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C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]

Heinart

Messages : 37
Date d'inscription : 14/08/2022
MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La petite s'était laissé faire et cela arrangeait bien les affaires de Blattella. Observant la jeune femme qui se redressait doucement, elle s'en allait lui ramener un peu d'eau et ensuite ouvrir une armoire dans laquelle elle mettait du thé aromatisé à la bergamote. La favorite n'avait pu le voir, mais d'un geste de la main l'eau venait de se mettre à fumer, puis elle refermait l'armoire le temps que cela infuse. Ecoutant ensuite la jeune esclave, elle rebondissait sur ce qui avait été révélé tout à l'heure, relevant certain point connu de la main droite du Père. Un léger sourire apparaissait sur ses lèvres, elle était heureuse de la voir intrigué, c'était une bonne chose, car le plus grand problème des favorites avait toujours été de trouver une chose à laquelle s'accrocher pour supporter les événements. Heureusement pour la petite, l'âge du maître n'était pas un secret, mais elle avait raison de trouver les pouvoirs du démon fort ressemblant avec ceux des mythes, alors qui était le premier ? Le mythe ou Heinart ? Elle fit cela dit une petite moue embêtée en voyant la petite baisser ainsi les yeux triste et gêné, visiblement, elle y tenait à ce bestiaire, mais il était préférable qu'elle ne garde rien de son ancienne vie :

- C'est fort regrettable pour ton bestiaire, mais il est souvent préférable de ne rien garder de son ancienne vie, puis le maître ne l'aurait pas permis. Cependant, je peux vous donner son âge, à peu près, je sais qu'il possède environ sept cents ans, son premier souvenir remontant à la grande peste en Italie. J'ignore qui du mythe ou lui est arrivé en premier, mais je tiens à vous dire que vous n'avez rien vu de ses pouvoirs.

Elle lui faisait un petit sourire à ce moment-là, comme si elle était fière que son maître possédait de si grand pouvoir, enfin pour elle. Néanmoins, elle fut surprise et surtout intrigué par le regard que lui lançait à présent la jeune favorite. Comment faisait-elle pour voir ? Bonne question, cela risquait de demeurer un mystère, après tout, il était possible que son moyen de ''voir'' les choses différaient grandement de celui du commun des mortels. L'esclave rapportait ignorer posséder ce fameux sang ancien, mais ce qu'elle retenait le plus était le fait qu'elle venait d'employer le mot maître et elle en souriait fortement. Pour la peine, elle recevrait du thé lorsqu'il aura infusé correctement. Elle allait d'ailleurs s'y rendre lorsqu'une question tombait, sauf que cette fois celle-ci la concernait. Blattella se mettait face à la petite, la favorite était bien curieuse, mais dans le fond, elle sentait aussi de la crainte. Puis, sans rien dire, elle sortait le bâton électrique, autant dire que la réaction de la favorite fut immédiate, la peur totale, fondant en larme, là, la main droite du Père prenait la parole :

- Du calme petite fleure fragile, je ne vais pas l'utiliser, détends-toi, je ne voulais pas te faire peur...

Elle déposait le bâton sur l'un des rebords de meuble avant de reculer jusqu'à toucher du dos l'un des murs de la pièce et faisait signe à la favorite de reculer :

- Recule, je vais te donner quelques indices, allez, recule et cesse de pleurer, tu vas ruiner ton maquillage.

Lorsqu'elle aura obéi, Blattella portait les mains à sa robe, l'écartant pour dévoiler une peau blanche, mais visiblement humaine :

- Une peau humaine, une morphologie humaine aussi, j'ai les mêmes organes que toi...

Replaçant sa robe, c'était d'ailleurs pour cela qu'elle avait retiré le bâton, ne voulant surtout pas le faire tomber par mégarde. Elle plaçait alors ses mains au niveau du masque couvrant ses yeux et une partie de son visage. Là, elle soulevait ce dernier doucement, avec une extrême prudence et avant même qu'elle ne puisse l'enlever l'on pouvait déjà voir une lueur lumineuse s'en dégager :

- Reste absolument où tu es, ne t'approche surtout pas, tu pourrais en mourir.

Le masque ne quittait pas complètement son visage, demeurant en partie accroché, elle dévoilait ses yeux d'un rouge puissant et étincelant. Pire que cela, ils ne le restèrent guère longtemps, car ils s'enflammèrent littéralement. Cependant, ce n'étaient pas des flammes ordinaires, c'était bien trop puissant et les regarder allait rapidement faire mal aux yeux de la favorite. Une alarme retentissait, déclenchant l'extinction des lumières et l'apparition d'une lumière rouge comme dans les bunkers. Blattella soupirait et remettait le masque correctement avant de se diriger vers la porte à laquelle elle appuyait sur un interrupteur juste à côté :

- Coupez l'alarme, tout est sous contrôle.

L'instant d'après, l'alarme se coupait et les lumières revinrent. Blattella retournait où se trouvait son bâton pour le ranger sous sa robe avant d'ouvrir l'armoire où le thé avait infusé. Elle sortait une carafe fumante, mais aucune bouilloire n'était visible, attrapant deux tasses, elle plaçait les deux sur la table où avait été allongé l'esclave. Remplissant, elle ouvrait un tiroir pour sortir un morceau de sucre qu'elle déposait dans la tasse de l'esclave avant de prendre simplement la sienne et inviter la favorite à revenir à côté d'elle :

- Tout va bien ma belle petite, tout risque est écarté lorsque je porte correctement mon masque. Alors, quelles sont tes théories à mon sujet ? Je serais curieuse de les entendre avant de te donner peut-être la réponse.

Elle lui faisait un large sourire, c'était comme si elle jouait avec elle, lui proposant une espèce devinette finalement. Si elle l'interrogeait un peu, sans évidemment demander complètement ce qu'elle était, Blattella répondrait. La main droite du Monstre voulait savoir, était-elle si différente des autres membres de son espèce ? D'après Heinart, elle l'était, elle n'avait même plus rien à voir avec eux, après tout... Elle relevait la tête et donnait une devinette :

- Mon père est destruction, ma mère est la vie et morte en la donnant. Alors ses enfants ne peuvent qu'être l'incarnation de la désolation absolue. Qui suis-je ?

Sa voix était si mélancolique, comme si elle avait déjà répété ces phrases des milliers de fois et pourtant elle continuait de le faire avec une grande douceur.

Couleur des yeux avant qu'ils s'embrasent
Heinart
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La discussion venait de prendre une tournure des plus intrigante et intéressante, la jeune esclave n'arrivait pas a éteindre les feu de la fascination en elle vis à vis de son nouveau et mystérieux maître. Elle fut néanmoins chagrinée d'apprendre qu'elle ne récupérerait pas son bestiaire, celui que sa famille avait mie des génération a peaufiné, prenant soins de le garder au seins de la famille alors que Blattela lui disait que c'était sans doute mieux pour elle de ne rien garder de son ancienne vie et cela eu pour effet de lui rappeler que ... Plus jamais elle ne reverrait les siens. Puis la voilà intrigué en plus par son propre sang, était-il spécial ? Comment cela se faisait-il que personne dans sa famille n'en est parlé ? La demoiselle, après avoir employé le mot "maître" vient demander à la servante masqué se qu'elle était, car cela la rendait très curieuse.

Clary' la vit revenir face à elle avant de la voir sortir le bâton de la douleur. Là, la jeune esclave n'eut pas le temps de réfléchir qu'elle avait déjà réagit, son cœur avait raté un battement, sentant l'affolement et la terreur l'envahir de même que les larmes qui brouille sa vision avant de rouler sur ses joue. Ayant un violent mouvement de recule en se mettant a bafouiller des excuses pour ses paroles.

- Non, pardon ! Pardon, je ... Désolée, je, je voulais pas ! Pitié ...

Puis la servante vint lui dire de se calmer, qu'elle n'avait pas eut l'intention de lui faire peur ou de l'utiliser, la voyant déposer le maudit bâton sur le meuble non-loin, la voyant ensuite reculer jusqu'à toucher le mur derrière elle avant de lui faire signe de reculer aussi. La petite esclave essaie de respirer profondément pour se calmer, n'en revenant pas que la simple vue de l'instrument l'ait mie dans un tel état de panique ... Elle finit par obéir, descendant de la table sur ses jambes vacillantes, elle vient reculer contre un mur opposé à la position de la femme masqué.

Elle la vit lui montrer une peau humaine et de couleur blanche, que l'on pourrait voir si n'importe qu'elle humain normal. Mais la suite allait s'annonçait des plus intriguant alors qu'elle vit les mains de Blattela se poser doucement sur son masque et après une dernière mise en garde, lui disant de ne bouger sous aucun prétexte au risque de mourir. Clarissa, complétement fasciné, n'ayant pas peur ou de crainte pour se qu'elle allait voire, les choses nouvelle et étrange l'avait toujours fascinée, hoché vivement la tête, fixant son regard violet sur le masque de la servante qui commençait doucement à le retirer, laissant apparaître des yeux, brillant d'un rouge incandescent et intense. Elle les observe avec un grand intérêt alors qu'elle les voit s'embraser vivement, irradiant d'une puissance ... Magnifique ! La petite esclave observe alors que des larmes apparaissent, ayant mal aux yeux rien qu'a les voir, puis elle finit par les fermer posant sa main dessus tandis qu'une alarme se met à résonner dans ses oreilles et que les lumière se coupe, ouvrant les yeux par peur et curiosité alors. Regardant autour d'elle pour voir la servante aller à la porte et dire que tout était sous contrôle. Juste après l'alarme se coupe et tout revient à la normale ... De tel mesure montrer la dangerosité du pouvoir de la servante masqué, se qui eut pour effet de la fascinée encore d'avantage et elle ne pouvait cacher le grand intérêt qui était née pour elle alors qu'elle revenait vers la table et Blattela qui venait de ranger l'odieux bâton du malheur et qui prenait une carafe fumante ainsi que deux tasse. Clari' hoche la tête quand la femme vient la rassuré avant de lui demander ses hypothèses, se qui fit naître un léger sourire sur ses lèvres, le premier depuis qu'elle est arrivée dans cette enfer, un léger sourire venue spontanément alors qu'elle se prenait au jeu de Blattela, oubliant un moment tout ce qui l'entouré, montrant à qu'elle point son travaille était avant tout une passion, une véritable fascination pour les être surnaturelle pour celle qui était tout ce qu'il y avait de plus naturelle, du moins le pensait-elle.

- Mes théories ? Et bien, là tout de suite, sans plus d'analyse, je dirais que élémental de feu serait des plus logique.
Mais ! Une petite intuition me dit que ce n'est pas ça. Ce serait trop simple et ton pouvoir me semble dur à canaliser, le masque étant la pour t'aider, d'ailleurs, comment fais-tu pour voir ? Est ce que tu fais comme les aveugles, ou bien tu as un autres sens propre à toi.


La petite esclave s'étant totalement prise au jeu ne s'était même pas rendue compte qu'elle venait de tutoyer la servante, se qui pourrait bien lui valoir une remontrance, voir même une punition, mais elle n'était trop prise pas ces réflexion, une déformation professionnelle. Elle qui avait toujours voulue faire de grande découverte, avait finit par atterrir dans cette enfer à cause de cela, qui se révèle au finale peut être bien une mine d'or d'information. Puis la voix de Blattela la sort de ses pensées pour donné une devinette supplémentaire.

Clarissa vient se poser contre la table de massage, prenant la tasse de thé entre ses mains si la servante masqué vient a lui en tendre une.

- Ce pouvoir est ton être, tu ne l'active pas quand tu le désire, il est ta nature. J'ai eu mal au yeux rien qu'a le regarder et j'était assez éloigner. Qu'il est- Elle s'arrête dans sa phrase, se forçant à se reprendre. Que le maître est déployé un tels système de sécurité pour cela montre bien qu'il est dangereux, mais toute aussi fascinant, je me demande si Vous êtes unique, comme lui, ou bien juste plus forte que les autres. "Le père est destruction" Cela, je dirais que ça fait référence au feu, c'est l'élément le plus destructeur. J'ai bon ?

Elle pouvait très bien se planter royalement et visé à côté, mais c'est ce qu'elle aimait dans les recherches, les hypothèse et les confronté pour trouver la bonne. Buvant une gorgée de sa boisson avant de soupirer de plaisir, ça lui procurait le plus grand bien cette boisson et elle déposa un regard plein de gratitude à Blattela. Elle avait une myriade de théorie pour la servante masqué, mais elle se rendait compte qu'elle venait de parler sans lui laisser le temps de répondre, mais elle était comme cela en temps normal, spontané et joueur dans son travail, décidément ... Clari' baisse un regard sur son corps, l'idée de revoir son maître lui faisait peur, ce monstre lui faisait peur, cette pensées suffit à lui faire perdre cette bonne humeur et ce coté enjoué qu'elle avait put réveillé en elle durant un instant. Quand elle ouvrit la bouche, elle reprit ses question, mais avec moins d'entrain.

- Comment le maître vous à t-il trouvé, comment vous a t-il sauvé ? Vous étiez encore enfants ? Et ... Savez vous pourquoi il m'a choisie moi pour favorite ? Et pas une autres, il doit y avoir plein de jolie esclaves ici ...

Ces pensées tournait de plus en plus autour de lui, ce monstre immortel qui l'avait choisie, elle. L'esclave vient finir sa tasse avant d'entendre enfin son corps, c'était la première fois qu'elle prenait conscience de l'état de son corps alors qu'il criait famine, elle se prend alors la faiblesse de son corps en pleine tête, sentant les bras trembler légèrement, ses jambes vacillé sous elle. Etais ce parce qu'elle avait peur ou bien parce que son corps était en état de faiblesse ? Probablement les deux et penser à son maître, l'idée de devoir aller le voir pour son réveil la terrifié car elle ne voulait pas revivre les dernier jours qu'elle avait vécue, torturé par le monstre, pour son propre plaisir ... Mas elle n'avait pas le choix, elle le savait ... Elle était devenue sa favorite ... L'esclave voyait cela presque comme une malédiction.
Clarissa Lacroix
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Heinart

Messages : 37
Date d'inscription : 14/08/2022
MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Une question, une devinette, avant même de proposer l'indice, la petite s'empressait déjà de répondre, amusante petite créature curieuse et prise au jeu de la vérité. La première analyse était classique, élémental de feu, choix logique et souvent on lui attribuait cette race. Cependant, comme le relevait la favorite, cela serait bien trop simple, mais elle faisait fausse route sur la raison qui la poussait à voir ailleurs. Trop difficile à canaliser ? Que le masque étant là pour l'aider à le faire ? Les intuitions étaient de bonnes choses, mais il ne fallait pas s'y fier complètement, car la raison du masque n'était pas de l'aider, mais de le bloquer. Son pouvoir n'était pas dur à canaliser, il était dans sa nature d'être volatile et instable. Généralement prompte à la destruction de toutes vies, qu'importaient ses formes. Elle n'avait à l'esprit aucune espèce capable de lui survivre sans risquer la mort et même le maître savait devoir s'en méfier. Enfin, lui était immortel et demandait de suivre un processus bien précis pour espérer peut-être le tuer.

La question concernant sa capacité à voir malgré le masque la fit sourire largement, cela aussi elle n'était pas la première à s'interroger, il fallait reconnaître que son moyen était d'une certaine façon unique en sont genre. Elle n'utilisait pas la manière de faire des aveugles, bien qu'elle le pourrait, elle portait un masque sur les yeux depuis toute petite, alors elle était aussi douée qu'une véritable aveugle. Blattella avait noté le tutoiement, exceptionnellement, elle ne dirait rien, mais elle allait devoir éviter de recommencer, elle remarquait que la petite n'était cela dit pas forcément consciente de l'avoir fait, ce qui l'inquiétait pour la suite. Elle lui transmettait ainsi la devinette et lui donnait la tasse de thé afin qu'elle puisse boire. La main droite du Père était relativement amusée par la scène, mais aussi concentré vu ce qu'elle venait faire. Ce genre d’exercice pouvant si rapidement mal tourner. Les constatations de l'esclave n'étaient pas entièrement fausses, elle avait les idées, la logique aussi, mais de là à pouvoir envisager ce qu'elle était, il y avait un gouffre entre les deux. Elle notait qu'à nouveau, elle tutoyait, mais au moins commençait à prendre le pli d'utiliser le bon terme pour parler du maître. La conclusion de la chercheuse fit pencher la tête de Blattella sur le côté, le feu ? Cela serait si simple si cela était vraiment le cas, même s'il était bien l'élément le plus destructeur, elle oubliait un fait important. Cependant, connaissant le système éducatif de la Jurisprudence, enfin, en ayant déjà entendu parler, elle se demandait si la petite était au moins au courant de certaine chose du passé. Ayant reçu un instant pour répondre et n'ayant pas voulu la couper avant, elle en profitait :

- Il s'agit bien de l'élément le plus destructeur, mais cela ne signifie pas que tu as raison sur ma nature et sache qu'il serait préférable que tu continues de vouvoyer, je ne voudrais pas avoir à te corriger.

Simplement, le timbre de sa voix était tellement doux, il s'agissait complètement de bienveillance et non de menace. Les questions furent ensuite bien mieux posées, déjà, elle reprenait les bons réflexes, mais elles étaient aussi intelligentes. Cela pouvait aider à savoir où et en connaissant l'origine cela aidait parfois à mieux cerner le domaine du possible. Cependant, voilà qu'elle déviait du sujet pour revenir à sa situation et le pourquoi de ce dernier. Blattella en soupirait légèrement, avant de boire quelques gorgées de thé encore fumant :

- Il m'a trouvé peu de temps après ma naissance et j'ignore pourquoi il vous a choisi. Votre sang est bon, vous êtes intelligente et pouvez lui apprendre des choses sur ce qu'il est.

Penchant la tête de l'autre côté avant d'approcher pour poser son index juste sous le nombril de l'esclave, remontant ensuite pour passer entre les seins et finir sur la bouche :

- Le maître fait ce qu'il fait pour une raison, il m'arrive de les comprendre, mais il demeure le maître, si tu as des questions sur des quelconques raisons à poser, demande lui et non à moi. Certes, il aurait pu en choisir une ici et il y avait même sans doute de plus belles femmes que toi. Néanmoins, petite fleure, tu es vierge, tu es plus intelligente que les autres, ton corps semble se soigner un peu plus vite grâce à ce sang ancien et tu viens d'une lignée particulière. Je pense que cela fait bien assez de raison logique pour te choisir et tu devrais en être heureuse. Il aurait pu faire de toi une porteuse, destiné à simplement te faire engrosser et pondre de nouveau marmot qui deviendront esclave à leur tour.

Au moins ainsi, elle était claire et venait sans doute de couper un peu le siffler de la favorite. Elle souriait ensuite, malgré ce qu'elle venait de dire, elle n'était pas en colère contre la petite nouvelle et revenait sur le précédent sujet :

- Nous sommes aux États-Unis ma chère, il y a eu ici un élément dénaturant tout ce qui est, le destructeur et il me semble même que son créateur a récité une phrase devenu célèbre...

Elle songeait un petit instant avant de reprendre avec le sourire :

- Il était en train d'admirer le spectacle et il dit alors... Maintenant, je suis devenu la mort, le destructeur des mondes.

Retirant son doigt, elle plaçait ses mains sur le visage de l'esclave, encadrant ce dernier de ses mains chaleureuses :

- Il existe une chose plus dangereuse que le feu, plus dangereux que la tempête, il est la mort, pouvant tout autant être silencieuse que bruyante et capable de rayer une grande ville de la carte en un instant. Sa lumière est si vive qu'elle peut rendre aveugle, sa présence est inodore et peut tuer en un an tout comme en une fraction de seconde. Il a toujours été présent, un peu partout, sans le savoir, beaucoup de personne en ingère, les bananes en sont pourvues et même le sel. Vous en avez donc tous en vous, mais trop faible pour que cela soit dangereux, mais il est là, je le sens, je le perçois malgré le masque. Il est si puissant que durant longtemps les villes étaient illuminées grâce à lui et pourtant il est capable de rendre un coin de la terre invivable pour des générations en déformant tout ce qui s'y trouvait...

Elle fixait la favorite, malgré le masque l'on pouvait voir une lueur briller à la jointure de la peau et du masque. Blattella reprenait alors sa devinette, lentement, essayant de faire sentir le poids de chaque mot :

- Mon père est destruction, ma mère est la vie et morte en la donnant. Alors ses enfants ne peuvent qu'être l'incarnation de la désolation absolue. Qui suis-je ? Qui suis-je et que suis-je ? Un paradoxe, une aberration bien vivante, la lumière aveuglante et la fin de toute vie.

Elle en avait dit bien plus que prévu, mais elle était prise au jeu, s'en amusait, mais en même temps cela allait tellement plus loin que cela. Après tout, elle n'avait pas d'existence, elle n'était pas reconnue dans le monde, on ignorait tout de sa naissance et on la qualifierait de suite de monstruosité et ils auraient raison de le faire. Le maître comprenait mieux que personne, lui aussi n'avait pas de nom, lui aussi n'était pas reconnu, lui aussi était un incompris. Obligé de devenir quelqu'un d'autre pour survivre et avait fini par devenir ce qu'on voyait en lui. Blattella était impatiente d'obtenir une réponse, avait-elle compris ?

Heinart
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Clarissa Lacroix

Messages : 29
Date d'inscription : 27/07/2022
MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Et voilà ce qui arrivait quand on la lançait sur un sujet digne d'intérêt, elle ne faisait plus vraiment attention et laissait la passion parler, avec un débit de parole assez impressionnant pour empêcher la servante masquer de répondre. Bien évidement que la jeune chercheuse était au courant que la plupart de ses hypothèses serait surement fausse, mais elle aimait poser à voix haute ce qui lui venait à l'esprit pour ensuite y réfléchir, posant de nouvelle question au file de ses pensées. Puis alors qu'elle laissait enfin un peu de temps à la femme de répondre. Clari' fut surprise de la de remarquer que dans son élan, elle avait tutoyer la servante et la petite menace de correction suffit à la refroidir, baissant doucement la tête penaud alors qu'un frisson lui parcours le dos.

Même si le ton employé était doux et bienveillant, la jeune esclave venait de sentir une sueur glacé couler le long de son échine dorsale, ne voulant pas subir de correction supplémentaire, ne sachant pas si elle le supporterais ... Pour preuve, rien que la vue du bâton de sortie l'avait mise dans tout ses états. Elle apprend que la servante avait été trouvé par le maître peu après sa naissance. Puis, alors qu'elle suivait le cours de ses pensées, le sujet finit par dévier sur le maître et le pourquoi il l'avait choisie elle. A cela, la femme masqué répondit que son sang et son intelligence en était peut être la cause. Elle se demandait réellement si son sang était aussi spéciale que cela, si bon ? ... Dans ce cas comment cela ce faisait qu'elle n'était pas au courent ? Un secret au sein même de sa famille ? Si cela ce trouve c'est un secret dévoilé qu'a un certaine âge ! Un peu ridicule comme théorie, mais bon ... Elle n'en avait pas d'autre.

