de vie sont relativement courtes et elles en sont conscientes. Elles le servent des fois et voient sa duretés. Ainsi, elles préfèrent demeurer au service de la tour ou des autres si possible.

La crème était relativement apaisante, assez rapidement, mais les premiers instants piquaient légèrement, mais la blessure semblait se résorber à une vitesse hallucinante. Ayant terminé avec l'extérieur, elle plongeait à présent le doigt dans l'orifice avec cette fameuse pommade :

- Cependant, il n'y a pas que du mauvais à être la favorite, il y a une cafétéria pour les esclaves, la favorite peut commander ce qu'elle souhaitait aux cuisiniers contrairement aux autres qui devaient manger ce qu'on leur donnait. Tu disposeras d'une certaine autorité sur elles, enfin, si tu vies assez longtemps, il te la donnera et il pourrait même arriver qu'à la fin, tu disposes d'un bâton pour corriger les erreurs que tu vois. Puis, dans ton cas, vu le métier qu'il semble vouloir te donner, seule une favorite pourrait espérer pouvoir le faire. Tien, j'y pense, cela t'intéressera sans doute, cette crème, elle est faite à partir de la salive des Nosferatus, la race du maître.

Elle retirait le doigt et Clarissa pouvait sentir sa déchirure littéralement se refermer et ainsi réaliser que la douleur ne s'était pas juste apaisé, mais avait disparu. Blattella se lavait les mains après avoir déposé la crème et en prenait une autre avant de revenir :

- Leur salive dispose de propriété de guérison hors du commun, pouvant refermer n'importe quelle plaie si rapidement qu'on en voit l'évolution à l'œil nue. Celle que je vais appliquer sur ton dos à présent est une version diluée, le maître veut que les punitions marques les esprits, le tien et ceux des autres. Donc les faire disparaître reviendrait à aller contre lui, je vais donc me contenter d'en refermer le plus gros...

Elle fronçait les sourcils en regardant les deux entailles et ajoutait :

- Tu te soignes plus vite que la normale, je ne pensais pas que ton sang ancien soit assez puissant pour être capable de cela... Intéressant, juste un peu devrait suffire dans ce cas et sache une chose petite favorite...

Tout en commençant à appliquer une très légère dose de cette nouvelle crème sur les entailles dans le dos, elle prenait la parole :

- Notre maître devait tuer ton ancêtre, il lui en avait fait la promesse qu'après avoir pu donner un héritage, il reviendrait la tuer. Pourtant, le moment venu, il ne la tuait guère et elle n'avait même pas souffert de son passage. Le maître est plus compliqué qu'il n'y paraît, toi qui est chercheuse en monstre inconnu, tu devrais savoir que l'incompris était toujours craint et chassé. Cette île n'a jamais perdu sa fonction première, celle de le cacher du monde qui a voulu le détruire depuis le jour où il avait ouvert les yeux. C'était, il y a bien longtemps, il donne asile aux monstres qui font peur aux gens de ton monde, ceux qui demeurent à l'ombre des immeubles pour ne pas être vu et battu.

Ayant terminé, elle reculait et rangeait la crème avant de se laver à nouveau les mains et lui faire signe de se rasseoir. Elle attrapait un verre qu'elle remplissait d'eau avant de le déposer sur la table à côté de Clarissa :

- Tu peux boire, toi qui as pu le rencontrer, tu peux me dire ce qu'est le maître ? Il s'est donné le nom de Nosferatus, mais ce n'est qu'un nom improvisé, il est unique, le premier de son espèce et avant qu'un rejeton ne gagne son niveau d'intellect et de force... Il faudrait au bas mot plusieurs siècles, alors je t'écoute, peux-tu me dire ce qu'est le maître ?