Alors que la nouvelle esclave s'apprête a parler, poser de nouvelle question, la servante prend les devant la voyant déposer la tasse de thé avant de s'approcher d'elle, sentant la douceur de son doigt sur son ventre, elle le vit remonter entre ses sein puis sur sa bouche, la réduisant au silence. Clari' en fut réduite à l'observer avec surprise tandis que la femme masqué prenait la parole pour dire que le maître avait ses raisons de faire les choses, que si elle voulait des réponse il lui faudrait les poser à lui et qu'elle devrait s'estimer heureuse d'être la favorite, au moins elle n'est pas une pondeuse, servant à faire des bébé esclaves ... Là, la demoiselle eu une pensée pour la soldate emmené en même temps qu'elle, le monstre ne lui avait pas laisser le choix et en avait fait une pondeuse ... Pauvre femme, elle ressentait soudainement une pointe de tristesse pour la soldate devenue pondeuse, se demandant si cela avait déjà commencé pour elle ...

L'esclave observait en silence la servante qui reprenait la discussion avec le sourire, lui donnant de nouveau indice pour essayer de découvrir sa nature, les mains de celle-ci finissent par lui encadrer le visage comme pour capté toute son attention, lui parlant de quelques chose de plus dangereux que tout, quelques chose qui était la mort, dont sa lumière rendait aveugle, que sa présence suffisait à tuer et ceux, aussi bien en un ans qu'en quelques seconde ... La demoiselle observe en détail le masque droit devant elle de la servante, tout ce dont elle parler lui faisait penser a une chose. Une chose qui semblait se confirmer avec les dire suivant, qu'il y en avait partout, mais en trop faible quantité, et que sa puissance et si forte qu'elle illuminé des villes durant un long moment. Elle continue de l'observait, demeurant silencieuse tandis que la servante semble la fixer en retour, venant dire la devinette a nouveau, ajoutant en plus à celle-ci.

Puis L'esclave comprend. Oui, ses hypothèse avait était logique, pour les être naturelle ... Hors, elle avait le sentiment que, le maître et elle partagé une vérité bien plus profonde que le simple dévouement pour l'avoir recueillie. Elle sentait que la femme devant elle n'avait pas de race non plus, ou du moins, était assez différente de ses paire pour en être exclue. Avec douceur, l'esclave vient poser une main sur la poitrine de la servante, pas sur les seins, mais au niveau du cœur, là, elle voulait savoir ... Si, le muscle vital battait, ou non, ne la quittant pas du regard avant de prendre enfin la parole.

- J'ai déjà lue cette phrase quelques part alors cette homme doit être célèbre, mais en revanche, je pense avoir compris qui est le père, la destruction. C'est l'énergie atomique, n'est ce pas. La fission nucléaire. Comme dans la bombe atomique. Vous êtes différente de vos paires, assez pour être laisser pour comptes. Le maître vous a sauvé quand il vous a récupérer. Mais qui est la mère, une humaine ? Et quand est ce arrivé ? Ici lors de la dernière grande guerre ?

Clarissa se poser d'autre question, mais elle préférait ne pas en poser d'avantage, laissant cette fois le temps à l'intéressait de répondre, si elle est avait envie, pouvant très bien comprendre qu'elle ne le veuille pas non plus. Une chose était claire pour elle, cette voie, ces recherche sur les créature surnaturelle était vraiment sa passion, plus elle en apprenait sur la servante, plus elle était fasciné, mais elle compatissait également pour elle qui a pour le coup toujours du se sentir différente et donc, seule. C'est pensée dévie de nouveau vers le maître un instant. Lui aussi, il avait du se sentir si seule alors qu'il était née, ne sachant pourquoi il était rejeter par les humains, surtout à une époque ou on devait le traité de démon ... Clari' n'était pas vraiment sur qu'aujourd'hui, il soit traité différemment, au finale, peut être bien que cette îles était un refuges pour toute ses personnes ... Enfin, cela ne voulait pas dire qu'elle était heureuse d'avoir finit ici, en favorite du maître des lieux. Bien qu'elle ne savait pas vraiment ce qui était le pire entre une pondeuse, ou une favorite, cela ... seule l'avenir le lui dira.

Clarissa baisse la tête, s'écarter un peu de la servante masqué, elle ne savait pas vraiment si s'était bien qu'elle continue de discuter de cela, ayant remarquer la lueur s'échappant doucement du masque. Elle croise doucement les bras, ne pouvant s'empêcher de réfléchir tout de même à tout cela. Toucher sa peau lui rappela assez violemment qu'elle était nue, et qu'elle allait le restait durant un moment, si ce n'était le reste de sa vie, la pauvre ... Les vêtements commençait vraiment à lui manquer. L'esclave secoue doucement la tête pour revenir à sa réflexion première, la devinette et ... Non, rien à faire, le maître semblait toujours s'insinuer, revenir sur le devant de ses pensées ... Elle se demandait quand elle allait être reconduite là bas, mais en même temps, elle redoutait ce moment, revoir son maître allait être dur ...

- Dit ... Le maître, quand va t-il se réveillé ? Pas que je soit vraiment impatiente, mais ... Si je pouvais rester ici, à discuter avec vous toute la journée, j'en serais heureuse, mais ... Une partie de moi n'arrête pas d'y pensées, je ... J'ai si peur de retourner auprès de lui ...

La nouvelle favorite vient serrer un peu plus les bras contre sa poitrine, prise soudainement d'une peur fulgurante, une poussé de terreur rien que de pensée a son nouveau maître et à se qu'il était capable de lui faire. Elle essaie de respirait profondément pour se reprendre, se calmer comme elle peut malgré tout ce qu'elle ressent, son corps étant encore douloureux de tout ce qu'il lui avait fait subir, bien que grâce à Blattela, cela soit supportable. Elle revient à la servante, tachant de reprendre un peu de contenance d'elle même, respirant profondément, mais l'image de son maître était là, hantant ses pensées.
Clarissa Lacroix
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Heinart

Messages : 37
Date d'inscription : 14/08/2022
MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Ce dernier indice semblait être suffisant, amplement en tout cas pour qu'elle comprenne en partie ce qu'elle était, même si tout n'était pas assimilé. La preuve était sa question concernant sa mère, elle paraissait oublier comment naissait les êtres comme elle et qui en était la créatrice. Elle notait cela dit que l'esclave commençait à parvenir à utiliser le mot maître de plus en plus facilement, c'était une bonne chose pour la suite. En soi, Blattella était heureuse de savoir que grâce à elle cette petite éviterait une première volée de punition et donc ne finirait pas en lambeau à leur prochaine rencontre... Peut-être, car les façons de recevoir une sentence était si diverse et variée, tant était possible, tant succombait à la première véritable journée avec le Père. La main droite du monstre faisait un sourire à la favorite, elles allaient étroitement travailler ensemble d'ici quelque temps, lorsque son rôle serait correctement assimilé et accepté. S'apprêtant à donner suite aux questions qu'on lui avait posées, elle était assez heureuse en y repensant, cette femme semblait être quelqu'un de bien pour une qui venait de la Jurisprudence.

Cependant, voilà que cette dernière baissait la tête d'un coup, s'écartant un peu comme pour marquer la distance. Elle en penchait la tête sur le côté, ne comprenant guère son geste sur l'instant et voulant savoir ce qu'il y avait qui la chagrinait. Croisant les bras sur sa poitrine, elle semblait avoir comme une petite révélation, elle connaissait cela, elle l'avait déjà constaté chez tellement d'esclave différente. La nudité était une arme redoutable, elle faisait perdre en assurance les faibles, mais prendre en force les forts. Rien qu'avec cela, il était possible de voir qui avait de la force de caractère, qui était une dure à cuir et qui serait donc ceux capables de grimper les échelons. Clarissa avait été capable de suivre dans les couloirs sans trop sourciller, c'était une bonne chose, mais cela paraissait malgré tout beaucoup la perturber. Cependant, elle était encore vierge, cela démontrait une certaine retenue de ce côté-là et elle était belle. En conséquence, des avances, elle avait dû en avoir un certain nombre, que cela soit lors d'étude ou lors du travail. Ayant préféré le silence à la parole en attendant de voir ce qu'elle allait faire, elle penchait la tête sur l'autre côté lorsque la favorite reprenait la parole. Ses cachés derrières le masque, elle ne pouvait que pencher la tête ou faire des expressions de la bouche pour faire comprendre son intérêt ou attention. Le maître revenait sur le tapis, cette fois, elle demandait quand allait-il se réveiller, un jour, elle serait sans doute capable de le prévoir, mis pour l'instant, cela était bien impossible. C'était pourquoi elle comptait la ramener bien en avance à sa niche, mais elles avaient encore du temps. Blattella aurait pu être heureuse de cet intérêt si elle n'avait pas rapidement précisé que cela n'avait rien à voir avec de l'impatience, mais en vérité, il s'agissait surtout de peur... Non, de terreur. Sa façon de serrer sa poitrine contre elle, un geste de protection, une montée intense qu'elle percevait aisément et qu'elle tentait de juguler par la respiration. La femme masquée attrapait les bras de l'esclave et les écartait de force. Ainsi, elle l'ouvrait, découvrait son corps malgré ses protestations, démontrant en passant qu'elle avait bien plus de force qu'elle n'y paraissait. Elle maintenait ainsi les bras écartés avant de prendre la parole d'une voix toujours douce malgré la situation :

- Ne te protège pas, ne te cache pas, cela revient à fuir la réalité, fait l'inverse, ouvre-toi, accepte le monde qui t'entoure pour parvenir à le voir tel qu'il est et surtout parvenir à y survivre...

Elle se mettait à sourire, un grand sourire plus sincère et beau que tous ceux qu'elle avait pu montrer jusque-là :

- Ce sont les mots de notre maître peu de temps après notre rencontre. Je ne cessais de me cacher, de me protéger, d'avoir peur qu'on me fasse du mal et qu'on me persécute alors que pourtant il n'y avait pas lieu d'avoir peur. Me cacher revenait à nier la réalité, me protéger revenait à faire l'aveugle face à ma situation. Ma belle, il y a des choses qu'on ne peut vaincre, qu'on ne peut changer, la seule chose sur laquelle on a le contrôle, c'est nous. L'on peut nous contraindre, mais finalement, c'est à nous que revient le choix de luter ou évoluer... Encore des mots du maître pour moi.

Blattella refaisait un large sourire avant de relâcher doucement les mains, mais si elle tentait de revenir les placer en protection contre elle, alors la main droite du monstre recommencerait, encore et encore. Une fois assimilé, elle venait décaler une mèche de cheveux du visage et lui caresser délicatement la joue :

- Cela m'a permis de comprendre un tas de choses et toi, comment veux-tu pouvoir étudier les nouvelles espèces et les anciennes cachées si tu fermes les yeux ? Ouvre, en grand, observe, apprend, évolue comme elles le font, si j'avais été trouvé par les tiens à l'époque...

Elle fit une moue triste et même si elle parvenait à ne pas en montrer plus via son visage, Clarissa sentirait un léger tremblement dans les bras de cette femme ayant l'air si forte :

- Si les tiens m'avaient trouvé, je serais morte, dans le meilleur des cas, sinon j'aurais été enfermé et obligé à produire de l'énergie à la Jurisprudence ou que sais-je d'autre. Je ne serais même pas vu comme une créature, mais comme un outil, une simple énergie utile ou dangereuse. Le maître à fait de moi son esclave, sa favorite et si j'ai eu peur...

Les tremblements cessèrent, son dos redevait un peu plus droit et son visage exprimait à nouveau une certaine joie :

- Oui, j'ai été corrigé, oui, j'ai été frappé, violé, mais aussi caressé, apprécié, il ne me voyait pas comme un objet, mais comme une créature, comme lui et nous sommes tous pareils ici. Tous les monstres de vos cauchemars ne sont que des survivants chez nous, asservies au plus puissant des monstres qui veillent sur nous en échange de notre dévotion.

Elle s'arrêtait et approchait pour déposer un doux baiser sur les lèvres de Clarissa, si délicate dans son geste, si lente et constante qu'esquiver semblait impossible et pourtant elle avait eu le temps de la voir approcher. Elle posait son front contre celui de l'esclave ensuite avant d'ajouter :

- Toi, tu es humaine, réalises-tu que vous faites pareilles envers nous ? Y as-tu seulement déjà pensé ? Ou cela revenait à une normalité qui n'exigeait aucune pensée ou remise en question ? As-tu songé à ce que deviendraient les créatures que tu découvrirais ? À ce qui leur serait fait ?

Elle reculait et écartait les bras en grand avant d'ajouter :

- Ma mère était une élémentaire comme les autres, ma mère était Dame Nature et mon père était le souffle nucléaire et ses retombés. Vous les humains, vous êtes mon père et vous avez tué ma mère en envoyant vos armes sur elle. Je ne ressens pas ma mère m'entourer, je ne suis pas faite pour réguler les énergies élémentaires, je suis destruction, telle que vous m'avez créé. Le but que vous m'avez donné, c'est d'être la mort, la destructrice du monde, ce sont les mots du créateur de mon essence. Pourquoi donnez-vous sans cesse naissance à des êtres faits pour vous servir et détruire ?

Évidement, elle faisait référence cette fois aussi aux hybrides, créés pour la guerre et maintenant aussi à servir. Pourquoi les humains étaient si bons à juger les autres et non eux-mêmes ? Pourquoi les anges sont-ils encore pires ? Avec un certain dégoût, elle ajoutait :

- Le meilleur de l'humanité, cela signifie le pire de l'humanité pour nous autres les monstres, selon vos termes.

Elle baissait les bras et souriait avec tendresse :

- Alors, je préfère te voir comme une esclave, comme la favorite du maître, tu ne souhaites pas qu'on te voit en humaine, crois-moi, nous les détestons.

Approchant, sa main vint se poser dans le creux du dos de la favorite pour la faire venir avec elle vers la porte. L'ouvrant, elles sortaient de la pièce et la laissait se refermer avant d'avancer. Progressant dans les couloirs, les esclaves n'ayant pas encore vu la nouvelle réagirait comme les autres en la remerciant. Changeant d'étage, prenant le téléporteur à nouveau, elles se rendaient à un étage visiblement totalement consacré à la nourriture, une immense cafétéria séparé en deux. D'un côté pour les esclaves, plus sommaire, mais malgré tout des tables et des chaises. Cependant, leur repas semblait très simple, une espèce de bouillie et malgré tout ça discutait. En les voyant, certaines se levèrent, mais Blattella levait la main en signe de refus, faisant se rasseoir tout le monde, elle ne voulait pas voir de remerciement ici. L'autre côté, destiné aux natifs, était bien plus luxueux et les repas n'avaient rien à voir. La femme masquée allait voir les serveurs derrières leur comptoir du côté droit, celui des privilégiés :

- Pour moi, un grand bol de soupe aux vermicelles s'il te plaît...

Elle regardait la favorite et lui souriait :

- Commande ce que tu veux, allez, n'aie pas peur, il faudra demander au maître si tu y as droit de toi-même.

Blattella se doutait que la surprise la ferait hésiter un petit moment, ou peut-être que non, après tout les femmes comme elle avait l'habitude de tout avoir non ? Elle se posait la question et une fois la commande de faite, elles allaient s'installer du côté esclave malgré tout. En effet, elle allait là où elle voulait et en l'état elle préférait habituer la petite nouvelle. Prenant ainsi place à une table d'angle afin d'avoir la pièce à l'œil. Curieusement, Blattella semblait aussi aimé que crainte et il y avait de quoi, car cette dernière sortait son bâton pour le déposer sur la table avant de s'asseoir. Clairement, Clarissa verrait qu'elle n'était pas la seule à le craindre et même très vivement. Lorsque le repas serait prêt, des esclaves non loin allèrent les chercher pour les ramener à leur table, s'inclinant avant de se retirer.

Heinart
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La jeune demoiselle n'arrivait décidément pas à s'habituer encore à tout cela, être nue devant des gens la perturbé vraiment, alors même que cela durait depuis le début, elle n'aurait jamais pensée que ses vêtement lui manquerait autant ... Elle demande à Blattela quand est ce que le monstre s'éveillerai, voulant savoir un peu près, se préparer mentalement à le revoir. Elle doutait de pouvoir rester de marbre devant lui, il la terrorisé bien trop pour ça. La servante vient alors lui prendre les mains pour la forcer à les écarter, s'ouvrir au monde au lieu de s'en cacher, lui disant qu'elle ne devrait pas s'en cacher, mais au contraire, s'ouvrir à lui ... Des mots du maître apparemment. Plus elle en apprenait, moins elle réussissait à le comprendre ou plutôt ... Plus elle refusait de le comprendre en son fort intérieur, préférant sans aucun doute le voir comme un monstre, le mal incarné. Alors que la main droite de celui-ci lui faisait un véritablement sourire, à elle en lui expliquant qu'a son arrivée ici, elle aussi n'arrêtait pas de se cacher, de nié la réalité. Lui disant qu'il y avait des tas de chose que l'on ne pouvait vaincre, ou changer, mais que l'on garder le contrôle sur nous même ... Clarissa garde la tête baissé, ne sachant trop quoi pensée de tout cela. Ne réalisant pas de suite la force de la servante qui lui maintenait les mains écarté de son corps. Auparavant, personne ne l'avait vue toute nue ... Elle avait catégoriquement refusé toute avance des homme durant sa vie, les regardant à peine alors qu'elle avait au contraire toujours eu une fascination pour les créature occulte et légendaire.

La nouvelle favorite se prit encore une estocade verbale de la servante, lui disant qu'elle ne pourrait jamais étudier et découvrir l'inconnue en gardant les yeux fermée ... Elle sentait la douloureuse vérité, mais ... Pourquoi vouloir regarder un monde qu'elle n'a pas choisie, puis elle l'entend ajouter se qu'elle serait devenue si l'inverse c'était produit, si Blattela avait été découverte par les humains ... Elle avait eu envie de lui rétorquer que non, qu'elle aurait été traité convenablement, mais ... en était-elle sur ? Elle reste là, a écouter sans pouvoir répondre quoique ce soit à la servante masqué, elle en avait envie, mais en était incapable ... Les mots refusait de sortir, la rendant muette et penaud. Elle n'avait pas fait attention, en vérité, elle n'avait jamais fait attention a comment était traité les créature dans les laboratoire, avait était aveugle sur bien des sujet, aveuglé par ses propre envie de découverte, par sa propre fascination. Elle l'écoute, toujours silencieuse parlé des habitant de l'île, qui son tous des monstre, qui son tous pareille, soumis au plus puissant d'entre eux et elle prit enfin la parole ensuite.

- D'accord, j'ai compris ou tu- Vous voulez en venir, les humains sont des monstre a vos yeux, ils vous ont créer sans le vouloir, avec leurs destruction ... Oui, c'est un putin de cercle vicieux, la destruction engendre toujours plus de destruction ... J'ouvre les miens pour vous regarder, tous. Comme vous êtes, et non comme un humain vous verrez, vous avez été également sa favorite, mais je ne suis pas comme vous moi. Je suis une simple ...

Clari' semble s'arrêter dans sa phrase, se souvenant de la règle, oublier le mots humain, la forçant a se définir autrement. Elle essaie de se couvrir de nouveau de ses bras, mais la dame masqué semble intransigeante à se niveau, lui reprenant les main pour les écarter de son corps, autant de fois que nécessaire.

- Je ne suis qu'une simple chose, que tous ici vous semblez haïr, alors je vais ... Devoir ouvrir les yeux, pour voir tous ce que les miens on rejetait, oui ... Je comprend, mais ce n'est pas moins facile pour autant ...

Elle écoute alors Blattela lui parler de se qui aurait attendue les créature qu'elle aurait découverte, de comment les humains les aurait traité, lui parlant d'elle après ... Clarissa semblait vraiment penaud d'entendre la vérité claqué en pleine face ... Alors oui, elle en avait surement conscience, mais elle avait simplement refusé de voir, là, elle était obligeait de regarder, et cela faisait mal. Alors que la servante venait lui dire qu'elle préférait la voir comme une esclave, une favorite qu'une humaine, car c'était l'espèce que tous détester ... Mais elle ne pouvait cesser d'être une humaine pour autant, c'était une dur révélation pour une jeune demoiselle qui avait à peine commencé à vivre ... Baissant de nouveau la tête alors que Blattela la fit sortir de la chambre pour la conduire à travers les couloirs. La jeune esclave lève son regard penaud, observant les couloir, curieuse de savoir ou est ce que la servante la conduisait cette fois, une fois encore des esclave croisait sur le chemin se mettait à genoux en la remerciant d'être la favorite ... D'avoir la place que personne ne voulait et pourtant ... c'était la place la plus proche de leurs maître, pour une dévotion envers lui, elle trouvait leurs réaction un peu étrange. Alors qu'elle entre la la suite de Blattela dans la grande salle de réfectoire.

Clari' eu la soudaine envie de se cacher le corps, se mettant à rougir doucement alors que ... tant de monde la voyait, nue, le corps ayant encore les trace de sévices de son maître, mais les paroles de la servante masqué s'impose dans son esprit et la force à ne pas cacher son corps. En la suivant, la favorite observe les lieux en détail, notant le coté luxueux pour une certaine caste de personnes et l'autre coté, beaucoup plus simple pour les esclaves. Elle remarques que les esclaves se lèvent en les voyant arrivé, mais un geste de Blattela suffit a les faire se rasseoir, puis une autre révélation la fit rougir et baissé les yeux de gêne, pire encore que d'être toute nue sur les lieux, c'était de voire des hommes nue, bien qu'elle en connaisse l'anatomie, elle ... n'en avait jamais vraiment vue nue, en vraie ... Elle continue de traversé la grande cafétéria, sur les talons de la servante qui vient commandé une soupe de vermicelle, lui disant qu'elle pouvait commandé ce qu'elle voulait cette fois, mais que pour la suite, il lui faudrait voir avec son maître. Levant les yeux pour voir ce qu'il y avait et toute les odeur firent hurler et tordre son estomac qui crier famine. Elle hésite un moment, ne sachant pas trop quoi demander.

- Un morceau de viande rouge, saignante si possible. Et ... Des pâtes avec de la sauce tomate.