On ne voyait guère ses yeux derrières son masque, mais il était évident qu'elle fixait avec un grand intérêt l'esclave. Une légère lueur émanait d'elle, comme une lumière, si faible qu'elle était à peine perceptible, mais c'était suffisant pour dévoiler qu'elle n'était clairement pas une simple humaine. Pas une seule fois, elle n'avait hésité dans ses gestes, sachant précisément où se trouvait le moindre objet, ce qui se passait autour d'elle et même dans les moindres détails. Cela l'était au point que se demander si elle voyait malgré le masque était loin d'être stupide. Une impression se dégageait de cette femme, sa bienveillance, sa façon de parler, d'agir, qu'avait-elle bien pu faire pour vivre avec tant de dévotion sous la coupe du Père.

Heinart
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La jeune esclave avait suivie l'étrange femme, guidé à travers les couloirs, regardant avec surprise les autres esclaves se mettre a genoux en la remerciant d'être la favorite, ce qui la surprenait et l'intrigué plutôt pas mal. Une fois à l'intérieur de la pièce ou l'avait emmené Blattela, lui indiquant de ce mettre sur le ventre sur la table en la lui indiquant. Clarissa venait d'obéir qu'elle dérogé déjà à la règle du silence, tiraillé par une question qui lui brulait les lèvres, mais au lieux de la punir, la servante lui répondit tout en disant devoir appliqué une crème sur son anus pour la soigné.

Clari' hoche la tête et reste immobile alors que la femme masqué vient appliqué la crème, lui procurant une étrange sensation, cela commençait par lui piqué un peu avant de se mettre a chauffé les zone concerné, puis un soulagement alors que la douleurs diminue avant de disparaître, purement et simplement, comme si cela était une crème miracle. La chercheuse se serait surement émerveillé devant une tels crème si les explications de Blattela ne venait pas de lui faire peur en plus de mettre un sacré coup au moral qui était déjà bien bas ... Elle venait d'apprendre que les autres esclaves la remerciait car ils préférait que ce soit elle que eux. Apprenant que la durée de vie des favorites était relativement courte ... L'esclave sent des larmes lui monter aux yeux, elle avait était choisie et ne pouvait rien y faire ... Si elle ne le servait pas correctement, elle finirait par succomber assez vite ... Lâchant un petit gémissement de surprise et de douleurs alors que les doigts de Blattela entrait dans son anus pour y appliquer la crème en lui expliquant par la suite qu'être favorite n'avait pas que des mauvais côté. Restant silencieuse, elle écoute la voix bienveillante de la servante qui prenait le temps de la soigner et lui dire les chose, la renseignée, en cela, elle appréciait le geste. Bien qu'elle fut étonné d'apprendre l'ingrédient de la crème, puis elle se souvient ... La morsure, le plaisir et la langue par la suite sur sa plaie, Clarissa vient doucement poser sa main sur l'endroit ou son maître l'avait mordue, tout était soigné.

Elle ne sait plus quoi pensait ... Pourquoi un monstre aussi fort que lui avait développer une faculté comme celle-ci avec sa salive, cette être était tellement ... étrange, cela la fasciné malgré toute la terreur qu'elle pouvait éprouver également. Elle entend parler des traces de fouet de la punition, disant qu'elle n'allait pas les faire disparaître, mais elle ajouta une chose étrange au sujet de son propre sang, fronçant les sourcils, la chercheuse n'avait pas souvenir que son sang avait quelques chose de particulier, s'en était surprenant. Puis elle écoute l'histoire sur son ancêtre, du moins une autres version, ou ... une suite ? Pourtant elle connaissait cette histoire par cœur alors elle fut d'autant plus surprise d'apprendre que le monstre avait retrouvé son ancêtre après la chasse et la traque et qu'il l'avait laisser en vie, par deux fois ... Donc, si sa famille avait put prospérer, c'était grâce à lui ? Le trouble pouvait se lire sur le visage de la jeune esclave alors que la servante terminait d'appliquer les soins. Elle reste immobile un moment, en pleine réflexion, alors que la femme pleine de bienveillance pour elle, mais aussi de dévotion envers le monstre qui était devenue son maître, elle ferme les yeux un instant. Ce qu'elle décrivait était plus un sauveur qu'elle monstre, mais elle se remémore de nouveau l'attaque sur le camp, les jours passé dans la geôle, ou visiblement elle avait souffert juste pour son plaisir à lui ... Etais vraiment le comportement d'un sauveur ... Mais elle devait prendre en compte qu'elle était humaine, de la race qui l'avait rejeter depuis son apparition. Clarissa semblait en plein dilemme quand Blattela revint vers elle avec un verre d'eau, lui disant de s'asseoir et qu'elle pouvait boire. La jeune esclave s'assied doucement et laissa échappé un soupire de soulagement quand elle remarque que son anus ne la fait plus souffrir, prenant le verre d'eau qu'elle vide d'une traite, elle ne peut s'empêcher de regarder la servante avec gratitude tandis qu'elle l'écoute parlé du maître.