La jeune demoiselle observait les cuisiner, intimidé de se retrouver dans un lieux emplie d'inconnue, jetant un regard vers la partie esclave, tous nue a manger l'étrange bouillie et pourtant ça semblait discuter de tout et de rien, autant que dans l'autre partie, plus luxueuse, qui ressemblait plus à un restaurant. Elle suit Blattela de nouveau quand celle-ci va s'installer dans la partie esclave, dans un coin pour avoir en vue tout le réfectoire, une place stratégique. Elle ne put retenir un geste de recule, un battement de cœur raté quand le bâton apparue sur la table, cette objet instillé vraiment la peur en elle, une peur qu'elle n'arrivait pas a jugulé ... Qui faisait remonter tout la douleurs des dernier jours, puis elle s'installe à la table, continuant de regarder toute autour d'elle. Clarissa devait vraiment comprendre que c'était devenue son lieux de vie, elle n'avait pas le choix et aucun moyen de fuite. Les plats arrivèrent peu après et rien qu'a les voir, cela lui mettait l'eau à la bouche.

- Dite, j'ai compris ce que vous avez dit toute à l'heure, mais pourquoi ... Moi, qui suis, une chose détester de tous ... Comment pourrais je  réussir a m'intégrer, comme vous avez pue le faire. Surtout que vous avez raison dans le fond ... Je comprend votre haine ...

Elle lève les yeux sur Blattela, l'observant en détaille. Oui, cette endroit était plus complexe qu'un simple enfer et une vrais structure avait été conçue, plus qu'un palais pour un monstre mégalomane, c'était une ville pour les autres, un refuge et elle se demandait, vue qu'elle ne pouvait en partir, si elle arriverait à s'intégrer, faisant partie de la race qui était haï, et surtout, qui a grandie avec la jurisprudence, Elle commence à manger, sans vraiment faire attention si elle doit attendre ou pas, ayant trop faim pour cela, et puis, elle n'en avait pas le réflexe.

- Vous qui avez été une favorite, pourquoi vous ne l'êtes plus ? Et est ce que vous voudriez me parler un peu de la vie d'une favorite ? Ou bien devrais je le découvrir moi même ?
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Blattella voyait bien que ses paroles avaient touché la chercheuse, qu'elle ne restait pas insensible et peut être même que la culpabilité l'affectait à présent. Pourtant, elle n'avait pas répondu, un choix, ce n'était pas vraiment à elle de lui dire que faire et comment le faire. Elle était en soi sur la bonne voie si elle avait accepté ce qu'elle était et surtout ce qu'elle représentait aux yeux des natifs et monstres. La pauvre n'avait probablement jamais essayé de savoir ce qui arrivait aux créatures découvertes et encore moins au côté sombre de la société dans laquelle elle avait grandi. La Jurisprudence faisait comme eux, enfin, c'était Heinart qui faisait comme ces derniers, arrachant le nom des humains de la même façon qu'il retirait celui des gens se retrouvant esclave dans leur société. Cependant, il n'était pas très utile d'aller plus loin dans la réflexion pour le moment, puis, elle devait manger. Lorsque le maître se réveillerait, les choses n'allaient pas être simple pour la petite et elle allait devoir récupérer un maximum de force pour le supporter. Blattella en était parfaitement consciente, c'était pour cela qu'elle l'emmenait à la cafétéria.

Là-bas, la main droite du Père empêchait de justesse un nouveau manège, celui des couloirs lui suffisait, le faire ici devant autant de garde reviendrait à une provocation dont elle se passerait. Gérer une volée de garde en colère qui tabassait les esclaves qui en avait fait de trop devant la nouvelle... Merci, mais non merci. Les commandes étaient faites, visiblement la petite n'était pas bien compliqué et choisissait du grand classique. Bon, au moins elle n'était pas trop regardante sur le type de viande, uniquement la couleur, cela était déjà mieux que certaine qui avait eu ce privilège et qui en avait abusé. Installé, elle écoutait le nouveau flot de parole de la chercheuse, mais le problème était qu'elle tournait en rond et revenait sans cesse finalement à son petit nombril ainsi que la raison de sa présence. Blattella soupirait un peu, effleurant le bâton sans vraiment y prêter attention, ce qui d'ailleurs déclenchait une volée de frisson dans la pièce du côté esclave. Elle répondait à la nouvelle entre deux cuillères en zieutant par moment sur les couverts de la petite. Après tout, il y avait un couteau dans le lot et il faisait mieux de ne pas disparaître :

- Si tu es consciente de notre différence, alors pourquoi tu penses que je sais comment tu dois faire pour t'intégrer ? Ce n'est pas à moi de savoir comment une chose telle que toi est censé si prendre. Réfléchis un peu ma belle, ce n'est pas pour rien qu'on t'a retiré ton nom et ton espèce. Cela fait de toi une page blanche d'une certaine façon, alors cesse donc de t'identifier comme ce que tu sais et devient une esclave, c'est ce que est à présent.

Elle avait été un peu sèche au départ, mais c'était rapidement calmé, la petite posait trop de question un peu stupide à ses yeux et ne réfléchissait pas assez. Heinart l'avait déjà prévenu que sa façon de traiter les favorites pouvait provoquer cela et qu'elle devait donc se méfier de ne pas tout donner trop vite. Blattella faisait une petite moue, songeant à la raison pourquoi elle n'était plus la favorite, c'était sans doute la seule à avoir été réellement heureuse de l'avoir été et aussi la seule qui respirait encore en vérité :

- Je t'ai donné la réponse petite fleure, je suis une élémentaire nucléaire, il ne peut ni boire mon sang et en plus... je ne suis pas une chose telle que toi ou les autres. Alors oui, j'ai été sa favorite, mais il ne portait pas envers moi les mêmes sentiments que pour ceux comme toi. Voilà tout et oui... Va falloir que tu découvres toi-même à quoi ressemble la vie d'une favorite. Maintenant dépêche de finir ton assiette, je te ramène ensuite.

Inutile d'en dire davantage, il y avait de bonnes chances pour que cette information soit suffisante pour jeter un froid sur la petite et lui couper l'envie de parler. Elle se sentait un peu désoler pour elle, après tout, elle était encore vierge et relativement gentille tout en demeurant naïve. Autrement dit, elle allait se faire dévorer tout cru par le monstre, heureusement pour elle, elle était une chercheuse précieuse, cela faisait qu'il retiendrait sans doute sa main, au moins un peu. Terminant son assiette tranquillement, elle observait la pièce bien souvent et avait même fini par claquer des doigts pour attirer l'attention d'un garde et pointer du doigt l'une des esclaves. Cette dernière se faisait ensuite embarquer sous les regards inquiets des autres. En effet, Blattella était appréciée, mais elle était aussi très crainte, car derrière son physique magnifique et mystérieux se cachait une fanatique du Père. De cela, la petite Clarissa devait déjà se douter, d'ailleurs, si l'ancienne favorite voyait que l'esclave avait du mal à finir, elle prendrait le bâton en main pour le pointer vers la nouvelle. Elle ne prenait même pas la peine de dire quoi que ce soit, son regard qui revenait régulièrement à son assiette était une réponse en soi. Dans tous les cas, une fois l'assiette vidée, elle prenait le couteau qu'avait reçu la petite pour manger et le lui montrait :

- Si à l'avenir tu devais pouvoir manger ce que tu veux, fait bien attention à toujours rendre le couteau et faire en sorte qu'aucune esclave ne le prenne. Tu ne voudrais pas être responsable de ce qui arriverait à cette dernière et tu ne resterais pas sans reste crois-moi...

Conseil donné, elle faisait ramener leur assiette et couvert par la nouvelle à un comptoir qui rangeait et nettoyait tout ça. Ensuite, elle lui prenait à nouveau la main pour l'emmener avec elle vers le hall central. Là où se trouvait le téléporteur, mais se ravisait au dernier moment et se dirigeait vers une porte qui menait à des escaliers, elle révélait alors :

- Sache que c'est uniquement parce que je suis avec toi que le téléporteur s'active, les esclaves prennent normalement les escaliers et ils se trouvent toujours sur la droite. Retiens bien cela.

Elles montaient ensuite les marches ensembles, plusieurs étages, Blattella tenait la cadence avec aisance, ce qui n'était pas certain pour la petite qui se faisait tirer par le bras pour ne pas la perdre. Arrivés en haut, cinq étages plus tard, elle laissait l'esclave là et lui indiquait la niche en lui faisant signe de demeurer silencieuse. Après tout, le maître pouvait se réveiller à tout instant et arriver par le téléporteur. Elle y pensait tout juste, penchant la tête sur le côté avant de préciser :

- J'y pense, je ne t'ai pas expliqué comment savoir que le maître s'est réveillé, tu...

Elle fit une petite moue avant de sourire largement et de reprendre :

- En fait, oublie, tu le sauras, disons que tu remarqueras qu'il est sur le point de se réveiller.

Elle souriait légèrement avant de lui faire signe de retourner dans sa niche en attendant, mais là encore, au lieu de la laisser enfin filer, elle revint à elle rapidement pour l'enlacer par derrière. Si chaudement, si affectueusement, ses lèvres vinrent effleurer le cou de la nouvelle avant qu'elle ne lui murmure à l'oreille :

- Souviens-toi de ce que tu dois lui avouer et... Je ne te déteste pas, tu es une chose et non ce que tu sais.

Elle déposait un baiser dans son cou avant de partir tranquillement et disparaître via l’ascenseur dernier cri. Quoi que décidait de faire l'esclave, d'ici une petite heure, elle sentirait une chose pesante dans l'air, une Aura maléfique et glaciale s'élevait depuis le cœur de l'île et l'enveloppait de sa présence. Déclenchant un frisson chez chacun, esclave comme monstre, natif comme animal, tout le monde le ressentait, cette présence si imposante et dangereuse. Cependant, si certain la craignait, les résidents de l'île se sentaient rassurer par ce dernier malgré la peur qu'il engendrait. Une malédiction ou un pouvoir mystérieux ? Heinart possédait une Aura titanesque qui contrairement à la plupart des créatures du monde était perceptible même par les humains. Il avait appris à la cacher, à la contenir en lui après que celle-ci se soit éveillée et c'était parce qu'il ne voulait pas en rajouter à la nouvelle qu'il avait choisi de la contenir. Néanmoins, cela n'avait plus lieu d'être, Clarissa pourra même entendre des cloches sonner, oui, il avait blasphémé et bafoué les règles du monde afin de les adapter à son île. Le Père était réveillé et sa présence était si intense que l'idée de se retrouver face à cela était suffisant à réveiller même l'instinct de survie endormi des humains. Heureusement, cette Aura diminuait ensuite, c'était comme s'il avait sonné l'alarme pour prévenir de son réveil ou qu'il lui fallait un peu de temps pour la rendre supportable après son levé. À présent, même s'il était possible de la sentir, elle devenait plus diffuse, comme une présence qu'on pouvait sentir, mais ignorer tout en sachant qu'elle serait toujours là.

Le Père était debout, il bougeait, se rendant au téléporteur pour se rendre au grand salon où se trouvait en théorie la petite esclave. Que faisait-elle ? Lui était habillé d'un jeans foncé, de ranger et d'une chemise ouverte. Ses cheveux coiffés en arrière, son regard lunaire scrutant les environs et enfin l'esclave si elle l'attendait comme la règle l'exigeait. D'aussi près, son Aura déclenchait des frissons et contenir les tremblements demandait une certaine volonté au début. Il était le monstre qui avait construit cet endroit.

Heinart
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Elles venaient de s'installer toute les deux à une table dans un coin afin que la servante masqué puisse voir toute la salle, bien que l'esclave se demandait toujours comment elle faisait pour "voir" avec le masque. Peut être un écran à l'intérieur relié à une caméra extérieur. Elle finit par demander comment, elle, en tant que "humaine" ennemie de tous ici pouvait faire pour s'intégrer en ses lieux, se disant que l'expérience de la servante pourrait aider, mais elle pour toute réponse de la trouver elle-même ... Super réponse, ça l'aider beaucoup. L'esclave baisse un peu le regard, songeuse, même si les dires était vrai, lui rappeler qu'on lui avait retirer, son nom et son espèce était tout de même douloureux, on lui avait retirer son identité, tout ce qu'elle était en somme pour en garder une page blanche ...

Puis Blattela lui raconte pourquoi elle n'était plus une favorite, et l'esclave appris que le sang gardé une certaine importance et vue comment le siens avait l'air de plaire ... C'était surement une des raisons de sa nouvelle place, ça et  visiblement les sentiments que le maître avait pour leurs espèces, il avait donc des sentiment particulier pour les humain ? Alors qu'il les haïssait plus que tout ... Donc, cela voulait dire que toute les favorite était humaine, cela le rendait encore plus complexe ... Mais entendre qu'elle serait ramener à la chambre une fois le repas terminais lui nouait étrangement l'estomac alors que le repas était bon et très apprécier car elle était en vérité affamé. Alors qu'elle découper un morceau de viande pour l'avaler, la jeune esclave leva la tête vers la salle tandis que Blattela venait de claquer des doigts. Un garde vint emmener une esclave pour une raison qui échapper encore à la petite Clarissa qui observait la scène, intrigué et légèrement inquiète, revenant à Blattela qui vient pointé son assiette du bâton. La faisant frissonner violement de peur, hochant la tête en baissant le regard. Oui, elle allait se dépêcher de finir son repas ... Clari' finit de manger malgré le manque d'appétit qui était arrivé, se forçant malgré tout.

La femme masqué lui prit son couteau en lui indiquant de faire en sorte de toujours bien le rendre, d'éviter qu'il finisse entre les mains d'un esclave et n'aimerait pas le résultat. Hochant de nouveau la tête doucement pour signifié qu'elle avait compris ... Elle ramène ensuite le plateau avec les assiettes et couvert, laissant un léger sourire de gentillesse apparaître sur son visage quand elle laisse le tout à la personne en charge du nettoyage avant de revenir vers Blattela qui vient la saisir par a main pour l'emmener à la sortie. Alors qu'elle était conduite vers le téléporteur, la jeune favorite sent son pouls s'accélérer, elle avait peur que son maître s'éveille ... de se retrouver toute seule face à lui. Elle ne pouvait strictement rien faire d'autre qui subir, elle n'avait jamais voulue être favorite, encore moins enlevé et conduite ici malgré elle. Mais cette fois, devant la téléporteur, la servante masqué semble se ravisé pour la conduire par les escaliers en lui disant que le téléporteur ne s'activerait pas pour elle car elle était une esclave et elle du monter les cinq étage à pieds, autant dire que la jeune Clarissa était essoufflé en arrivant à destination, rien de plus normal étant donné que le sport n'était pas son passe-temps favori en générale.

Quand on lui indique la niche, la demoiselle se demander si elle devait s'injurier, rire ou bien ... ne rien faire, baissant la tête, la nouvelle entre dans la pièce, se dirigeant vers la niche avant que Blattela ne l'arrête pour lui révéler comment savoir pour le réveille du maître avant de se raviser, disant simplement que le moment venue, elle saurait ... Cela l'intrigué autant que l'inquiété, la servante lui indique de nouveau la niche, pensant que c'était finit cette fois, elle fait un signe de la main à cette femme masqué qui a été si prévenante, gentille et affectueuse avec elle, se tournant de nouveau vers la niche. Qu'elle ne fut pas sa surprise de sentir la servante venir l'enlacer par derrière, débordant d'affection et de chaleur, de tendresse qu'elle se laissa faire, hochant encore la tête ou les dernière recommandation. Ce voir non pas comme une humaine, mais comme une esclave, sans nom ... sans identité et pourtant, elle avait tout ses souvenir, y renoncer était sans doute le plus dure, voir impossible pour cette jeune esclave ...Après l'étreinte cette fois, la servante s'en alla, la laissant seule se rendant vers la niche, y entrant doucement en se mettant à quatre patte. C'était tellement humiliant de se rendre dans une petite niche, tels un petit chien ...

Une fois dans cette niche, la jeune esclave attendit, en silence, la peur au ventre que le monstre se réveille, sachant que cela pouvait arriver à tout moment, ce n'est que lorsque les minutes devinrent une heure qu'elle la sentie, cette présence ... cette Aura qui lui fit rater un battement de cœur avant que celui-ci ne s'emballe. ça y est, il était réveillé, elle en était certaine ... Cette Aura ne pouvait qu'être celle du roi des monstres. En même temps que cette aura pesante, l'esclave entendit des cloche sonner. Décidément, son réveil était en grande pompe ici ... Cela lui faisait pensée au réveil des roi de Jadis, des souverain d'un monde très différent, lointain ... comme des légendes désormais. Que devait-elle faire ? Une partie de son être lui disait de se cacher aussi loin dans cette niche qu'elle le pouvait, mais l'autre côté d'elle-même, il disait qu'elle devait surtout pas désobéir au maître, si elle espérer survivre ... Se rappelant de la règle concernant le réveil la jeune favorite sort de la niche pour venir se placer à genoux à peu près au centre de la pièce, proche d'un canapé, tourné vers là ou elle pensait qu'il arriverait. Restant là, toute nue et si fragile, faible que s'en était rageant pour elle ... Elle essayait de se répéter qu'elle était une esclave et non plus une humaine, mais son esprit, refusait d'oublier son nom, son passé car c'est ce qui fait d'elle ... une personne a part entière. Il ne fallut pas attendre longtemps pour voir arriver le maître des lieux dans la pièce, là, elle ressentie l'aura du monstre d'une tel intensité que la petite esclave qu'elle est ne put retenir un long frisson lui parcourir le dos, puis ses membres qui se mettent à trembler doucement sans réussir à se contrôler ...

La vue de son nouveau maître, son corps qu'elle n'arrive pas à contrôler pour l'empêcher de tremblait comme une feuille la terrifie, lui faisant monter les larmes au yeux. Elle dut se faire violence pour ne pas s'effondrer en sanglot, son regard ne montait pas au dessus des épaules, ne croisant pas le regard du maître ... Clari' était terrifié, complétement tétanisé de le savoir juste devant elle, le monstre qu'elle redoutait tant. De plus, elle ne savait absolument pas comment réagir, sachant ce qu'elle devait lui avouer, cela lui tord davantage son estomac, les larmes lui brouille la vue, mais elle les refoules comme elle peut. Quand il approche d'elle, pour une raison quelconque, si il ne lui adresse pas la parole, elle viendra frotter légèrement sa joue contre la jambe de son maître, bordel que c'était humiliant comme position. Clari' n'en revenait pas de devoir faire cela pour avoir juste le droit à la parole ... Si le monstre consentait à la lui donnait et si il le faisait, elle parlerait d'une voir fluette et hésitante, craintive.

- Maître, bonjour Je ... Comment allez-vous ?... Je, ... je dois vous avouer que, j'ai ... j'ai, été corriger par Dame Blattela car je n'arrivais pas à dire le mots "maître" pour, vos qualifié. Ce que j'ai finis par réussir à faire et je devais vous l'avouer ...

Ce qu'elle ne disait pas c'était que l'appeler ainsi, c'était comme de manger de la laine de verre ... Cela lui arrachait la bouche, écorchait la langue, mais elle n'avait pas le choix ... Si elle voulait survivre et ... ne plus souffrir, de trop d'après les dire ... Et puis, que pouvait-elle faire d'autre, elle n'avait pas le cran pour sautait de la fenêtre ... Pour le moment, et ...Elle n'avait aucun moyen de fuir, encore moins de combattre et vaincre le maître. Clarissa reste en position, attendant que le maître l'autorise à bouger, de peur de faire une bêtise et de s'en prendre une, la peur se lisait clairement dans son regard, bien que ... dans le fond, on pouvait toujours y déceler une lueur de curiosité, oui, elle voulait étudier le maître et découvrir tout ses secrets ... Et peut être celui de son sang également. Mais pour le moment, elle devait déjà survivre a cette nouvelle vie, d'esclave et non plus d'une humaine ... Elle allait devoir s'y faire ... Elle garde le regard baissé en attendant que le maître commence à prendre la parole, se demandant ce qu'il allait lui faire désormais.
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Il était là, elle était présente, elle aussi,, à genoux comme exigé, mais bon sang, quelle position pitoyable, il allait devoir lui apprendre les positions, lui incruster dans l'esprit et pour commencer celle en attente. Cependant, il ne la violentait pas pour cela, pas cette fois en tout cas, il savait qu'elle avait quelque chose à dire et il était amusé de la voir trembler de la sorte. C'était idiot, mais il avait tendance à provoquer cela lorsqu'il ne contenait pas totalement son Aura et voir une chose trembler de cette façon lui donnait la trique, quelque chose de violent. Heinart approchait alors, proche, suffisamment pour que simplement se pencher permettait de l'atteindre. Il lui donnait une chance de bien faire les choses et visiblement, elle avait retenu les règles. Curieusement, celle-ci faisait partie des plus dures à respecter d'ordinaire, c'était avilissant, demandait de prendre sûr soit afin d'obtenir un droit élémentaire en temps normal. Il était donc relativement satisfait de la voir obéir et frotter son visage contre sa jambe. Pire encore, elle attendait qu'il lui donnait la parole, chose que beaucoup avait du mal aussi, se disant que le geste déjà difficile et humiliant était déjà assez dure, donc attendre l'autorisation. Il fallait pas rêver... Celle-ci ne tenait pas longtemps ce type de propos, il patientait ainsi un court instant sans rien dire, voulant tester ses résolutions, mais visiblement, il ne la prendrait pas au piège si aisément. Bon, il savait exactement que dire pour justifier la violence, mais en vérité, il n'avait que faire d'avoir une raison, il cognait si cela le démangeait, voilà tout. Il prenait la parole, sa voix toujours aussi sinistre, ne quittant pas sa place face à elle en la dominant de toute part :

- Vas-y je t'écoute.

Il levait les yeux au ciel en l'entendant prendre la parole, voilà qu'elle lui demandait comment il allait, n'importe quoi, elle se croyait au café du coin ? Il écoutait pourtant jusqu'à la fin, hochant la tête avant de lui envoyer un revers de la main en pleine joue. C'était une gifle à sa façon, la petite finissait sur le côté sous le choc de l'impact. Le monstre prenait alors la parole de sa voix si sombre qu'elle pourrait faire fuir les spectres de leur cimetière :

- Plus concis, je ne suis pas ton ami et venant de toi la question de comment je vais me semble pour l'instant très déplacé. Bien... Je ne vais pas te corriger pour ta bêtise, mais nous allons faire de suite un petit test. Redresse toi !

Clairement, il avait levé la voix à la fin, voulant la faire bouger rapidement et se remettre sur les genoux. C'était quoi cette idée de rester allongé sur le sol après une baffe digne d'un boxeur catégorie poids lourd ? N'importe quoi, Heinart ne concevait même pas la possibilité de se demander si elle en avait la force ou non, elle devait le faire et c'était tout. Pire, il n'était pas patient, si elle ne le faisait pas immédiatement, il attraperait par les cheveux pour la redresser et lui flanquer une gifle de nouveau sur l'autre joue. Clairement, cela pouvait continuer longtemps si elle ne réagissait pas assez vite. Dans tous les cas, il n'avait pas que cela à faire, il arrêterait au bout de la quatrième dans le pire des cas et revenait à ce qu'il avait prévu. Il commençait à marcher, tournant autour de sa proie avant de se baisser dans son dos. Elle pouvait le sentir, proche, si près que s'il avait besoin de respirer, elle sentirait son souffle. Il se penchait en passant sur le côté afin que son visage se retrouve nez à nez avec celui de la petite et là elle l'entendait dire :

- Clarissa.

Il scrutait son regard, la moindre réaction à son nom était suffisant, un mouvement oculaire, n'importe quoi et il aurait ce qu'il s'était attendu. Les esclaves avaient beaux se répéter qu'ils n'étaient rien, que des choses, tenter d'oublier leur passé, leur identité, ils avaient toujours besoin d'un moment pour rester parfaitement impassible à leur ancien nom. Cependant, au bout d'un moment, certain ne réagissait plus du tout, considérant même plus cette personne comme leur ancienne vie, mais simplement quelqu'un d'autre. À terme, c'était ce qui se produisait sans leur cœur, leur esprit et même leur âme. Il n'était plus cette personne, mais uniquement l'esclave du nom quelconque que leur maître leur aura donné. Heinart savait parfaitement qu'il n'y avait presque aucune chance qu'elle disposait d'un aussi grand contrôle de soit. Il fermerait juste les yeux, en baissant un instant le visage avant de l'attraper par la gorge et la soulever comme un poids plume. Il l'emmenait dans la pièce derrière le salon, la chambre secondaire où se trouvait une niche et tant d'objet de torture de toute ère. Il plaçait l'esclave sur un chevalet en bois rustique, mais solide et attachait rapidement les cuisses de sorte qu'elle ne puisse en bouger. Relâchant le cou, il prenait une simple baguette en bambou longue d'un mètre et se plaçait face à elle en l'obligeant à se redresser bien droite. Il venait de mettre le bout de tige sous son menton pour la contraindre à se redresser et donnait la consigne :

- Il ne fallait pas réagir à ce prénom, tu n'es plus cette personne, mais je sais qu'il te faudra du temps pour l'accepter, ne t'en fais pas, je vais t'y aider. En attendant, je vais t'enseigner la position d'attente, fait bien attention et reproduis là autant que possible sur le chevalet.

Heinart retirait la baguette et commençait à décrire la position :

- Il s'agit de la position une où position d'attente. À genoux, les mains dans le dos, bien droite, la tête légèrement baissée et les cuisses très légèrement entre ouvertes. Allez.

Le Père donnait un petit instant pour respecter ses directives, mais si le faire était une chose en temps normal, s'en était une tout autre d'y parvenir en étant ainsi placé sur un chevalet. Se redresser revenait à prendre sûr soit la douleur et cela malgré le fait qu'être penché en avant était plus douloureux en vérité. Le mouvement était difficile, il fallait vaincre la peur d'avoir mal, placer les mains dans le dos sans attache n'avait rien d'évident. Logique, lorsqu'on était installé sur quelque chose d'inconfortable, on voulait naturellement mettre les mains pour soustraire du poids, mais là, il n'était pas question de le faire. Une fois qu'il avait l'impression que la position qu'elle pensait avoir était la bonne. Il corrigeait à l'aide de la baguette, frappant dans le dos pour qu'elle se mettait plus droite, la poitrine en précisant de la bomber davantage et il continuait ainsi jusqu'à ce que la position sa parfaite. Autant dire que d'ici là le chevalet risquait de déjà être légèrement mouillé, le corps réagissait naturellement, il veut lubrifier pour faciliter l'entrée et la pression sur l'intimité donnait cette impression. Maintenant que la position était parfaite, il prenait une tablette électronique qui était posé non loin sur la table basse au canapé. Là, une simple manipulation fit ouvrir un petit boîtier au plafond qui en fit tomber plusieurs fils munis de pinces. Heinart revenait et plaçait les pinces une par une tout en prenant soin de frapper de la baguette et s'interrompre à chaque fois qu'elle bougeait rien qu'un tout petit peu. Les tétons furent les premiers prisonniers de leurs dents en métal, heureusement pas assez pointu ou tranchant pour arracher le bout de chaire sensible. Cependant, la mâchoire était puissante et la douleur réelle. Il prenait ensuite la parole en tenant l'une des pinces qui pendouillait encore :

- Tire la langue.

Si elle hésitait, une claque sur le cul la remettrait sur le droit chemin, le petit mouvement occasionné risquait d'ailleurs de lui donner la sensation qu'on venait de lui entailler la vulve, heureusement, il ne s'agissait que d'une impression. Il plaçait ensuite la pince sur la langue et reprenait la tablette pour faire remonter les pinces accrochées. En somme, il faisait en sorte de bien les tendres, obligeant ainsi à maintenir parfaitement la position, bien droite, la poitrine bombée et il ne restait que les bras. Il sortait une sangle de sous le chevalet et attachait ensemble les bras dans le dos, formant un véritable équerre avec les coudes. La sangle étant accroché à sous le chevalet ne permettait donc pas à la favorite de pousser sur les bras pour se soulever et soulager la pression et tirer reviendrait à causer l'inverse en l'attirant contre le chevalet. C'était parfait, il se mettait face à elle pour admirer son œuvre avec un léger sourire mauvais sur le visage avant de demander :

- La position doit te sembler bien délicate à tenir, mais tu verras, après cela la tenir sur le sol te seras très facile. J'ai du travail, je vais donc te laisser là un petit moment, ne pense qu'à tenir la position, si je suis satisfait du résultat en revenant, je te montrerais le labo dans lequel tu pourras travailler. Après tout, je t'avais dit que tu pourrais poursuivre tes recherches... Bien, à plus tard.

Il aurait pu lui donner une heure, quelque chose qui lui permettrait d'avoir une idée du temps à tenir, mais non, il trouvait cela bien plus amusant ainsi. Il partait réellement et même une tentative de prendre la parole le ferait envoyer une violente claque au cul. Il disparaissait, quittant la pièce et s'en allant dans son bureau pour écouter le rapport de Blattella et de ses gardes. La petite allait patienter une heure complète ainsi, qu'importaient ses hurlements, le démon ne vérifiait même pas et reviendrait à terme pour admirer le résultat. Avait-elle réussi à demeurer avec toutes les pinces ou non ? Était-elle en pleure et en supplice total ? C'était amusant, son sourire prouvait qu'il rigolait plutôt bien avec cette petite nouvelle.

Heinart
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Elle ne savait pas vraiment comment se placer alors qu'elle venait clairement de sentir son réveil, Blattela n'avait pas menti ... On ne pouvait pas rater l'éveil du maître des lieux.  ER n plus de cette aura qui se faisait ressentir, il y avait des cloches qui se mettaient à sonner également, comme pour célébrer l'instant, ou prévenir chaque personne qu'il était éveiller à présent. Clarissa commence à peine a comprendre que son corp se met à trembler de manière irrépressible à cause de cette aura qui se fait ressentir et pour qu'une humaine tout à fait normal la ressente, c'est qu'elle devait être d'une puissance ... Phénoménale !

La jeune esclave vint se placer à genoux au milieux du salon, mais ne connaissant pas les posture à prendre, ignorant même qu'il y avait des posture spéciale, elle se contentait de rester à genoux jusqu'à son arrivé. Alors qu'il s'approchait d'elle comme pour lui donner l'occasion d'appliquer les règles, il avait du lire sur son visage que Clari' semblait vouloir parler. Mais c'était bien plus humiliant qu'elle ne l'avait imaginer de devoir venir frotter sa joue sur la jambe de se monstre pour demander l'autorisation de parler, puis une fois l'autorisation reçue, elle sentie sa bouche devenir pâteuse, perdant ses mots face à lui, son corps ne s'arrêtant toujours pas de tremblé par dessus le marché. La jeune favorite commence finalement à parler d'une voix hésitante, bafouillant sur quelques mots ... Elle venait vraiment de lui demander comment il allait ? Sérieusement, elle n'avait rien trouvé de mieux ? Elle-même trouvait cela assez pitoyable ... Visiblement, lui aussi était de cette avis car le revers qu'elle reçue la mise à terre violement sans qu'elle comprenne, ne réalisant la douleurs que plus tard, sa joue douloureuse l'avait à moitié sonné, restant sur le sol alors que les larmes commence à lui monter au yeux.

L'esclave reste là, au sol après la gifle mémorable qu'elle vient de recevoir, encaissant encore le choc quand la voix de son nouveau maître tonne dans ses oreilles lui ordonnant de se redresser en haussant la voix, ayant pour effet de la faire sursauter. Elle tente de se redresser sur ses bras bras tremblant, les larmes lui brouillant la vision tandis que son cœur bat la chamade ... Mais ce n'est pas assez rapide pour le monstre qui est devenue son maître et elle sent sa chevelure lui tiré d'un coup, la forçant à se redresser en couinant de douleur ... Un couinement qui fut rapidement interrompue par une autre gifle, qui la sonna de plus belle. Clarissa réussit malgré tout à rester sur ses genoux, uniquement pour que son maître cesse de la frapper ... Une fois remise à genoux, elle regarde les jambe de son maître lui tourner autour et la petite favorite ne peut retenir un frisson en sentant le monstre juste derrière elle, pouvant presque sentir son souffle sur sa nuque ... Si il en avait un, alors que sentait-elle si il n'avait pas de respiration ? Surement son imagination qui concevait le souffle chaud dans sa nuque, quand a savoir le pourquoi son esprit faisait cela ? Elle ne le savait pas.

Puis elle entendit son prénom, réagissant par réflexe, avant même que son esprit ne lui dise quelques chose contre cela, tournant le regard vers lui, puis la tête ... Enfin, la terreur peut clairement se lire dans ses yeux quand elle comprend qu'elle a fauté, mais le maître ferme les yeux, baissant la tête avec déception ? Avant de venir l'attraper par la gorge pour la soulever comme si elle ne pesait rien. L'esclave s'agite dans le vide alors qu'il change de pièce, entrant dans le musée des horreur qui pouvait aussi servir de chambre à l'occasion apparemment. Elle le regarde complétement paniqué avant de se retrouver installer sur un étrange instrument, n'ayant pas le temps de réaliser quoique ce soit que ses cuisse furent attacher dessus, la forçant à rester bien en place, ressentant fortement la pression qui agissait sur sa zone intime. Elle s'agite sur l'instrument complétement en panique, faisant redoubler la pression sur sa petite fleur jusqu'à la faire couiner doucement. Puis le maître revint avec une baguette de bambou, la calant dans le dos de l'esclave pour la faire se redresser, puis la poitrine pour la forcer à l'immobilité et enfin elle sentie la baguette presser sous son menton pour la forcé a se redresser d'avantage, malgré la pression accentué sur sa pauvre fleur, ne pouvant s'empêcher de lâcher un petit gémissement tandis que le monstre parler, lui disant qu'il savait très bien que tout cela prendrait du temps, mais qu'il allait l'aider ... Etrangement, cette formulation ne la rassurer pas du tout.

La petite Clarissa écoute ensuite la description de la posture à prendre, comprenant que c'était maintenant qu'elle devait la reproduire ... Elle finit par se demander qu'elle se qu'elle avait bien pue faire au destin pour finir ainsi, elle n'avait pas demander, ni accepté de devenir une esclave, favorite de surcroit ... Bien qu'elle doute que ce soit la pire des place en ses lieux. La jeune demoiselle vient prendre la posture que lui enseigner le maître comme elle pouvait, mais il avait visiblement toujours à redire dessus, déjà que que se redressait sur l'instrument de torture était ... Bah, une torture, mais ce n'était jamais assez pour lui qui venait frappé son dos sans cesse pour qu'elle se redresse encore plus ! Les larmes roule sur ses joues alors qu'elle ressent la douleur de tout son poids sur le chevalet. Elle baisse la tête, mais mettre les mains dans son dos fut très dure mentalement car elle avait cette furieuse envie de les utiliser pour se soustraire au mieux de cette torture.

Clari' ne se senti que plus honteuse et humilié une fois la position parfaite atteinte pour le monstre et qu'elle voyait et sentait qu'elle dégoulinait sur le chevalet, ne comprenant pas pourquoi ... Et quelle erreur avait elle faite de penser que c'était terminer car après tout cela, elle le vit prendre une tablette avant d'appuyer dessus, faisant descendre des chose du plafond. Ses yeux s'écarquille d'effroi en reconnaissant des pince en métal qui avait l'aire douloureuse, recommençant à s'agiter de terreur, essayant de se soustraire à la douleur qui allait arriver, gémissant de plus belle car le père des monstre venait corriger la posture a chaque fois qu'elle bougé un tout petit peu ... Une fois qu'elle demeure immobile, jugeant que c'était au finale moins douloureux de rester immobile dans la posture demander.

Elle le vit mettre les pince sur ses pauvre tétons de nouveau maltraité et la vive pression des dent de métal sur ses petits bout de chaire sensible lui arrache un crie de douleurs pour chacune des pince, les larmes roulant sur ses joues alors qu'il lui ordonne de tirer la langue, elle lève un regard craintive sur lui, essayant encore de s'habitué à la vive douleurs sur ses tétons, réalisant l'ordre donner, elle va pour ouvrir la bouche, mais trop tard au goût du maître et elle sent une claque sur ses fesses ainsi qu'une grande douleur sur sa zone intime pressé contre le chevalet, la faisant hurler de douleur. Autant dire qu'après cela, la langue fut rapidement tiré, la pince accroché dessus lui laisser une désagréable sensation, mais le pire fut quant il fit remonter le tout ... la forçant a rester parfaitement droite, poitrine bombé, ne pouvant que baisser légèrement la tête, forcé a gardé la langue tiré alors que les câble relié au pince métallique finir tendue. Quand le maître se mit à parler des bras, la pauvre esclave sentie son cœur battre la chamade, ne pouvant rien faire alors que ses bras se firent manipuler et attacher dans le dos en la faisant couiner de douleur, n'étant pas très sportive de base, autant dire que cette position était assez douloureuse pour elle. Clari' regarde son maître, choqué d'être ainsi attaché, choqué et surtout humilié ... Encore davantage quant il vient lui annoncé que là c'était peut être dure, mais que au moins, elle réussirait à reproduire la position facilement en temps normale ... C'était logique, bien que cruel ... Surtout quand il lui annonce qu'elle allait devoir rester ainsi jusqu'à son retour et qu'il la récompenserait a son retour si elle a tenue ... La nouvelle favorite est décontenancé qu'il s'en aille réellement, la laissant ainsi, les larmes se mettant à rouler sans s'arrêter sur ses joues, se mettant a se demander de nouveau, pourquoi elle devait subir tout cela ... Parce qu'il se vengeait de la race humaine ? Peut être, mais ... Elle se demandait si il ne l'avait pas choisie pour autre chose car ... Peut être que son métier de chercheuse était plus important qu'il n'y paraissait ...

Une heure plus tard, elle semblait dans un état second, tellement dans ses pensées, repesant à tous ce qu'elle avait perdue, sa famille, sa vie ... Mais qu'elle allait devoir ce faire à cette nouvelle vie, si l'on pouvait appelé cela ainsi ... Elle lève les yeux sur le monstre a son retour, faisant attention a ne pas le regarder dans les yeux ... Elle n'y arriverait pas, même si elle essayait, la peur l'en empêchait, elle avait belle et bien gardé la posture parfaitement, faisant montre d'une certaine volonté ... Mais vis à vis de quoi ? De la crainte qu'il lui inspirer ? Ou de la possibilité d'avoir un lieu de travaille et donc un lieux ou se réfugier ? Même elle n'en était pas sûr, mais son corps endolorie lui faisant mal partout, était engourdie dans les jambes et les bras ... Mais peut importe, elle avait réussie a garder la position, même si, attaché ainsi, elle n'avait guère eu le choix.
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
L'obéissance était plus ou moins là, même si on ne pouvait pas parler d'obéissance exemplaire et c'était même très loin de cela. La peur dictait ses actes, ses gestes et ses paroles. Évidemment, cela lui convenait, il agirait autrement si ce n'était là pas son but, il ne souhaitait pas être aimé, apprécié, cela lui était totalement secondaire et ne l'intéressait pas. Si elle finissait par l'aimer d'une manière ou d'une autre, grand bien lui fasse, lui ne changerait rien à son comportement et à ses manières d'agir.

Il avait écouté différent rapport, que cela soit sur certaine construction, les mouvements des malades sur le continent et même les réactions de la Jurisprudence suite à son attaque. En règle générale, il n'était pas inquiété, l'épais voile de nuage au-dessus de l'île rendait les yeux depuis le ciel fort inefficaces et assurait donc une certaine tranquillité. Il parcourait aussi des documents sur les personnes qu'il avait capturées, la femme qui servait de pondeuse, mais aussi surtout la jeune nouvelle. Clarissa Lacroix, deuxième et dernier-née de la famille. Sa grande sœur semblait être un petit prodige, mais d'après le document qu'il avait sous les yeux, question sociale, ce n'était pas fameux et certain pense qu'elle serait atteinte mentalement. Cependant, ce n'était pas en mal, cela faisait d'elle une véritable génie, il allait devoir la garder à l'œil, c'était en étant prudent qu'il avait survécu tant d'année. Il songeait à engager quelques mercenaires via des moyens détournées pour dissiper ses envies de retrouver sa sœur. Néanmoins, échouer reviendrait à annoncer qu'elle était encore en vie, l’appât du gain et l'idée de ne laisser cette fois aucune des sœurs lui échapper l'amusait. Si elle survivait à la rencontre avec ses sbires et qu'elle se mettait à le traquer, cela pourrait devenir amusant. Il mettait ses documents de côté et s'intéressait à nouveau à Clarissa. Chercheuse pour la Jurisprudence, fille modèle en soit, intelligente, appréciée, même si son franc-parler avait tendance à agacer ses collègues et surtout ses supérieurs. Ses connaissances grâce aux documents familiaux lui donnaient un avantage sur beaucoup de rivaux, sans côté son sérieux pour le travail ainsi que sa soif de découvrir plus de créature. Que découvrirait-elle sur lui ? Là était la question, le continent américain, enfin, ce qu'il en restait pullulait de créature de plus en plus étrange, il ne pouvait évidemment pas mieux rêver en l'état, que cela soit pour lui ou pour tout ce qui se trouvait au-delà de ses remparts. Certes, un petit nombre d'espèces inconnu vivait déjà à l'intérieur, mais aucune ne lui arrivait à la cheville. Il était persuadé qu'il ne savait pas encore tout sur lui-même et puis il avait tendance à évoluer avec le temps, gagner en puissance et capacité. Où cela s'arrêterait-il ? Là était la question.

Il regardait l'heure et se disait qu'il était temps de la rejoindre à nouveau. Il prenait le téléporteur et se rendait dans le salon avant d'emprunter la porte pour rejoindre la chambre secondaire. Là-bas, il fut agréablement surpris de découvrir une esclave encore parfaitement en place, pas une seule pince n'avait fini par lâcher, même si pour cela, elle aurait déjà dû forcer. Il ne pouvait nier que c'était un bon résultat, Heinart approchait alors de la suppliciée qui n'osait pas lever les yeux au-delà d'une certaine hauteur. Sage décision de sa part, il serait stupide de l'énerver maintenant, il était de bonnes humeurs et satisfait du résultat. Sa main vint caresser la croupe, si froide dans son toucher, l'autre se plaçait sur le ventre pour remonter vers la poitrine. Rien qu'effleurer les pinces risquaient de provoquer une sacrée décharge de douleur et ne parlons pas de les retirer. En l'état, vu combien de temps elle les avait portées, elles devaient certes faire mal, mais la douleur devrait avoir été plus ou moins acceptée et réduite. Le chevalet par contre, difficile de ne faire aucun mouvement, surtout lorsque le simple fait de respirer suffisait à changer la pression. De ce côté, la douleur devait être insupportable à la longue, mettant ainsi les nerfs à l'épreuve, mais passé un moment, les nerfs relâchaient et la rage partait pour être remplacé par un vague désespoir. Vu son regard, les larmes sur ses joues, elle semblait à moitié en trans, bien que son arrivée l'ait réveillé. Ses gestes devaient achever sa reconnexion. Le Prince de la nuit commençait par celle à la langue, la retirant et appréciant ensuite comment elle encaissait en reculant. Il ne la touchait plus du tout, l'esclave devait avoir une de ses crampes à la langue, la garder ainsi à l'extérieur n'était pas naturelle et forçait sur des muscles qui n'étaient pas très endurants. Il ne touchait guère aux bras, pour le moment, ils pouvaient rester ainsi, il s'intéressait à la poitrine et autant dire que ces derniers allaient faire extrêmement mal. Heinart les enlevait un par un, prenant soin de la laisser savourer la douleur de la première avant de tranquillement approcher de la seconde. Le moindre geste de recul de soldant évidemment par une claque sur la croupe. Bon sang, la voir se tortiller sur le chevalet était grisant. Une fois les deux retirés, il défaisait les sangles qui étaient reliées au chevalet, mais uniquement ce qui les liait ensembles, faisant ainsi en sorte que les bras restaient attachés dans le dos en équerre. Si elle avait ne serait-ce que légèrement dévié de la position exigée, il lui rappellerait avec une claque sur la croupe à nouveau. Certes, elle pouvait gigoter lorsque la douleur culminait, mais l'esclave devait toujours reprendre la position, d'ailleurs, il lui expliquait la chose en se plaçant face à elle :

- Une petite chose assez importante, si une position est ordonnée ou même si tu ne fais qu'attendre à genoux. Tu dois toujours reprendre la position initiale, qu'importe ce qui t'arrive ou ce qu'on t'inflige. Si je te cogne, je permets que tu tombes, mais pas que tu restes à terre sans que j'en donne l'ordre. C'est clair ?