Là, Clarissa pose son regard brillant d'intérêt sur la servante masqué qui l'intrigué aussi beaucoup, et visiblement même elle ne connaissait pas tout sur son maître, hochant doucement la tête après cette longue explication pour signifié qu'elle avait bien comprit ce qui avait était dit ... Visiblement son maître était plus complexe qu'elle ne l'avait crue, mais ... Il la terrifié alors c'était compliquer pour la chercheuse d'y voir autre chose qu'un monstre qui la faisait souffrir pour le plaisir ...

- D'accord, déjà je vois une intrigante remarque, pourquoi ce nom? C'est vrai quoi, c'est le même nom que le vampire le plus célèbre de nos légende, le conte Dracula, même les pouvoir me semble correspondre, je ne sais pas quand il est née, mais le savoir nous permettrait déjà de savoir qui de la légende ou de lui est née le premier. Mes ancêtres ont prie notes de ce qu'ils ont découvert de lui lors de la traque et des affrontement, mais à se jours, ils n'ont rien trouvé pour le vaincre de manière définitive ... Si c'est le premier de son espèce, un être unique alors c'est normal qu'il n'est pas de nom. Nosferatu, je serais curieuse de savoir pourquoi se nom ... Mes ancêtre l'on surnommée L'ombre sans reflet, Mais ils ne se sont jamais vraiment embêter a donner des noms aux créature vue qu'elles en avaient déjà. Je pourrais en dire un peu plus si j'avais mon bestiaire, mais je l'ai perdue au camp ...

Clarissa baisse le regard, un peu triste et gêner, son bestiaire ne l'avait pas quitté depuis qu'elle avait commencé ses études sur les créature si fascinantes. Elle relève le regard sur l'étrange femme masqué, la détaillant comme si elle essayer de voire des choses qu'elle avait raté au premier coup d'œil, balançant doucement ses jambe devant elle.

- Vous avez parlée de mon sang ancien ... Visiblement le ... Maître, n'est pas le seule a ne pas tout savoir sur lui même ...

Elle venait de le dire, c'était comme s'écorché la bouche avec une râpe à fromage ! Aussi douloureux et humiliant, mais si elle voulait rester en vie, elle allait devoir si habitué, elle avait vraiment le sentiment que la servante voulait son bien ici et que si elle avait insisté, ce n'était pas pour rien ... Baissant son regard sur son corps nue, elle fut un peu surprise de ne pas se sentir plus gêné que cela devant Blattela, mais bon, une fois dehors, elle savait qu'elle serait rouge de honte d'être vue ainsi et pourtant ... Elle risquait de l'être encore un long moment ... Clarissa allait devoir si faire, cette endroit était sa prison et s'enfuir d'ici n'était peut être pas possible, alors, comme l'avait dit Blattela, faudrait si faire. Mais y arrivera t-elle ?

- Pardonnez moi la question indiscrète mais ... Qu'est ce que vous êtes ? Je suis intrigué depuis un moment et j'arriverais pas a me taire avec une question qui me brule les lèvres.

Elle continue de regarder la servante masqué, curieuse et tout de même craintive au fond, si elle sortait le bâton, elle risquait de fondre en larmes devant elle car malgré cette apparente force qu'elle affiché, Clarissa avait était profondément marqué et fragilisé par la torture ... Elle était perdue et cherché a récupérer quelques repère sur ce qui l'entouré.
Clarissa Lacroix
C'est partie pour l'aventure !  [Heinart] EmptyVen 9 Sep - 18:46



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