Il lui posait la question, d'ordinaire, il ne le ferait pas, mais là, il souhaitait l'entendre l'appeler comme elle se devait de le faire. Un simple oui ne conviendrait pas sans le petit mot à la fin obligatoire. Tout était question de répétition, à force de le faire, cela devenait plus facile, c'était un fait, le problème était de survivre jusqu'à ce que le corps s'habitue ou que le cerveau fasse les connexions. Si elle oubliait, il lui enverrait une gifle du tonnerre, le souci étant que ses jambes étaient encore attachées et que le mouvement dû à l'impact risquait de faire très mal. Dans tous les cas, il finissait par la détacher du chevalet et de littéralement la pousser pour la faire chuter sur le côté. Elle faisait bien d'apprendre rapidement à tomber sans se faire mal, sinon ça allait être compliqué, même si les mains attachées dans le dos n'aidait sans aucun doute aucunement. Il allait dans le salon en ordonnant à la petite de suivre. Là encore, si elle se levait pour le rejoindre au lieu de progresser sur le sol en demeurant à genoux, il sévirait, sauf que cette fois, il frappait du poing dans l'estomac. Évidemment, pas assez fort pour la casser en deux réellement, mais elle risquait d'en avoir l'impression et de chercher de l'air un moment sans compter de peut-être vomir sur le sol. Il n'en avait cure, quelqu'un viendrait nettoyer. Le monstre n'expliquait même pas pourquoi il avait fait cela, c'était à elle de le comprendre et non à lui de lui expliquer la moindre erreur. Installé sur le canapé, il libérait sa verge de son pantalon et du doigt faisait signe à l'esclave de venir s'en occuper. D'ailleurs, elle faisait mieux de le comprendre rapidement et de ne pas trop hésiter. Sinon il l'aiderait en lui enfonçant de force au fond de la gorge et l'étouffer ainsi jusqu'à ce qu'elle soit à deux doigts de s'évanouir. Dans tous les cas, il aurait son dû, elle le sucerait bien gentiment et il lui parlait en même temps :

- Pourquoi tous ses tableaux sur ma personne ? Qu'il doit être égocentrique ou je ne sais quoi d'autres, tu as pu te dire en les voyants. Tu n'es pas la première esclave, la plupart le pensent sans comprendre et réaliser. J'ai une question pour toi, tâche d'y répondre sans t'arrêter et cela vaux pour les prochaines fois.

Il profitait un court instant du savoir faire de l'esclave, il était évident qu'elle n'avait aucune expérience et les viols subits n'aidait pas beaucoup. Blattella allait devoir l'aider à ce sujet :

- Combien de fois as-tu vu ton visage ? Grâce aux reflets de l'eau, un miroir, une photo, une vidéo ? Combien de fois c'est arrivé ?

Évidemment, il savait qu'elle ne saurait les dénombrer, c'était impossible pour un humain. Il laissait malgré cela répondre et enchaînait ensuite :

- Tu as vécu l'équivalent d'un battement de cil par rapport à moi et pourtant je n'ai vu mon visage qu'à travers les tableaux et la mémoire de mes victimes. Le problème étant qu'à travers la mémoire l'image est faussé, l'imagination entre en jeu, votre mémoire à souvent tendance à altérer la perception lorsqu'une forte émotion est à l’œuvre au même moment. Ses tableaux sont comme des photos, j'ai vécu ses moments, ils sont un fragment de mon histoire.

Avec cette information, étudier tous les tableaux devenaient quelque chose d'intéressant, ce n'était clairement pas les seules, il ne s'agissait là que d'une partie et pourtant certaine mise en scène était intense. Des scènes de guerre médiévale, la traitent des esclaves, la mort et la désolation. Certaines scènes étaient plus insolites, lui devant une simple assiette alléchante, l'observant songeur. Lui dans l'ombre alors que le soleil était si haut dans le ciel. Des visages souriants dans la lumière et la mort dans les ténèbres. Heinart finissait par avoir envie de passer à la vitesse supérieure :

- Arrête de me sucer, je pense qu'elle est suffisamment lubrifiée, voilà une partie de ta récompense, dos à moi et vient empaler dessus que je puisse profiter une fois de nouveau de ton joli cul.

L'esclave pouvait remercier Blattella de lui avoir soigné la déchirure, sinon ce moment aurait pris une tournure encore plus compliquée et connaissant la patience du Père, elle faisait mieux de ne pas trop hésiter. Allait-il devoir la motiver à coup de bâton électrique ou non.

Heinart
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Combien de temps son monstre de maître allait-il la laisser attaché ainsi ? Elle n'en savait rien et c'était cela le plus terrible, ne pas savoir combien de temps elle devrait tenir cette position des plus atroce et douloureuse sur l'instrument de torture. Chacun de ses mouvements, même les plus infimes, tel que respirer lui provoquer une douleur au niveau de sa petite fleur ... Plus le temps passé et sa colère, sa rage, toute ses émotions commencent à se muer en désespoir. Sa langue finit toute engourdit, elle n'a qu'une envie, se laisser tomber en avant, laisser son corps se relâcher, mais les pinces la maintiennent malgré tout en position, n'ayant pas le courage de tirer dessus pour les faire lâcher ses tétons et sa langue ... Quand enfin, il fait son retour dans la pièce, la jeune esclave semble s'être réfugier dans ses pensées, levant le regard vers lui, mais sans le remonter trop haut par crainte de se prendre une nouvelle gifle. Les caresses du monstre sur sa peau finissent de la sortir de sa trans, de réaliser pleinement le retour de son maître qui semble satisfait, la jeune demoiselle ne sait absolument pas comment elle a pue tenir. En sentant les mains froides passer sur sa peau, la fit frissonner doucement, instinctivement elle essaie de se soustraire à lui, cette homme qui la terrifié autant, mais à chaque fois qu'elle essaie, c'est un rappelle à l'ordre sur sa croupe qui la fait gémir de douleur. Sans compter la crispation de ses muscles alors qu'il passe sur ses tétons très douloureux à cause des pinces. Elle ne peut s'empêcher toute de fois, de lâcher un soupir de soulagement alors qu'il vient retirer tout d'abord la pince sur sa langue, ce qui la fait grimacer de douleur, ayant une crampe a force de la garder tirer aussi longtemps. Puis alors que la jeune esclave baisse le regard sur ses tétons, voyant la main de son maître s'en approcher, un gémissement de douleur s'échappe de sa bouche, essayant de se préparer à la douleur, se doutant que cela aller être douloureux ... Mais malheureusement pas à quelle point. Clari' lâche malgré elle un crie de stupeur, sentant une intense douleur quand une des pince est retirer, la faisant s'agiter, sachant que plus elle s'agite, plus elle ressent de douleurs contre son intimité. C'était un véritable supplice ! Les larmes roule sur ses joues, de nouveau alors qu'elle le voit s'approcher du deuxième téton ... Non, elle ne veut pas avoir mal, elle remue, craintive et terrorisé à cette idée, mais la claque sur sa croupe la calme instantanément.  

Une fois la douleur fulgurante du retrait de la dernière pince, qui venait de lui arracher un autre crie de douleurs, Clarissa sent que son maître enlève ce qui la relie a l'instrument de torture, se mettant à remuer à cause de la douleurs et cela lui value une nouvelle claque sur la croupe, lui arrachant un nouveau crie de douleurs alors qu'il vient lui expliquer que si elle en a reçue l'ordre, peu importe ce qu'il lui arrive, elle doit impérativement garder sa posture ... Son tortionnaire semblait attendre une réponse et, hochant doucement la tête, plaquant une partie de sa chevelure châtain sur son visage perlé de sueur.

- Oui, c'est ... clair

Une violente gifle vient alors la surprendre, la faisant partir sur le côté, étant toujours attaché au chevalet, son corps se contorsionne avant de se redresser tout seul à cause du coup, mais la douleurs qui lui travers le corps est terrible, ayant l'impression que sa petite fleur finit complétement entaillé, mais il n'en ait rien visiblement, bien que la douleurs soit bien présente. La pauvre esclave semble un peu sonnait après la gifle, transie de douleurs, elle comprend tout de même qu'il n'est pas satisfait et attend plus, il attend LE mot ...

- Oui, ... Maître ...

Ses larmes ruisselant sur ses joues finissent par tomber sur sa poitrine, elle observe ses tétons meurtrie se demandant une nouvelle fois, pourquoi ... Pourquoi tout cela lui arrivait à elle ? Bien qu'au fond, elle se doutait. La jeune femme avait visiblement très bon goût et de plus son métier de chercheuse lui serait utile. Cela faisait donc plusieurs raison de l'avoir choisie en Favorite. Puis enfin, la jeune femme sent ses cuisses être détaché du chevalet avant de se sentir chuter sur le côté, cherchant à se réceptionner avec ses mains, c'est en s'écrasant face la première qu'elle comprend, que son sadique de maître lui avait laisser les bras attacher dans le dos ... Ce n'est pas bon, il ne faut pas rester sur le sol, elle doit trouver la force de se relever, prendre la bonne posture ou bien, il allait encore la frapper ... D'où elle tire cette force de se redresser sur ses genoux tremblant, elle l'ignore, de la peur peut être ? Très probable même. Clari finit par se redresser sur ses genoux, prenant la bonne position. Ses bras lui faisaient mal, attaché dans cette position, mais elle ne pouvait rien y faire une fois de plus ... Hormis subir, encore ...

Tandis que l'Ombre sans reflet retourne au salon, lui faisant signe de le suivre. L'esclave allait se redressait sur ses jambes. Non ! elle ne devait pas se relever, c'était une erreur ! ...  Trop tard, elle était déjà à moitié redresser quand le poing de son Maître percute avec violence son estomac, la pliant en deux, la faisant retomber immédiatement sur ses genoux, choqué de ce qui venait d'arriver. Elle tente de reprendre sa respiration, toussant fortement avant de se pencher un peu plus sur le sol pour vomir une partie de son repas. En pleur, la jeune fille relève le regard vers lui, mais il s'était déjà retourner vers le salon sans plus d'explication ... Cela lui était bien inutile, elle avait parfaitement compris le message, son erreur, elle n'aurait pas du se relever ... Les bras toujours attaché dans le dos, elle ne pouvait se mettre à quatre patte et du le suivre lentement, restant sur ses genoux, la tête baisser de honte. Oui, tout cela était terriblement humiliant. Par la suite, son maître vient libérer sa lance de chair de son pantalon avant de lui indiquer de venir la sucer. Clari' vient ravaler lentement sa salive en s'approchant de l'engin de son maître. Ayant trop peur de la violence dont il était encore capable, sa bouche s'ouvre pour accueillir la verge entre ses lèvres sans trop d'hésitation, mais d'elle-même, il lui était impossible de faire des gorges profondes, non, elle n'y arrivait pas toute seule, sachant que son maître pouvait à tout moment lui attraper la tête et la forcer jusqu'à l'étouffement.

Elle essayait de faire cela convenablement, mais son manque d'expérience, de savoir faire était flagrant. Son Maître ne semblait toute fois pas y prêter attention, se mettant à parler des tableaux, des innombrable portrait de lui, expliquant pourquoi ils était là, en lui posant une question ... Combien de fois avait-elle vue son reflet ? ... Mais c'était quoi cette question, comment voulait-il qu'elle le sache ?! Puis elle comprend, les tableaux sont sa galerie de photo, lui qui était sans reflet ... Elle comprenait, mais à la fois, elle avait du mal ... Pourquoi porter une tel attention a quelques chose dont-il était dépourvue et qui n'était pas si important ... Pour elle. Puis elle se pose une autres question, comment lui répondre avec la verge dans la bouche ? Sachant qu'il venait de lui ordonner de répondre en continuant ... L'esclave, qui faisait un lent mouvement de va et vient avec sa bouche attendit que ses lèvres soit au niveau du gland de la verge de son maître, pour être de nouveau capable de parler sans s'arrêter, reprenant le mouvement juste après sa petite phrase.

- Je ne saurais le dire, Maître.

Devait-elle être fière d'avoir pue répondre sans s'arrêter, de ne pas avoir oublier LE mot à la fin de sa phrase ? Non, tout cela était tellement dégradant qu'elle ne pouvait pas en être fière ... Elle n'arrivait clairement pas a ce considérer comme une esclave, une chose même plus humaine ... Elle avait du mal à réaliser que désormais, c'était sa vie et qu'elle n'avait aucune chance de retrouver celle d'avant. Elle ne peut s'empêcher de lever les yeux vers lui quand il parle de voir son visage à travers les pensées de ses victimes. Là, elle se pose deux questions, en était-il vraiment capable ? Et ... Comment, le percevait-elle réellement ? Comme un monstre aimant faire souffrir ce qui est différent de lui ... Il avait probablement raison, l'imagination entrait en jeu. Mais tous cela piquait malgré tout son insatiable curiosité, il lui faudrait allait observait les tableau à un moment, c'était obligatoire pour l'étudier, peut-être qu'elle pourrait y déceler une faiblesse à exploité ? ... Elle était réellement entrain de pensées à tout cela alors qu'elle continuer de le sucer, les yeux lever vers lui, mais en prenant garde a ne pas le regarder dans les yeux ... Craignant trop une punition. Puis enfin, elle reçoit l'ordre salvateur d'arrêter de sucer.

Clarissa se disait que peut être c'était terminer et ... Son cœur rate un battement quand il lui ordonne de se mettre dos à lui pour s'empaler sur la lance. Un grand frisson parcours son corps, un frisson de terreur alors que malgré la peur qui lui tord l'estomac, la honte et la gène qui se lise clairement sur son visage. La demoiselle se redresse doucement, baissant la tête avant de se tourner, dos à se monstre dont elle était la favorite. Son corps tremble légèrement alors qu'elle recule, arrivant entre les cuisses de Heinart, elle le sent frotter le bas de son dos, cette verge qui l'avait déjà fait tant souffrir. Terrifié par la douleur à venir, la jeune fille se met sur la pointe des pieds, se tortillant un peu pour finalement se figer quand elle sent le gland contre sa petite entrée, étant sur la pointe des pieds, elle ne pourrait garder cette position inconfortable très longtemps, sachant qu'elle allait devoir se laisser tomber dessus, n'étant pas assez grand pour accompagner le geste ... Ce serait surement très douloureux, mais n'ayant pas le choix car le monstre l'avait ordonner, lui disant que c'était une partie de sa récompense ... ça ? Une récompense ? Elle se disait que c'était surtout un foutage de gueule complet de la part du sadique. Sentant ses jambes à bout de force, ses bras étant entravé, elle ne peut s'en servir pour se retenir. Elle baisse la tête avant de se laisser glisser, lâchant un crie de douleur alors que la verge s'enfonce en elle, dans son fondement jusqu'à la garde. Clarissa se retrouvant assise sur son maître, les pieds ne touchant plus le sol alors que les larmes se remettent à rouler sur ses joues, de nouveau. La jeune esclave avait tout de même une pensée pour Blattela qui, heureusement lui avait soigné l'anus. Elle se retrouvait avec la lance planté en elle jusqu'à la garde, ses muscle s'étant contracté sous la douleur et avec sa taille par rapport à celle de son Maître, il lui était impossible de se retirer de lui toute seule, étant désormais complétement à sa merci, a son bon vouloir ... C'était tellement dégradent, baissant la tête de honte alors que ses larmes s'écraser sur ses jambes.
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Dégradant ? Douloureux ? Honteux ? Pitoyable ? Pathétique ?

Tant de terme que la petite devait employer dans son esprit lorsqu'elle suivait les directives du monstre qui la maintenait emprisonnée, il y avait de quoi, elle avait toujours été plus ou moins libre et se pensait sans le savoir au-dessus de la masse. Il n'en était en vérité rien, elle ne vivait que dans sa bulle confortable et voulait étudier celle des monstres sans se dire que cela pouvait être extrêmement dangereux. En effet, sous couvert d'une protection armée, pensant que sa précieuse Jurisprudence pourrait la protéger de tout, elle avait eu le courage ou plutôt la bêtise de se penser en sécurité même ici en Amérique. Grossière erreur qu'elle payait très cher, mais lui, cela l'arrangeait grandement. Il pouvait ainsi profiter de ses compétences en matière de monstre, de son sang, de ses cuisses et même tout ce qu'elle possédait. Finalement, que cela soit intellectuel ou physique, elle n'avait plus rien et il avait tout. Son droit allait au-delà de ce qu'elle pensait posséder, n'y ayant jamais pensé. Il avait tant à lui enseigner et tellement envie de la faire hurler. Chaque pince retirée fut délicieuse de ce côté-là, ses larmes légèrement salées la rendaient aussi pathétique qu'excitante. En somme, il avait envie de la fourrer tout en la torturant et une chose était certaine, il le ferait. Cependant, le Père avait tendance à jouer avec sa nourriture et elle était à présent sa favorite, il allait s'assurer qu'elle le comprenne, car les rêveuses ce n'était amusant que quelques jours.

L'observer en train d'approcher en rampant, grisant, la tête qu'elle avait faite suite à son coup de poing dans l'estomac, celle-là, elle ne l'avait pas vu venir. Il en souriait encore, l'ordre suivant fut exécuté un peu plus vite qu'il ne l'aurait cru, d'ailleurs, elle tenait plutôt bien la cadence. Mine de rien, il savait ce qu'il faisait, s'il frappait beaucoup, avec sa force, il pourrait les tuer en un rien de temps. Pourtant, elles survivaient en général un petit moment, presque... Celle-ci, il voulait la préserver, en tout cas essayer, elle n'était pas ordinaire après tout, donc il frappait en connaissance de cause et faisait en sorte de ne pas la casser complètement. Néanmoins, la volonté de se relever et de bouger n'appartenait qu'à l'esclave, il ne tenait qu'à elle de le faire, il ne pouvait que la motiver à sa façon et visiblement sa force lui permettait de le faire. Magnifique, du coup l'observer en train de le sucer en pleurant était sublimé par sa volonté. Bon... Elle était de loin pas une experte, mais bon, elle était verge putain, même lui savait que ce n'était pas elle qui allait lui faire une gorge profonde sans qu'on lui apprenne comment faire. Puis, il n'avait pas forcément envie de se faire vomir dessus parce qu'elle avait tenté sans savoir comment faire. La suite s'annonçait amusante, il lui ordonnait de cesser après avoir obtenu des réponses et de s'empaler sur lui. Le désespoir dans son regard, il en devenait encore plus raide et il dut se retenir de la pénétrer de force alors qu'elle tentait de se résigner juste au-dessus de sa queue. Son joli petit cul, il s'en pourléchait les lèvres d'envies et repensait au même moment aux réponses données.

Évidemment qu'elle n'en savait rien, qu'elle ne saurait dire combien de fois, elle avait pu voir son propre reflet. Si elle parvenait réaliser que cela pouvait compter, il doutait qu'elle puisse comprendre l'importance de la chose. Après tout, elle en avait fait les frais, on ne réalisait l'importance de la chose que lorsqu'on le perdait. Lui, il n'avait jamais eu, il ne devrait donc le vouloir, pourtant il le voulait, car tout le monde y avait droit. Finalement, c'était cela, il était jaloux, jaloux de tous les cadeaux que recevaient les autres espèces, trouvant cela parfaitement naturel et normal sans même réaliser que lui n'y avait pas le droit. Qui avait besoin de demander l'autorisation d'entrer dans une demeure ? Personne ! Lui le devait, comme s'il n'était qu'une aberration, une erreur dans ce monde et que pour cela, il avait besoin de quémander et de tromper pour parvenir à entrer.

Repenser à tout cela l'avait un peu mis en colère et au même moment la petite s'empalait sur lui. Sa verge disparaissait dans l'anus de la petite jusqu'à la garde, mais une fois arrivé là, elle ne parvenait plus à bouger d'un pouce. Un nouveau cri de douleur, elle souffrait, elle pleurait, son corps tremblait sous la violence de ce qu'elle venait de s'infliger et il ne réalisait que tardivement qu'elle était trop minuscule pour toucher le sol dans cette position. Il en ricanait alors que ses mains vinrent saisir les cuisses, les écarter complètement et les ramener contre sa poitrine. Plié en deux, en équilibre grâce à l'appui du maître sur sa virilité, elle pouvait se sentir soulever lentement jusqu'au gland avant qu'il ne la descende avec violence à nouveau dessus. S'enfonçant en elle d'un trait alors qu'il la laissait littéralement retomber sur lui. Là, il la laissait ainsi quelques instants, lui donnant le temps d'encaisser le choc avant d'avoir une idée. Il plaçait les pieds de la petite de sorte qu'elle puisse prendre appuie sur ses genoux avec et ainsi en théorie pouvoir monter et descendre sur lui d'elle-même :

- Esclave, il va falloir y mettre un peu de volonté, montre-moi que tu n'es pas juste une gamine pleurnicheuse, mais si cela peut t'aider à le faire... Je t'ordonne de te baiser le fion aussi fort que possible.

Il lui avait donné l'ordre de sa voix sinistre, si pour le moment l'effet ne sera pas encore pleinement au rendez-vous, un jour, il le serait. Elle allait à terme comprendre qu'un ordre était absolue et ensuite réaliser que toute parole donnée par le maître faisait office d'ordre. Il se fichait qu'elle avait mal, elle allait au bout du compte finir par aimer cela et se n'était pas une théorie, mais un fait. Le corps n'était pas mal fait, il s'adaptait à tout avec le temps et encore plus lorsqu'elle se l'infligeait d'elle-même. Une chose était certaine, c'était qu'il allait la motiver à obéir, le bâton électrique trouverait le bas ventre pour l'aider et autant que nécessaire. L'attrapant par les cheveux pour l'empêcher de tomber lorsqu'il envoyait ses décharges dans son si petit corps. D'ailleurs, l'électricité avait le désavantage de se répandre dans le corps, il fut lui-même légèrement touché, mais heureusement que léger. Les picotements occasionnés étaient plus agréables que douloureux. Il lui donnerait jusqu'à obtenir ce qu'il voulait et si elle n'y parvenait pas malgré cela ou qu'elle finissait par ne plus y arriver. En effet, il allait lui exiger de le faire jusqu'à ce qu'il finisse par se répandre en elle, autant dire que cela prendrait un sacré moment. Elle n'y parviendrait jamais, aucune chance, pourtant il continuerait de la punir jusqu'à ce qu'elle en tombe d'épuisement malgré sa prise dans ses cheveux. Là, il ramasserait cette dernière sur le sol pour coller face contre le canapé et lui pénétrer l'arrière-train sans ménagement. Heinart allait la violer à nouveau, c'était censé être un cadeau et cela l'était toujours encore à ses yeux, après tout, il lui avait donné une chance de le faire d'elle-même et donc de moins souffrir. Il lui claquait le cul tout en abusant de son trou avec force et riait ses hurlements. Toutefois, alors qu'il se sentait venir, il s'arrêtait brutalement et ressortait pour la retourner et placer sa tête dans le vide tandis qu'elle était sur le dos. La verge devant son visage était un message clair, mais cela allait bien plus loin. Déjà, elle était pleine de sang et d'autre matière suite à son passage brutal, mais aussi pour ce qu'il lui disait ensuite :

- Prend là jusqu'au fond de ta gorge esclave.

Il savait qu'elle n'y arrivait pas, mais il avait quelque chose pour la motiver malgré le dégoût et la peur. Il plaçait le bâton au niveau de la perle, elle pouvait le sentir contre, il n'avait qu'à appuyer et la décharge partirait. Maintenant, il saurait jusqu'où allait sa volonté et si malgré la décharge, elle ne faisait rien... Il lui violerait la bouche sans pitié d'aucune sorte, quitte à l'étrangler en le faisait avant de juter dans sa gorge. Il achevait alors l'esclave de plusieurs décharges en guise de punition supplémentaire avant de la laisser ainsi à convulser et à agoniser. Blattella arriverait rapidement après cela, même si elle ne risquait pas d'en être consciente et se réveillerait cette fois dans un lit d’hôpital. Sinon, s'il n'avait pas besoin d'en arriver là et qu'elle parvenait à faire une gorge profonde, quitte à vomir. Il serait satisfait et abuserait de sa gorge de lui-même après une première réussite et la laisserait reprendre ses esprits une fois vidé en elle.

Heinart
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Pas de fin, ce cauchemar n'aurait-il pas de fin ? La jeune femme avait de sérieux doute sur cela ... Car malheureusement pour elle, ce n'était de loin pas un rêve, ni un cauchemar d'ailleurs. Mais bel et bien la réalité et alors même qu'elle avait trouvé la volonté de se relever pour le suivre. Trouvant aussi le courage de s'empaler sur la verge de celui qui est devenue son maître. Ne pouvant rien faire d'autre qu'obéir au ordre de cet horrible monstre car il lui avait bien montré qu'elle n'avait aucune autre possibilité, aucune chance de fuite. Que devait-elle faire ? Que pouvait-elle faire ? ... La jeune favorite ne saurait pas répondre à cette interrogation, n'ayant pas la force de se libéré, ne pouvant compter sur de l'aide venant de la Jurisprudence ... Elle ne pouvait faire qu'obéir, elle est trop faible ... Mais ce monstre pouvait-il seulement être tuer ? Sa famille avait tout essayer sans succès, mais d'après ses souvenir, la fin de l'histoire était floue et visiblement, lui s'en souvenait ... Toute les pensées de la jeune demoiselle furent stoppé net lorsqu'elle sentie la verge s'enfoncé en elle, lâchant un crie de douleurs alors que la lance de chair entrée durement en elle, une souffrance qu'elle venait elle-même de s'infliger, sous la contrainte, certes mais elle venait de le faire ...

Alors que son Maître semblait se délecter de sa souffrance, elle ne pouvait même plus bouger et le sentait en elle, dur comme de l'acier. Il finit par s'en rendre compte et avec une terreur naissant dans sa poitrine, la jeune femme ne put que regarder le monstre la prendre les cuisses pour la soulever. Elle tâche de se préparer à la douleur de ce qui allait arriver, car elle pouvait très facilement le comprendre et ce fut le cas, seulement la douleurs et terrible quand il la lâche de nouveau sur la lance de chair, la laissant s'empaler à nouveau, hurlant de douleur avant de sangloter, les larmes se mettant à rouler sur ses joues. Mais ses tourments sont loin d'être terminer car la pauvre favorite se retrouve avec les pieds posé sur les genoux de son tortionnaire pour qu'elle fasse elle-même le travail. Les jambes tremblant légèrement en tenant en équilibre tandis qu'elle entend l'ordre tombé. Pourquoi ? Par tout les anges ... Qu'avait-elle donc fait pour mériter de finir ainsi, mais le pire, était sans doute que pour lui, tout cela était une récompense ... Lâchant un sanglot, Clari' qui a trop peur du père des monstre pour désobéir, ou simplement lui tenir tête. Elle lâche un nouveau crie douleur en sentant la décharge du bâton la traverser et vient commencer un lent mouvement de va et viens sur le glaive de son maître, ses jambes semblait si frêle et tremblotante par rapport à Lui, si grand, puissant que pensait qu'elle ne tiendrait pas était légitime ... Elle essaie de contenter cette chose comme elle peut, sachant son regard froid posée sur elle, pouvant presque le sentir percée jusqu'à son âme, puis une pensée lui vient ... Oui, la demoiselle est tellement curieuse que, même dans une situation comme celle-ci, cela peut arriver ... Elle se demande si lui, il en a une. Une âme est sensé être propre à chacun et si beaucoup auparavant se disaient que c'était du vent, depuis l'arrivée des Anges et la découverte du monde surnaturel, la question fut de nouveau mise en avant. Mais est ce que, une créature comme lui, pouvait en avoir une ?

Alors que Clarissa sent l'énorme main lui saisir une poignée de cheveux avant de subir une autre décharge de ce terrible bâton pour l'inciter à aller plus rapidement, la prise de cheveux étant pour l'empêcher de tomber. Pourquoi devait-elle souffrir ? Elle accélère le rythme comme elle le peut, tâchant de tenir sur ses pieds en équilibre sur le genoux du monstre ... La demoiselle prend son courage à deux mains, priant de toute ses force que cela serait bientôt terminé ... Oui, l'espoir pouvait permettre bien des chose et la jeune chercheuse en avait encore, l'étincelle d'espoir couvait toujours au fond de son être. Pour le moment, elle devait subir ... et tenir. Elle parvient à avoir un certain rythme durant un moment, mais visiblement ce n'est pas assez et alors que ses force commence à lui manquer, la pièce résonne d'un nouveau crie de douleur à cause du terrible bâton. Elle fait se qu'elle peut, mais à bout de force comme elle est, c'était perdue d'avance et d'autre décharge de l'engin de torture fusent ... Peut être que le monstre aimait la musique que formé les crie de la jeune esclave car il venait insisté jusqu'à ce que la pauvre s'effondre d'épuisement sur le sol ... Mais était ce terminer ? Alors qu'elle gisait là, à bout de force. Bien sûr que non car son maître eu tôt fait de la ramasser pour la caller face contre le canapé, sa petite étoile désormais bien dilaté, du sang s'en échappant dans un léger filé, perlant sur son intimité, offerte entièrement à lui. La nouvelle favorite n'eut pas le temps de réaliser que c'était fait, sentant le sexe de se monstre revenir durement en elle, la faisant crié et gémir, pleurant dans le canapée alors que son maître venait lui déchirer son petit troue durant un moment qui lui parut une douloureuse éternité. La chercheuse essaie de bouger, s'agitant sous la douleurs, les bras toujours bloquer dans son dos, mais cela semble vain et elle ne peut se soustraire a son emprise ...

Puis se fut le pire, quand le glaive, ou plutôt l'espadon de Heinart sortie de sa petite entrée, venant la manipulé pour la lui mettre devant son visage, la voyant dégoulinante de sang et d'autre chose assez dégoutante qui devait surement provenir d'elle et de lui, mais un peut plus d'elle ... Quand il vint lui ordonner de la prendre dans sa bouche et jusqu'à fond de sa gorge, la jeune esclave se sentie défaillir et elle lève un regard d'effroi sur lui avant de se rendre compte qu'elle vient de faire une erreur, baissant instantanément les yeux qui s'embue de larmes à nouveaux ... Non, elle ne voulait pas le faire et obéir était déjà si douloureux, son anus la faisait a nouveau souffrir et la trace de sang sur la verge indiquer qu'il lui avait déchirer de nouveau. Ses yeux s'agrandissent de terreur quand elle voit le bâton être posée sur sa petite perle, la faisant s'effondré en larme, ses nerf, sa volonté commençait  à s'effriter ... Là, elle fit ce qu'elle ne voulait pas, l'esclave vient mettre la lance de chair dans sa bouche pour commencer à la sucer, essayant de l'enfoncer au plus profond, mais ... à chaque fois qu'elle se sent étouffer, son instinct prend les commande et se retire un peut pour reprendre de l'air ... Sans compter sur son manque d'expérience pour lui procurer du plaisir, mais en même temps, ce n'était pas le but premier de la demoiselle qui faisait de cela uniquement pour ne pas souffrir d'avantage et les deux point de métal presser sur sa perle était une bonne motivation. Mais elle n'y arrivait pas ... Se fut ensuite une douleurs intense qui lui traverse tout le corps alors que la décharge du bâton lui envoie une autre vague de souffrance directement par la perle, la faisant sangloter. Mais avant que son maître ne fasse quelque chose, sentant la main de celui-ci se poser sur le crâne la jeune demoiselle eu un afflue de force de volonté. Si son maître la regard, il peut alors voir dans ses yeux violet une détermination alors qu'elle retient sa respiration et avance sa tête vers lui, enfonçant la verge de ce fait, bien plus loin dans sa gorge.

Elle ne pense à rien, juste à avoir cette volonté de faire, peut importe comment. Cela fonctionne, mais le contrecoup et tout aussi dur à encaisser, n'ayant aucune technique, la demoiselle atteint bien le fonde sa gorge, réussissant à accueillir toute la longueur du sexe de son monstre de maître durant une courte seconde avant de s'écarter rapidement ... Le haut de cœur étant terrible, ayant à peine de temps de se penché sur le côté pour vomir, recrachant tous ce qui était resté dans son estomac et ce qu'il y avait sur la verge, mélanger à de la bile, laissant une mare immonde à ses genoux ... Mais non, ce n'était pas terminer, après tout, il n'avait toujours pas jouie et visiblement cela lui tenait à cœur ... Si tenté qu'il en est un, car la jeune Clarissa en doutait fortement alors Qu'il venait de lui saisir les cheveux pour lui prendre les lèvres de nouveau, n'ayant d'autre choix que de respirer au rythme des va et vient rapide du montre. Elle ferme les yeux, laissant ses larmes rouler, laissant un goût salé sur la verge ... Puis après un long moment à subir, elle le sent enfin, se lâcher en elle et malgré son envie de vomir et son profond dégout pour son tortionnaire ... Une partie d'elle ne put s'empêcher de voir cette chaude semence coulant dans son gosier comme une délivrance, c'était enfin terminer ... Son maître après avoir tout lâcher dans sa gorge, l'avait relâcher pour qu'elle puisse reprendre sa respiration ... Choquer de ce qu'elle venait de subir, ressentant une terreur pour Lui, elle n'eut même pas le courage de lever un regard de défie contre lui, non ... Elle baissait piteusement sa tête larmoyante, comme une personne vaincue en combat ... Dans ce cas là, un combat impossible à gagner, pas contre lui. Ses souvenir lui revienne et les mots de son "Maître" également ... "reprend toujours pas position". Alors, malgré qu'elle soit à bout de force, ayant juste envie de se coucher sur le sol pour pleurer. Non, elle reprend docilement la position que son maître lui avait douloureusement appris, voulant éviter sa colère et ... qu'il ne la voit briser. Elle avait mal partout, mais si elle voulait survivre, elle avait comprit que la douleurs serait toujours présente malheureusement ... Elle garde sa posture d'attente, sur ses genoux tremblant, son souffle lourde et saccadé, elle est a bout, mais tiens bon tout de même, sans vraiment savoir d'où lui vient cette volonté. Elle attend le prochain ordre de son tortionnaire, l'attend et le redoute à la fois, craignant qu'il la maltraite à nouveau, lui faisant qui sait qu'elle autre torture ... Mais malgré tout cela, elle semblait nourrir l'espoir qu'il lui montre enfin ce laboratoire qu'il avait promit ...
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Il la prenait de force, mais dans le fond, il ne faisait que prendre ce qui lui appartenait de toute façon, autant qu'elle comprenne tout de suite ce qui l'attendait pour la suite et se fasse une raison. Il saurait ainsi si elle avait la force de survivre ou au contraire, aucune chance de tenir plus de quelques jours voir semaine dans le meilleur des cas. C'était bête, mais ce genre de chose se découvrait rapidement, cela se lisait dans le caractère, la volonté et la capacité de récupération. Sur plusieurs de ses domaines, la petite avait du répondant, ses facultés de régénération, certes loin d'un vampire, mais tout de même au-dessus de la norme humaine. Le caractère, elle savait être docile sans perdre totalement la face, essayait de résister sans s'infliger l'insupportable. Dans le fond, elle avait autant la force de lui tenir tête que la faculté à se refréner afin d'éviter de subir de trop. Puis, pour finir, la volonté, elle se rebiffait plusieurs fois, mais à chaque fois, un coup de pousse et voilà qu'elle se dépassait. Il avait pu en être témoin sur le Chevalet, il en fut à nouveau témoin alors qu'il démolissait son cul dans les règles de l'art. En somme, elle avait les qualités pour tenir, restait à découvrir combien de temps elle y parviendrait.

Le bâton comme source de motivation, il parvenait à lui faire faire un certain nombre de choses, à s'occuper de lui en le chevauchant et s'infligeant des pénétrations à un rythme conséquent. Cependant, il parvint aussi à la pousser à s'occuper de lui à l'aide de sa langue et autant dire qu'il fit passer cette dernière par un certain nombre de petits défis. Certes, il s'agissait à ses yeux d'une récompense, car il lui donnait la chance de prouver sa valeur et savait en avance qu'elle serait son ultime récompense. Pour le moment, il ne se souciait guère de son plaisir et la raison à cela était évidente. Il en avait simplement rien à foutre, il avait appris qu'avec le temps, elles essayaient toutes de trouver un moyen d'en obtenir, c'était une question de survie, sinon elle succombait à la folie. Son petit doigt lui indiquait que Clarissa faisait partie de celle qui éviterait de tomber dans le tumulte de la démence.

Sa verge était propre, il le voyait alors qu'elle recrachait ce qu'il y avait dans son estomac, ancien ou nouveau, mais elle était parvenue à étouffer ses réflexes sans avoir la manière et à gober son membre. Il s'en amusait, la petite devait y voir une sorte de victoire, un doigt d'honneur à son destin si cruel et elle n'avait pas tort. Après tout, elle venait d'esquiver une sacrée violence gratuite de sa part. Il décidait de se finir lui-même, la prenant par les cheveux pour s'offrir sa bouche jusqu'à libération de son foutre et autant dire que cela venait en abondance. Elle avait une fois commis un impair en levant les yeux vers lui, il n'avait cela dit pas relevé, en effet, c'était possible, là, il était simplement bien. Vidé et calme, il ne revenait guère sur certaines petites erreurs et s'intéressait à son comportement, plus précisément la position et l'attitude adoptés. Aucun regard de défis, de colère, elle gardait la tête baissée, mais les battements de son cœur et l'odeur qu'elle dégageait avait un petit quelque chose qui lui rappelait un soulagement. Il comprenait le concept derrière ce sentiment, il venait de juter, un jour, elle apprendrait que cela ne signifiait pas forcément la fin. Cependant, pour cette fois, elle avait raison de le croire et il n'avait même pas besoin de la cogner à nouveau qu'elle adoptait la bonne posture. Il penchait la tête sur le côté pour l'observé et en riait sans retenu. Elle devait se sentir humilié par sa réaction, mais cela serait la mauvaise réaction, car son amusement signifiait surtout qu'il était agréablement surpris. Il se penchait vers elle et le revers de sa main vint effleurer délicatement la joue de l'esclave. Cela ressemblait à une caresse, un geste de douceur, sûrement l'un des seules qu'il donnait et qui signifiait simplement qu'elle était pardonné ou qu'il était satisfait. Il se redressait ensuite, remontait son pantalon et s'adressait à elle de sa voix sinistre :

- Pas trop mal esclave, tu fais des progrès et je suis curieux de voir à quel point tu seras capable de rivaliser avec ton ancêtre...

Il ricanait à nouveau, laissant la petite méditer sur ses paroles alors qu'il ajoutait en commençant à marcher :

- Suis-moi.

Il retournait dans sa chambre et saisissait une laisse avec un collier banal :

- Pour l'instant, tu ne porteras pas de collier, mais tu en es de plus en plus digne et celui-ci ne sert qu'à te tenir en laisse.

Il donnait cette explication, ce qui en soi était déjà beaucoup venant de lui, il lui passait au cou, serrant un peu fort et provoquant une gêne légère pour la respiration. Il restait à voir s'il avait fait exprès, mais si elle avait le malheur de toucher le collier, une gifle violente la percuterait dans la foulée. Autant dire que son mauvais regard suffisait à faire comprendre que le toucher était interdit. Il tirait ensuite dans tous les cas l'esclave derrière lui pour prendre le chemin du téléporteur. Il se rendait en profondeur, curieusement, il faisait relativement chaud à cet étage et les murs étaient en pierre ressemblant étrangement à une forteresse. Elle l'ignorait, mais ils étaient actuellement sous le niveau de l'eau, c'était pour cela qu'il faisait chaud, il fallait bien compenser la température de l'eau. Il y avait là un réseau de couloir menant à différent lieu inconnu, car les portes de chaque espace hors des couloirs étaient verrouillés. Il se rendait à l'une des portes où patientaient deux hommes bodybuildés ne portant qu'un harnais en guise de vêtements. Ils ne réagissaient même pas à leur présence, comme de véritables statuts de pierre. Une reconnaissance rétinienne était nécessaire pour y entrer, il fit la première et ensuite après avoir pianoté sur le panneau d'affichage, il plaçait l'esclave devant afin faire enregistrer son empreinte. La porte s'était ouverte sur un labo n'ayant rien à voir avec l'allure des couloirs. Plus lumineux, des caissons, des produits en tout genre, une table d'opération et même des étranges cages renforcés à l'étage accessible via des escaliers au fond. L'environnement était en vérité parfaitement propice aux expériences les plus folles, une bonne aération et même le sol fait pour laisser couler les produits en cas de chute. Il entrait et libérait la petite de son collier avant de lui autoriser à explorer d'un geste de la main. Elle risquait rapidement de découvrir une chose à la fois effrayante et intéressante. Dans l'une des cages se trouvait un rejeton de Heinart, il était mort, la tête avait été décrochée du corps et avait été maintenu ainsi plusieurs jours. Lorsqu'elle verra la créature, il prenait la parole :

- Les deux gardes sont aussi là pour te servir de porteur, l'un restera toujours devant, mais l'autre pourra t'aider par exemple à le déplacer où tu le souhaites. Adresse-toi à eux comme si tu parlais à des machines sans âme, autrement, ils ne bougeront pas. Si tu te poses la question, j'ai arraché la tête de celui-ci pour le tuer, j'ai évidemment dû attendre plusieurs jours pour que cela suffise à le tuer. Assurément, il s'agit de l'un de mes rejetons, autrement dit ce que j'ai été au départ et tu t'en doutes, il m'en faudrait beaucoup plus pour me tuer. Tu pourras t'en servir pour découvrir des choses sur mon espèce et je te donnerais accès à certains étages via le téléporteur afin que tu puisses venir ici.

Il ne précisait même pas qu'elle faisait mieux de ne pas en profiter pour tenter quelque chose d'idiot, elle était assez maligne pour le deviner. Le Père spécifiait néanmoins :

- Je te donne trois jours et trois nuits pour en apprendre sur mon espèce. J'écouterai ton rapport et je verrais ainsi tes facultés. Par contre... Ce que tu apprendras en trois jours, je le sais déjà, alors fait attention, je serai capable d'évaluer tes capacités, donc tout cela, tu peux aussi le perdre si je suis déçu. Tu es autorisé à porter ce qui se trouve dans l'armoire là-bas quand tu es ici.

Il lui autorisait une question avant qu'il ne s'éloigne, mais pas une de plus et elle recevrait une sévère gifle si cette dernière devait être stupide. Bien sûr, il ne lui ferait plus rien pendant ses trois jours, principalement parce qu'il avait réellement envie qu'elle soit capable d'étudier son espèce. Il repartait par le téléporteur ensuite. Dans l'armoire se trouvait l'espèce de manteau blanc qu'ont les scientifiques avec de nombreuses poches ainsi que des pantoufles pour éviter de marcher sur quelque chose qu'il ne fallait pas.


Labo
Heinart
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Clarissa venait de vomir se qui lui restait dans l'estomac en forçant une gorge profonde malgré ses instincts, ce qui lui fit vomir ce qui restait dans son estomac. Mais, là tout de suite, elle était surtout soulagé que se soit terminé, même si elle frissonnait encore de dégout pour ce qu'elle avait du faire et aussi reçue dans l'estomac, la semence du monstre, mais valait mieux ne pas y penser dans l'immédiat, cela risquait de lui faire faire des erreurs ... La jeune favorite malgré elle avait décider de ne pas l'énerver davantage, reprenant la posture d'attente qu'il lui avait apprise ... La réaction de son maître venait l'humilier encore un peu plus, car voilà qu'il éclater de rire. Qu'est ce qu'il pouvait y trouver de drôle, elle se le demandait vraiment ... Jusqu'à se qu'elle le vit se pencher vers elle. Sa première réaction fut de fermer les yeux pour se préparer a un autre coup, gifle ou autre de sa part, mais l'esclave fut surprise de sentir la main effleurer sa joue. Là, elle ouvre ses grand yeux violet pour regarder son maître avec surprise, pour se geste doux, mais également pour les paroles qu'il venait de dire sur son ancêtre ... que c'était-il réellement passé à l'époque ? Son grand-père avait raconté que la chasse s'était terminer avec un choux blanc et que personne de sa famille n'avait revue la créature après l'échec de la chasse et la mort de plusieurs chasseurs ... Alors pourquoi parler de son ancêtre comme si ... ils avaient été intime ? Elle en était tellement surprise qu'elle se surpris après plusieurs seconde entrain de contemplé le regard rouge du père des lieux, il pouvait y lire la surprise complet avant qu'elle ne baisse son regard précipitamment, craignant une punition pour cela.

La favorite se reprend quand elle l'entend lui ordonner de le suivre, détachant ses bras en même temps, ne faisant plus la même erreur, elle reste à quatre pattes pour venir le suivre, malgré la douleur au bras d'avoir étaient maintenue ainsi durant un moment, dans une position dont-elle n'était habitué. Le suivant dans la chambre, elle sent son cœur rater un battement quand elle le voit saisir un collier et une laisse, le tout étant très banal, mais cela était tout de même effrayant et humiliant pour elle, déjà qu'elle devait rester nue et cela en plus ... Dans l'esprit de la jeune chercheuse s'était vraiment dur à encaisser, à ne pas s'injurier face à cela. Mais ça ne ferait qu'attirer la colère et la douleur sans pour autant lui éviter cette humiliation ... Sachant que les paroles de son maître venait de nouveau de lui porter une estocade ... "Elle ne porterait pas de collier, mais elle en devenait de plus en plus digne" ... Elle n'en voulait pas de cette saloperie de collier ! Mais plus elle faisait en sorte d'obéir pour ne plus avoir mal, plus elle s'en approcher, alors que faire ? Sans qu'elle ne réagisse, trop prise par se dilemme. Son maître vient lui enserrer le cou de se collier, serrant légèrement plus que nécessaire, venant gêner sa respiration, juste assez pour être gênant sans pour autant que se soit dangereux. Malheureusement pour elle, le premier réflexe qu'elle venait d'avoir lui valut une gifle qui l'envoya à terre. Visiblement, elle avait interdiction de toucher au collier.

Après cette déconvenue, Clari' fut tiré à quatre pattes jusqu'au téléporteur par son maître qui la promener ainsi dans les couloir comme si cela était tout ce qu'il y avait de plus naturelle, elle fut un peut surprise de sentir la chaleur sur sa peau dans ces couloir de pierre. Elle marchait tels un petit animal derrière son maître, guider par la laisse, la demoiselle garder la tête basse, bien trop honteuse pour oser ne serait ce que croiser un regard sur le chemin, les larmes lui montant au yeux face a toute cette situation. Elle commençait à réaliser sa situation, cela l'amenait à penser au hybride des centre de dressage ... était-il traité de la même façon ? Elle ne s'était jamais vraiment posé la question pour le coup ... Ses parents avaient toujours préféré embaucher des serviteurs que d'acheter des hybrides. A travers les différents couloir, elle vit plusieurs portes et toutes semblait verrouillé. La favorite sentie un frisson lui parcourir le dos en se souvenant de la cellule ou elle s'était réveiller, à son arrivé dans cette enfer. Puis ils arrivèrent devant une porte gardé par deux homme de stature imposante, pour ne pas dire carrément intimidante. Elle lève les yeux sur son maître qui vient passer son œil sur le scan pour déverrouiller la porte, mais avant d'entrer il pianote sur le clavier avant de venir tirer la laisse pour la contraindre a se lever pour la placer devant le scan et y scanner son iris mauve. Elle se disait que s'était surement pour ajouter son œil dans la base de donné, pour qu'elle puisse avoir accès à la pièce sans lui.

Alors que la porte s'ouvre son une pièce qui change complétement du couloir, plein de modernité et tous ce qu'il fallait pour pouvoir faire les expériences les plus tordue qui puisse naître dans l'esprit d'un homme ... Elle entre à la suite de son maître, les yeux grand ouvert pour détailler tout le laboratoire, qui était vraiment impressionnant et d'une propreté, comme si elle était la première à venir l'utiliser ... Il faut dire que les connaissance nécessaire pour l'utiliser correctement n'était pas donné au premier paysan venue ! Cela il fallait le lui accorder, elle avait des connaissance des plus utile pour lui. Elle sent le monstre venir la libérer du collier, lui permettant de respirer plus librement en venant masser son cou doucement et elle ne se fit pas prier pour partir à l'exploration du laboratoire quand elle vit son geste, le lui autorisant. La jeune esclave chercheuse observe les différent produit à disposition, la qualité des appareils, les ordinateur ... Même si certaine chose n'était pas aussi moderne que dans le laboratoire de travail de la Jurisprudence, celui-ci n'en avait rien à envier ... Hormis quelques fenêtre peut-être ? Elle monte doucement les marches avant de laisser une exclamation de surprise lui échapper en voyant le cadavre de la créature dans une cage. C'est alors que son maître lui explique que les deux grand bonhommes dehors pouvait lui servir de porteurs aussi, pour l'aider. Elle reste là, un moment à observer cette créature décapité, tournant son regard vers son maître quand il lui donne l'ultimatum de trois jours et trois nuits pour en apprendre sur la créature morte. Son maître avait vraiment tué l'une de ses progénitures juste pour elle, qu'elle puisse faire son travaille ? Voyant qu'il lui autorisé une question, elle redescend vers l'entrée.

- Je ... Dite, que ... C'est-il vraiment passé avec mon ancêtre ? ... Maître.

Cette question lui tournait dans la tête depuis qu'il en avait parlé, refusant de s'estompé ... Elle était sans doute bien trop curieuse pour son propre bien ... Mais elle devait savoir ! C'était presque viscéral se besoin de satisfaire sa curiosité, les mystères. Après lui avoir répondue ... Ou pas, cela était au bon vouloir de son maître, elle le vit s'éloigner et la porte se refermé derrière lui. Là, elle sent un énorme et irrépressible frisson parcourir son corps, elle lève les yeux sur le plafond, se doutant qu'il y avait des caméras de surveillance, mais c'était la première fois qu'elle était aussi seule et libre de ses mouvement ... Elle prend une grande inspiration et vient prendre la blouse dans l'armoire, puis les chaussons, appréciant véritablement la tissue contre sa peau, trop longtemps resté nue.

Clarissa ne tarde pas à ouvrir la porte pour s'adresser a l'un des costaud.

- Euh, vous pourriez venir porter le cadavre jusqu'à la table ?

Elle les observe alors qu'il ne réagisse pas ... Elle vient réessayer plusieurs fois, mais toujours sans succès, son maître lui avait bien dit qu'il fallait leurs parlé comme à une machine, mais ... Ce n'était pas trop son habitude, hors si elle ne le faisait pas, son travaille risquait fortement d'être ... vite fait ! Elle prend une nouvelle inspiration, mais elle n'arrive pas a les considérer comme les machines, pas avec ce qu'elle venait de vivre ! Serrant ses petits poing de colère face à cela, elle prend un ton le plus autoritaire possible.

- Tu vas me mettre ce cadavre sur la table tout de suite !! Et n'oublie pas la tête !

A sa grande surprise, elle vit l'homme bouger pour aller dans le laboratoire, sortir le cadavre pour le placer sur la table, avec la tête, Clari' l'observe faire, les geste mécanique, presque comme un automate et cela la perturbe un peu plus tandis qu'il vient reprendre sa place devant la porte. La chercheuse s'approche de la table ou gît le cadavre. Le détaillant de plus belle, c'était une créature comme celle qui avait attaqué le camp lors de sa capture, faisant le tours de la table pour le voir sous tout les angles. Dur à croire qu'une créature comme cela puisse être née naturellement ... Puis elle lève les yeux sur l'heure et vient commencer son travaille. Venant prendre un scalpels pour prélever des morceau de la créature pour en observer les propriété au microscope, puis elle s'approche de la tête, imposante et inquiétante ... même morte et décapité ! Clarissa vient lui ouvrir la gueule, ayant enfiler des long gant avant, afin d'aller explorer l'anatomie de celle-ci, trouvant ce qu'elle cherchait, les glandes qui stock les enzymes de la bave, celle qui on des propriété régénératrice, puis elle les extraie avant de les placer sur un petit plateau sur le côté, ensuite elle vient arracher un croc pour voir comment il ponctionne le sang. La jeune esclave venait de se plonger à corps perdue dans son travail, ne faisant plus attention à rien d'autre. elle vient noter tout se qu'elle trouve intéressant, notamment la propriété des cellule a se transformer en cendre lentement, comme un corps qui se décompose ...  

L'esclave passe des heures a trituré le corps de la bête pour en découvrir les secrets, mais elle comprit que ce serait un travaille de très longue halène ... Rien que pour ouvrir la cage thoracique de la chose fut une épreuve, la laissant essoufflé, les os de la créature semblait aussi solide que du métal ! Les muscle très développé font de cette chose une machine de mort et de destruction à l'état naturelle. Clari' vient récolté plusieurs fiole de sang de la créature qui rester dans les veines pour les placer dans différent tube. Puis elle prend une caméra et vient filmé la dépouille, notant que rien, absolument rien n'est visiblement, même en morceau le corps semble gardé l'étrange propriété d'être sans reflet, s'était fascinant. Elle observe la créature et se demande vraiment comment elle a put passer de cela à son maître, cela faisait qu'elle était en perpétuelle évolution. Comme toute espèce vivant mais en version ... accélérer. Elle vient se parler à elle-même pour notifié ses différente hypothèse. Elle observe les différente partie de la bestiole dans le microscope pour comprendre aussi rapidement qu'elle évolue dans son vivant, elle disparaît tout aussi vite dans la mort ... A cette vitesse, le cadavre sera devenue cendre d'ici plusieurs jours. C'était un phénomène unique et fascinant ! Par la suite, lui vient une idée ... Voir la réaction des cellule morte en présence de sang d'un être vivant, elle en l'occurrence ... plaçant son doigt au dessus de la lame du microscope, elle vient se piquer celui-ci avec le scalpels pour laisser tomber une goutte sur les cellule qui se transforme en cendre et à sa grande surprise, les cellules semble y réagirent, comme si durant un instant elle revenait à la vie, consommant le sang avant de reprendre le décomposition en cendre par la suite ... C'était comme si l'état de mort de la créature ... était réversible, au moins, avant qu'elle ne deviennent cendre totalement. C'était très impressionnant, et inquiétant aussi. Elle avait travaillé en parallèle sur les enzyme des glande de la bave dans l'optique de se soigner l'anus toujours douloureux.

La chercheuse finit par revenir à la réalité en sentant son estomac crier famine et regarde l'heure, il était tard, mais toujours l'heure du diner ... Elle se décide avec un soupire de se redresser pour aller déposer ses vêtements de chercheuse dans l'armoire avant de sortir pour se rendre au réfectoire ... D'une démarche mal assuré, c'était une chose de suivre son maître ou bien Blattela, mais c'était autres chose de marcher seule dans les couloir de la forteresse ... Elle trouve son chemin jusqu'au réfectoire, non sans avoir eu quelques détour malencontreux due a son sens de l'orientation, pas tout à fait au point ! Une fois à l'entrée de la grande salle, la demoiselle sentie son courage défaillir sous les regard levé sur elle. La jeune femme était à deux doigts de faire demi-tour, bien trop honteuse d'être nue devant tout ses regard ... seule et un peu perdue, mais son estomac criait famine et l'obligea à faire le premier pas, puis elle se rend jusqu'au cuisinier qui vient lui servir la bouillit noir et visqueuse des esclave, tout ce qu'elle pouvait dire du bol, c'est qu'il devait y avoir du poisson dedans ... Elle vient s'installer sur une partie des tables qui était vide, mais a porté des voix des autres esclave pour pouvoir entendre ce qu'il se disait, cela la rendait curieuse, même si son arrivée avait déclencher un silence durant le début de son repas. La bouillie était assez immonde, selon ses goûts, fade et visqueuse, mais n'ayant rien d'autre, il lui fallait bien se nourrir et elle finit par avaler tout son repas.

Le reste du temps, Clarissa le passait à travailler, montrant qu'elle avait une excellente capacité de concentration, des idées des plus innovante pour mener ses expériences, ayant même était jusqu'à faire couler de l'acide sur le bras de la créature, qu'elle avait mis du temps a couper pour en voir le résultat, pour le noter ensuite. Elle travaillait sans prendre en compte l'heure ou le sommeil, finissant à chaque fois par s'endormir sur le clavier en attente de la fin des analyse de tels ou tels chose. Elle savait pas mal de chose sur la créature de part les histoires de ses ancêtres, et elle avait donc pue en prouver un certain nombre, le rayon UV sur le cadavre la faisait brulé et une exposition prolongé la réduirait assurément en cendre. La gorge de la créature semblait équiper d'un système pour émettre des ultrason afin de communiqué et donner des ordre a certaine créature ou même a ses paires peut être. Elle avait remarquer le manque de système digestif complexe, le sang que la bête absorbé était directement donner au corps de la bêtes, consommé dans son entièreté, sans déchet comme de l'urine. Elle avait aussi essayer d'étudier un œil de la créature, elle découvrit alors qu'elle avait un odorat ultra développé, semblable a celui d'un requin, pouvant sentir l'odeur du sang a des kilomètre à la ronde. Cette bête avait tout du prédateur parfait ! Mais la chercheuse avait encore tant de question alors que les jours passé. Elle étudier le corps sans relâche pour en découvrir les force et les faiblesses ayant brulé un morceau de chaire pour voir si cela était aussi efficace que le soleil, et visiblement non, c'était efficace, mais pas autant. Puis elle avait congeler un autres morceau pour voir le résultat qui était stupéfiant, une parfaite conservation et aucune altération vis à vis de la cristallisation de l'eau, oui, la créature pourrait survivre a des température extrême. Ayant pue en faire le tour alors que la porte derrière elle s'ouvre brusquement sur son maître, la faisant sursauter et sortir de son travaille sur un croc du rejeton de son maître. Elle se retourne Précipitamment, sentant son cœur s'accélérer de crainte à sa vue, elle baisse la tête, se laissant tomber à genoux. Attendant dans la posture apprise que son maître viennent voir son travaille. Elle avait tout noté sur un carnet posé sur le bureaux, mais elle restait prête a donner son rapport ... Même si elle avait encore tant de question sur eux, elle estimée avoir fait ce qu'elle pouvait avec le temps et ce qu'elle avait.
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Trois jours, peu et beaucoup. En effet, elle avait en vérité reçu bien plus de trois jours, car elle savait déjà un certain nombre de choses sur lui et ses quelques jours allaient finalement surtout lui servir à prouver ceux-ci. Cependant, il y en avait aussi un grand nombre dont elle ignorait tout et il était curieux de découvrir ce qu'elle allait pouvoir comprendre sur son espèce à partir de ce cadavre. En vérité, il y avait aussi une autre raison qui le poussait à ne pas en donner davantage, la raison était toute simple, le cadavre ne tiendrait pas beaucoup plus longtemps. Déjà là, il avait utilisé un procédé un peu aberrant pour parvenir à ce que son corps demeure en état le plus longtemps possible, mais en temps normal, il se changeait en cendre presque immédiatement. C'était aussi ce qui rendait l'étude de son espèce compliquée, toutes les progénitures conçues durant ses siècles de vie même morte ne purent être utilisé pour l'étude et donc personne n'avait pu découvrir ce qu'ils étaient.

Durant ce temps accordé, il avait plusieurs fois observé les caméras donnant sur le labo, observant ce qu'elle faisait, apprenant aussi à travers les images. Lorsque l'on traversait autant d'époque, il n'y avait que deux solutions, ne pas évoluer avec son temps ou justement le faire et à la longue. Il était devenu doué pour comprendre le fonctionnement des choses. Certes, certaine furent plus difficiles à comprendre, il dut souvent désapprendre des choses qu'il pensait acquis et qui en réalité était totalement fausse. Il venait après tout d'une époque où l'on pensait la terre plate. Apprendre qu'elle était ronde et pourquoi il ne tombait pas était difficile à évaluer. Il soulignait certaines idées et n'avait pas pu retenir un sourire en la voyant galérer avec les deux armoires à glace devant la porte. Elle allait devoir apprendre à être plus ferme, qu'importait, ce n'était pas tant son problème finalement.

Alors qu'il regardait, il repensait à la question qu'elle lui avait posée, celle qu'il avait autorisée et se disait que c'était un bien curieux choix. Il y avait une telle multitude de choix, pourquoi prendre celui-ci ? La curiosité sans doute, mais peut-être que cela lui permettrait à mieux comprendre son espèce ? Non, il en doutait fortement, c'était d'ailleurs pour cela qu'il avait choisi de ne pas répondre à sa question, même s'il avait assuré qu'elle en saurait davantage une fois les trois jours passés. Après tout, il n'allait pas s'embêter à répondre et à raconter une partie de sa vie à quelqu'un qui allait mourir dans trois jours, enfin, si elle échouait. À cette pensée, il souriait, c'était faux, elle ne se serait pas tuée même en cas d'échec, mais par contre, elle perdrait cette place de choix pour devenir qu'un objet que l'on usait et abusait à son bon vouloir.

Lorsqu'elle tentait de couper des morceaux au scalpel, elle remarquait rapidement que la peau en elle-même était comme un cuir solide, il ne fut pas facile à couper, mais elle y parvenait malgré tout en forçant un peu. Visiblement, Heinart avait fait mettre dans ce labo des outils capables de franchir les défenses naturelles de son espèce. Pourtant, la créature était morte, allez savoir ce que donnait la peau s'il était en vie, enfin, aussi vivant que puisse l'être son espèce. La mâchoire du rejeton était une véritable machine à tuer, faites de muscles puissants, tout semblait être fait de sorte à rendre une victime totalement impuissante. D'ailleurs, elle trouvait deux glandes différentes à l'intérieur, l'une possédant en effet l’enzyme de la bave réparatrice, mais aussi un second type. Il s'agissait d'une espèce de drogue étrange et pouvant aisément produire un certain nombre d'effets à la proie. Entre autre la dépendance, il y avait un relâchement musculaire qui rendait forcément la personne complètement à la merci du suceur de sang. Même sans être en contact avec le liquide, le voir suffisait à rendre légèrement l'esclave fébrile. Les crocs en eux-mêmes avaient surtout la fonction de transmettre la drogue et non d'aspirer le sang, cela se faisait par la gorge, mais aussi par un trou rétractable au niveau de la langue, lui permettant ainsi de récolter le sangde façon très subtile et donc discrète.

En parallèle à ses travaux, elle parvint relativement facilement à utiliser l'enzyme pour se soigner l'anus et à l'état pur, il fut même extrêmement efficace. En soi, un tel degré de régénération était plus qu'impressionnant et si la Jurisprudence disposait d'un moyen de synthétiser celle-ci, elle pourrait sauver des milliers de vies.

Au niveau cellulaire, elle comprendrait relativement rapidement comment la créature faisait pour évoluer aussi rapidement. Elle était composée presque essentiellement de cellule souche, enfin, de cellules transdifférenciées qui en somme le stade avant les cellules souches et qui rendait possible une évolution presque infinie. Elle n'était pas limitée par une direction précise comme les cellules souches, pouvant certes évoluer, mais que dans la direction préinscrite, comme un enfant humain devenant adulte. Dans le cadre d'un humain composé de cellules du même type que ceux du Nospheratus, cela reviendrait à un bébé pouvant devenir un lion, un ange, un humain, n'importe quoi, car elle n'avait aucune limite. La vitesse d'évolution était aussi différente, celle-ci permettait en quelque sorte une évolution quasiment instantanées et qui pouvait aisément s'apparenter à de la magie. C'était comme voir une capacité magique rendu physiquement possible. Cette espèce était autant une merveille qu'une Aberration génétique totalement construite pour être le prédateur alpha. Cependant, cela l'était à un point que les circonstances de son apparition ne pouvait être d'ordre naturel. D'une certaine manière, elle pouvait y voir une création humaine, sauf avec des millénaires d'avance sur leur moyen et connaissance. Les faiblesses de la créature étaient calculées, voulu, tel un point faible donné volontairement pour rendre la créature tout de même tuable.

L'acide qu'elle avait fait couler sur le bras n'avait pas eu de grands effets, mais rendait la découpe de la chaire plus aisée, c'était tout. La structure de la peau faisait que l'acide la rongeait que très légèrement. L'œil qu'elle avait étudié lui révélait que la créature avait sans doute la faculté de voir en infrarouge, au moins, elle pouvait aussi bien voir dans l'obscurité totale qu'en plein jour, ce qui n'était pas étonnant pour un monstre nocturne. Cependant, elle voyait aussi que l'œil semblait toujours encore réagir à la vue du sang, comme s'il pouvait le voir à travers la chaire. Il ne bougeait pas, mais les pupilles changeaient de tailles en fonction de sa présence ou non et surtout de couleur. Devenant rouge si trop de sang se trouvait à proximité, c'était à croire que le corps était une machine tant il réagissait malgré un état cliniquement mort.


Puis, arrivait le fameux jour, celui ou le Père des monstres retournait dans le labo pour juger du travail fourni. Il avait déjà pu être témoin de certaines idées qui lui avait semblé fort intéressantes, mais cela ne garantissait pas la validation, car si les résultats découverts n'étaient pas à la hauteur, cela lui serait insuffisant. Il entrait dans le labo et à peine la porte fut-elle ouverte qu'il entendait déjà le cœur de l'esclave s'accélérer. Elle avait peur de lui, une bonne chose si cela était une source de motivation, elle baissait alors la tête et tombait à genoux. Visiblement, ses quelques jours à travailler n'avaient en rien altérer sa mémoire et elle n'avait donc aucunement oublié cette posture si durement apprise. Il approchait, lançant à peine un regard sur elle tandis qu'il approchait du bureau pour en saisir le carnet comme s'il savait précisément ce qu'il devait trouver à l'intérieur. Il le feuilletait rapidement, vraiment rapidement, le survolant vaguement avant de le fermer et de le déposer non loin de la porte d'entrée, de sorte à le reprendre une fois qu'il serait décidé à partir. Heinart approchait ensuite de l'esclave, la regardant de haut, presque froidement avant qu'il ne prenne la parole, sa voix toujours aussi sinistre :

- Tu sembles avoir bien travaillé, mais je ne me contenterais pas de notes dans un carnet, tu vas me faire un rapport oral dans mon bureau. Néanmoins, avant cela, je dois faire une petite chose avant qu'il ne soit trop tard.

Il avait avec lui dans son jeans une poche de sang, il approchait du rejeton et répandait le sang sur lui tout en replaçant la tête au bon endroit. Là, elle pu le voir, ce qu'elle avait observé dans le microscope à l'échelle moléculaire, le corps se reconstruisait peu à peu et cela ne faisait qu'accélérer. Le bruit des chaires bougeant tout seul pour s'unir à nouveau, un bruit d'os et un petit mouvement au niveau de la tête. Comme si elle venait d'être reconnecté avec le corps avant qu'il n'ouvre subitement les yeux. Moins d'une minute, il n'avait fallu au rejeton qu'un peu plus de trente secondes pour ouvrir les yeux et vingt pour se redresser sur la table :

- Tu retournes à ton post, va te nourrir à nouveau au garde-manger.

Le monstre s'inclinait et s'en allait sans même regarder la scientifique qui l'avait charcuté pendant des jours. Le Père se tournait enfin vers l'esclave et replaçait à son cou un collier relié à une laisse. La trainant ensuite derrière elle vers la porte à laquelle il saisissait le carnet et puis il s'arrêtait à l'entrée. Si elle n'avait pas pensé à retirer d'elle-même la blouse de travail, il viendrait la gifler sans ménagement et assez fort pour l'envoyer au sol. C'était à elle de comprendre pourquoi, sinon d'autre tomberait jusqu'à ce qu'elle comprenne. Chose faite, il reprendrait la route sans dire un mot, comme si tout était parfaitement normal. Ils prenaient le téléporteur pour se rendre à l'étage du bureau avant qu'il ne se ravise et l'enclenchait à nouveau pour arriver au salon. Là, il rejoignait le canapé pour s'y installer, relâchant la laisse qu'à ce moment-là sans pour autant la libérer de cette dernière :

- Parle à présent, je t'écoute et si le résultat n'est pas assez bon, je t'utiliserais à nouveau avant de t'enfermer dans une boite pour que tu me serves de poche à sang et de trou pour vider mes couilles.

Il disait cela comme si c'était parfaitement normal, une évidence avant de lui faire signe de commencer. Le pire était que même si elle faisait un bon rapport et qu'il en était satisfait. Il risquait de la prendre tout de même, après tout, il n'avait pas pu l'utiliser depuis, mais surtout, même si elle ne s'en rendait pas encore compte, son corps voulait ses crocs. En effet, l'esclave était en manque sans même le savoir et il comptait bien la mordre à nouveau afin de renforcer ce besoin.

Heinart
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La jeune scientifique avait eu trois jours, trois journée entière pour étudié se cadavre d'un des enfant de son maître, dans un laboratoire toute équipé. C'était pour elle une chance de découvrir une faiblesse sur le père des créatures ... Mais Clari' sait également que c'est un test, si elle désire garder se privilège, les résultats de ses recherches doivent être d'intérets pour lui qui recherche aussi des réponses sur son existence ... Durant certain moment de réfléxion, durant le troisième jour ... La jeune esclave sait que son maître allait plus tarder et elle avait boucler les dernière recherche qu'elle avait fait sur le cadavre, mais a sa mémoire, revenait les paroles de Blatella, celle qui avait été gentillesse et compassion pour elle, du moins, c'est ce qu'elle dégageait quand on lui parlait et elle lui avait enjoint à voir les chose du côté du maître un instant et non plus du côté des humains ... En tant que scientifique sur les créature de la mythologie, qui se sont révélée réelle, la demoiselle avait apprit à observer, notament le comportement des créatures. Elle repense au comportement de son maître ... Pourquoi cherchait-il des réponses ? Pourquoi haïssait-il autant les êtres humains ? ... Parce que eux-même le haïssaient assurément ... Donc, si tout cela arrive, ce ne serait qu'un juste retour des choses ? ... Ou bien, a t-il une haine innée pour eux ? Elle avait encore tant de questions ... En plus de celle à laquelle il avait refusée de répondre ! ... Elle se laisse aller sur la chaise, laissant ses pensées vagabonder, se demandeant si le rapport aller le satisfaire ... Ou bien, allait-il encore la frapper ? Elle n'avait pas envie qu'il revienne ... Si il pouvait l'oublier et la laisser dans se laboratoire, cela l'arrangerait bien ! ...

Quand la porte s'ouvrit, laissant entrer le père des monstres, la demoiselle aurait bien était incapable de dire combien de temps elle s'était laisser aller à ses pensées ... et toute ses questions. Laissant la surprise passer, la jeune esclave sentie la peur et la crainte la submerger, venant baisser la tête rapidement en se laissant tomber à genoux, prenant sa posture d'attente ... Amèrement, Clarissa sentait à qu'elle point il lui était facile de prendre cette posture ... Après y avoir tant souffert ... Son tortionnaire s'approche d'elle et du bureau, lui passant à côté sans qu'il ne fasse attention à elle, ce qui était peut être pour le mieux, car il vient alors feuilleté rapidement le resultat de ses recherches qu'elle avait notée dans son carnet. N'ayant plus accés à l'immense savoir de sa famille via le Bestiaire, la demoiselle avait noté de mémoire des similitude avec d'autre créature ou légende, ainsi que d'éventuel idées sur l'éspèce de son maître. Puis elle entend la sinistre voix de son maître, celui qui faisait de sa vie un véritable cauchemar, se montrant forte pour ne pas trop lui montrer sa peur, même si elle sait pertinement qu'il le sait très bien, qu'il se délécte de la terreur qu'elle ressent pour lui. Elle ne peut s'empécher de relever le regard quant-il vient verser une poche de sang sur la créature morte ... Qui vient alors se régénérer sous ses yeux, venant réparer tout les dégats qu'elle avait causé durant ses recherche, se demandant même si cela avait fait repoussé les gland qu'elle avait extraite pour se soigné autant qu'étudier. Clarissa en restait malgré tout bouche bée, c'était du jamais vue ... cela venait prèsque rivaliser avec les pouvoirs angélique ! C'était véritablement stupéfiant ! En moins d'une minute ...

L'ancien cobaye de la petite scientifique sortie ensuite de la pièce après s'être inclinée devant son père, ayant reçut ses ordres. Elle ne pouvait s'empécher de notée l'obéissance aveugle de la créature pour leurs chef. Par la suite, Clari' se sent déglutire alors que son maître se pose devant elle, retenant une grimace mécontante alors qu'il vient lui remettre le collier, toujours serré plus que nécéssaire ... A croire qu'il le faisait sciement ... Il commence à la tirer jusqu'à la porte, elle ne voit prendre son carnet de note avant de se tourner vers elle pour lui coller une giffle qui l'envoie de nouveau au sol ... Mais pourquoi ? elle n'avait rien dit, ne c'était pas redresser sur ses jambes, restant a quatre pattes ! ... Elle réfléchie rapidement et voyant une deuxième giffle arrivé, la jeune chercheuse comprend d'un coup, les vêtements ! Ce n'est que pour le labo' ! Elle se depéche de les retirer ... Si elle n'arrive pas à éviter la deuxième giffle, au moins elle n'en aura pas de troisième ... Mais ses joues lui font mal et son rouge, et pas à cause de la honte cette fois ... Elle fut contrainte de le suivre jusqu'au téléporteur, toujours aussi humilié d'être trainé ainsi en laisse ... toute nue ... Son maître la conduit d'abord à l'étage du bureaux, mais il semble changer d'avis pour l'emmené à l'étage du salon, ou il va s'installer sur le canapée, ne lachant la laisse qu'a se moment là ... Mais il ne lui retire pas le collier pour autant, laissant la laisse pendre entre ses seins, c'était pour elle, une sensation assez dérangeante. Puis il lui dit enfin de parler, afin de lui faire son rapport, elle reste face à lui, se plaçant à genoux, prenant la posture d'esclave qu'elle avait apprise, baissant piteusement la tête avant de lever un regard sur le père de ses tourments ... Chose qu'elle n'aurait pas du faire, car au moment de parler ... La peur vient lui comprimé la gorge. Clarissa se met à paniqué, sentant la peur l'envahir, les larmes mouillé ses yeux ... Elle sent un frisson lui parcourir tout le corps avant d'essayer de se reprendre au mieux, elle vient respirer fortement, cherchant ses mots.

- Je ... Euh, Pour commencer ... Votre espèce est véritablement stupéfiante, toute vos cellule sont à un stade ou ... l'évolution et les résultat son infinie, même à votre stade ... Vous pourriez encore évoluer pour ... devenir encore plus dangeureux. C'est aussi pour cela que l'on ne peut déterminer réellement votre âge, vos celleule se régénère à chaque fois que vous prenez une gorgée de sang. Vous êtes ... un prédateur parfait. Vous voyez le sang, votre nourriture, votre vision s'adapte aussi bien à la lumière qu'a l'obscurité total. Votre peau est imperméable au produit nocif tels que de l'acide. Votre salive à une capacité de guérison toute aussi impréssionnante, j'ai décelé aussi une autre poche d'enzyme, qui lâche une sorte de drogue qui permet de ... de garder votre proie sans défense ... Vous disposez du nécéssaire pour boire discrétement le sang depuis la langue, bien que ce soit plus rapide à gorge déployer. Physiquement, je n'ais trouvé aucune faiblesse, il suffit d'un peu de sang pour réactiver les céllules, bien que j'ai noté que si elle ne sont pas approvisionné en sang, celle-ci ceux ... désagrègent en cendre. Un phénomène fascinant. Je sais que je suis loin d'avoir tout découvert, il y a encore tant à découvrir ... Maître. Là, j'ai pue constaté que vous avez tout du super prédateur ... Si il a créature plus forte ... Je doute qu'il y en est une, qui est vos talents pour la survie, votre régénération ... Si je me souviens bien des histoire de ma famille ... Vous avez survécue a toute leurs attaque, aussi mortels soit-elle ...  

Elle finit son rapport, déglutissant de nouveau, espérant avoir pue satisfaire son maître ... car, elle n'avait aucune envie d'être réduite à être enfermé dans une boite pour être utilisé comme ... un jouet. Elle frissonne à cette pensée ... Avant de lever un regard sur lui, essayant de déchiffré, l'indéchiffrable regard qui la fixait.
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Oups... C'était ce qu'il s'était dit en la voyant prise de panique juste avant de devoir prendre la parole. Il voulait lui mettre un coup de pression, c'était réussi, peut-être un peu trop bien, mais tant pis, elle jouait son avenir, à elle de trouver la force de parler. C'était du coup ce qu'elle faisait tout en commençant à pleurer. Ses poils hérissaient, sa respiration était devenue laborieuse et son cœur tambourinait à tout rompre dans sa poitrine. Ce délicieux son et voir ainsi le sang circuler avec force dans ses veines n'aidaient pas le Roi de la nuit à demeurer concentré.

Néanmoins, ce qu'elle avait à dire ne pouvait être ignoré, lui-même jouait beaucoup à cet instant, laisser une scientifique l'étudier de la sorte pouvait aisément se retourner contre lui, il devait faire attention à qui le projet était donné. Alors, il écoutait, entendant le rapport qu'elle lui faisait avec une attention particulière et bien dissimulé derrière son regard de glace. Il ignorait sa posture, la manière qu'avait cette chaîne de pendouiller entre ses seins, la beauté qu'avait chaque perle de sueur dévalant sa peau un peu pâle. Lorsqu'elle parlait d'à quel point son espèce était un superprédateur, il pouvait presque sentir une certaine admiration dans sa voix, malgré la peur, malgré le fait qu'elle était entre les griffes de ce prédateur ultime. Puis, elle avouait qu'il y avait peut-être plus dangereux que lui d'un point de vue meurtrier, mais qu'aucune espèce à sa connaissance ne pouvait rivaliser avec les facultés de survie que les monstres de son engeance possédait. Pourtant, elle était loin d'avoir tout vu, très loin de savoir à quel point de Père des monstres était compliqué à tuer. Il repensait alors un court instant à sa stupéfaction en voyant le corps qu'elle avait étudié se relever après un peu de sang. Il n'avait plus de tête, elle était tranchée depuis un moment et pourtant il lui avait suffi de la placer à sa place pour que tout fonctionne à nouveau.

Cependant, elle avait terminé son rapport, dit ce qu'elle savait et à présent attendait son verdict en osant lever son regard brillant de larme vers lui. Elle savait ne pas en avoir le droit, mais il y avait des circonstances avec lesquelles il le permettait, celle-ci en faisait partie. Le problème pour elle était qu'elle ne déchiffrait rien du tout, il était de glace, un bloc imperméable et elle risquait de sursauter en le voyant bouger tant il était immobile jusque-là. Son mouvement était pourtant lent, calculé, sa main vint effleurer le menton comme pour confirmer qu'elle devait garder le regard levé sur lui alors qu'il prenait la parole. Le pire, c'était sans doute la douceur de son geste, s'il n'y avait pas une telle différence de température entre leur peau, le contact de ses doigts auraient pu être des plus agréables. Là, il était moins certain, mais dans le fond, il s'en fichait royalement, elle n'avait qu'à profiter de sa tendresse passagère, elle ne durerait pas :

- Tu as fait un bon travail, ce n'est pas parfait, loin de là, il y a énormément de choses que tu ignores encore, n'a pas vu et découvert. Cependant...

Malgré sa délicatesse, sa voix demeurait tellement sinistre qu'elle ne pouvait être agréable à l'écoute, dévoilant une présence sans l'ombre d'un doute inhumaine. Il pouvait faire l'effort, mais cela exigeait de sa part une concentration importante et il ne s'en donnait la peine que lors d'infiltration dangereuse :

- Tu en as découvert suffisamment pour prouver que tu me serais utile en tant que scientifique. Félicitation, tu vas travailler pour moi à présent, c'est ce que tu feras lorsque tu ne seras pas en train de me servir en bonne esclave.

Il fronçait les sourcils, se disant qu'il pouvait bien lui révéler un indice ou deux pour l'aider à orienter ses recherches dans une nouvelle direction pour la suite. Néanmoins, si avant il pouvait ignorer son corps, sa soif et à quel point elle était appétissante, là cela devenait plus compliqué. Il décidait de se soulager au moins d'une partie de ses besoins et défaisait son pantalon après avoir lâché la joue. Libérant ainsi le monstre qui avait déjà tant tourmenté la petite esclave et d'un geste du doigt lui faisait comprendre qu'elle n'avait pas besoin de parler, alors qu'elle se serve de sa bouche. Cependant, il ne lui imposait aucun mouvement ou rythme à tenir, mais elle prenait d'énorme risque si elle hésitait un peu trop longtemps. Un rappel à l'ordre partirait rapidement en plein visage pour elle, la séchant sans doute au sol pour quelques secondes si cela devait partir. Lorsque sa verge profitait de sa bouche, il prendrait à nouveau la parole après un grognement de satisfaction :

- Tu as parlé des histoires de ta famille, ils ont effectivement durant un temps essayé de me tuer, mais je les ai vaincus, pourchassé et réduit à l'état de proie. Lorsque j'en ai eu assez, ils sont morts, ne laissant que peu derrière eux, seule ton ancêtre, leur enfant, fut au-dessus du lot et permis une descendance dont tu fais partie.

Si elle ne prenait pas suffisamment la verge en bouche, sa main viendrait à présent la pousser un peu, sans pour autant lui imposer une gorge profonde :

- Pour en revenir à leur tentative, ils ont essayé de me brûler vif, que cela soit à l'aide du feu ou même du soleil. Si ce dernier parvenait à me blesser grièvement, rien ne pouvait m'achever. La tête coupée revenait à son corps à l'aide d'une magie du sang qui les avait convaincus de mon immortalité. Ils pensaient que même un corps pulvérisé reviendrait à son état d'avant, que la moindre goutte de sang permettrait à ce que je revienne...

Il ricanait alors, d'une sincérité soudaine et venant de lui faisait froid dans le dos :

- Il avait tort, même réduit à l'état d’inexistence je reviens, jusqu'à preuve du contraire, je suis immortel et pourtant mon corps réagis instinctivement à certain lieu et objet. Ta prochaine mission sera de comprendre pourquoi un être pouvant survivre à une explosion nucléaire serait incapable d'entrer dans une demeure sans y être invité.

Cela pouvait choquer, mais il y avait de quoi trouver cela dérangeant. Pourquoi son corps aurait peur de cela ? Pourquoi aurait-il besoin d'une telle chose sans craindre la mort ? Il laissait un instant la petite évaluer sa future mission, la retenir avant de placer sa main dans ses cheveux pour tirer en arrière et la faire venir tout contre lui. Son visage trop proche du sien avait de quoi inquiéter et pour cause ses crocs devenant apparent. Le monstre se dévoilait davantage et ses attentions aussi. Le corps de la pauvre esclave risquait de prendre en traître cette dernière en se mettant à attendre avec impatience sa morsure. Un désir cruel, un désir inconscient et dont il n'attendait rien en l'instant, car il voulait son sang, voilà tout. Sa mâchoire se refermait sur son cou, ses crocs se plantant dans la chaire, la perçant et créant un ras de marré entre les cuisses de la pauvre proie en seulement quelques minutes. Il contrôlait son organisme dès le moment où ses crocs entraient en elle, libérant sa drogue qui rendait le corps tellement réceptif. Chaque aspiration créait une vibration dans tout son corps, le mettant aux abois et la plongeant dans une trans aussi cruelle que délicieuse. L'esprit de la petite devait vadrouiller entre les pires et les meilleurs moments passé dans cette ville funeste. Autant dire qu'il y avait plus de mauvais souvenir que de bon et lorsqu'il relâchait sa proie. Cette dernière ne pouvait que choir au sol, son corps encore parcouru par le plaisir grisant de la morsure et la douleur enivrante de ses crocs. Pourtant, il la ramassait à nouveau, passant sa langue sur la morsure, créant une nouvelle décharge saturant les nerfs de ce corps fragile et permettant sans doute à l'esclave de revenir à la réalité. Douce réalité, avant que tout ne parte en couille, il vint la repousser à terre comme un déchet et se levait à sa suite :

- À quatre pattes chiennes, il est temps de faire passer la frustration de t'avoir épargné durant plusieurs jours.

Sa voix avait quelque chose d'agressif en cet instant, arrivant avec lenteur sur elle, prenant sa ceinture pour la flageller si elle ne se mettait pas en position rapidement. Lorsqu'elle finissait à quatre pattes, elle pouvait le sentir se placer derrière elle, mais surtout la poigne de ses mains l'attrapant par la taille pour la soulever à sa hauteur. Sa verge toujours aussi impressionnante pour ce petit trou délicat qui s'écartait de force sous sa pénétration. Si lorsqu'il rentrait son geste fut lent, lui permettant de sentir chaque centimètre de progression, la suite l'était bien moins et risquait de lui déchirer le cul à nouveau. Elle pouvait se sentir empaler avec force à de multiple reprise ensuite, ses pieds ne touchant même plus le sol à cause de la différence de taille. Bon sang, il était un monstre prenant sa proie vierge par le cul sans l'ombre d'une compassion à l'horizon.

Heinart
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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
La pauvre esclave venait de terminer de prendre la parole, mettant ainsi fin à son rapport. Un rapport de trois jours de travaille sur le corps d'un des rejetons de son tortionnaire ... Elle avait fait ce qu'elle pouvait, mais dans l'attente du verdict, la jeune demoiselle sentait doucement la peur monter en elle, malgré tout, il y avait un réelle enjeux sur la décision finale du père des monstres ... Elle ne pouvait s'empêcher de lever un regard sur lui, essayant de décrypté celui-ci, mais elle ne se heurtait qu'à un regard de glace. Avait-elle seulement le droit de lever les yeux sur lui ? Clari' n'en était pas vraiment sûr, mais ... elle se dit que si il ne la réprimande pas sur le champs, alors c'est que là, elle peut. Après un silence plus ou moins long ou la demoiselle rester dans un flou complet, jusqu'à ce qu'il bouge enfin de nouveau. L'esclave dû se faire violence pour ne pas paniquer en voyant la main du monstre approcher doucement de son visage. La peur pouvait se lire dans ses yeux durant un instant, la peur d'avoir mal de nouveau, bien que ... Dans le fond, la jeune scientifique devait bien le savoir, la douleur finirait par devenir son quotidien, qu'elle le veuille ou non ...

La main du maître de l'île vient lui relever le menton, presque avec tendresse. Ne sachant pas vraiment ce qui était le plus surprenant, cette tendresse envers elle ? Ou bien la froideur cadavérique de sa main sur sa peau ? C'était dur à dire, mais cette froideur glaciale lui fit frissonner l'échine dorsale car elle lui rappelait que c'était cette même main qui lui infligeait tout ses tourments ... Sans qu'elle ne puisse faire quelques chose pour se défendre, complétement impuissante, entre ses griffes. Lorsqu'il prit la parole, cette voix sinistre au possible lui annonce alors qu'elle à réussie, que désormais, elle allait travailler pour lui comme chercheuse ... Quand elle ne serait pas occupée à le servir comme la bonne esclave qu'elle est. Par la suite, la jeune Clarissa sentit son cœur se serrer dans sa poitrine en le voyant défaire sa ceinture, puis son pantalon pour en sortir le glaive imposant. Elle baisse le regard de dépit alors que d'un geste, lui venait de lui faire comprendre qu'elle devait le mettre en bouche ... Peut lui importait à ce monstre qu'elle en avait envie ou non, elle devait obéir. Une seconde d'hésitation, de réflexion sur sa vie suffit à se faire réprimander. La gifle fut douloureuse et l'envoyait choir sur le sol en gémissant. Elle se rappelle qu'il ne tolère aucune hésitation, que maintenant, il lui fallait se redresser au plus vite pour obéir, éviter ainsi d'autre punition. La petite esclave met dans un côté de son cerveau toute ses pensées pour juste, obéir ... Elle vient se redresser au plus vite pour ensuite mettre le gland du membre de son maître dans sa bouche, commençant ainsi à le sucer.

Elle lève un regard furtive sur lui tandis qu'il prend la parole, la laissant gérer complétement son travaille sur le glaive, pour le moment et il se met à lui parler de sa famille et de leurs passer en commun, qu'il les avait défait et presque tous anéantie. Alors sa famille avait bien échoué à le vaincre ? Comment venir à bout d'un tels monstre ? Elle se pose vraiment la question. Pourquoi son tortionnaire avait-il décidé soudainement de laisser son ancêtre en vie alors qu'il haie autant les humains ? Qu'avait-elle de spéciale, qui la mettait au dessus du lot ? L'esclave sent la main froide du père des monstres se poser à l'arrière de son crane pour la fait avancer un peu, elle sent la lance de chair emplir toute sa bouche, allant jusqu'à la porte de sa gorge sans pour autant l'obligeait à aller plus loin. Son maître vient ensuite énumérer toute les tentatives de sa famille pour le tuer, sans succès ... Mais était-il vraiment immortel ? Elle commence à ce dire que oui, qu'elle n'échapperait jamais a son emprise ...

Elle l'entend ricaner, un ricanement à la faire frissonner alors qu'il lui dit pouvoir même survivre à une explosion nucléaire ... Que pouvait-elle bien faire, elle, une simple humaine ? Elle se demande également pourquoi il à cette contrainte de l'invitation alors qu'il ne craint personne ? Une peur instinctive de quelques chose peut-être ? Mais de quoi ? L'esprit de la jeune scientifique se met à analyser sa mission, chercher d'éventuelle piste, faisant moins attention à se qu'elle fait avec le glaive toujours dans sa bouche, quand soudainement, elle le sent lui attraper les cheveux pour la tirer d'un coup contre lui, la faisant frissonner fortement quand elle sent la peau de son maître contre la sienne, cette froideur glaciale ... Clarissa comprend qu'il va de nouveau la mordre, lui aspirait son sang. Cela la terrifie véritablement alors que son maître ouvre la bouche, dévoilant ses crocs de prédateur. Elle fut pétrifié sur le moment, complétement surprise de sentir se désir naître dans son corps, se désir d'être mordue, elle la voulait et la redoutait toute autant cette morsure ... Puis le moment ou les crocs se plante dans son cou arrive en un éclair, faisant déferler en elle un tels flots de sensation que ses cuisses en son rapidement dégoulinante.

La jeune chercheuse était dans stout ses états à cause de la morsure, les crocs planter dans sa peau, la drogue parcourant ses veines, n'arrivant même pas à lâcher un gémissement alors que son maître aspire son sang. Elle n'arrivait pas à savoir si elle aimait ou détestait cela alors qu'elle sentait son esprit partir vadrouiller dans ses souvenir dans un long soupire des plus évocateur. Elle se revoit subir toute les sévices de son maître, pour la punir ou pour le plaisir, mais également les moment passé avec Blattela à discuter du pourquoi le maître était ainsi. Elle commence à lui trouver des excuses vis à vis de l'humanité qui la rejeté des sa naissance ... Elle se sent perdue dans toute ses pensées alors qu'il termine de lui aspirer le sang, la rejetant au sol. Clari' ressent toujours le plaisir et la douleur de la morsure dans tout son corp, l'esprit encore embrouillé. Elle sent la main de son maître la saisir et la relever de nouveau. La langue passant sur les traces de crocs sont comme un baume des plus apaisant, lui faisant lâcher un soupire de soulagement ... Juste avant d'être jeter au sol comme la dernière des merde. Entendant son tortionnaire lui ordonner de se mettre à quatre pattes, la traitant de chienne au passage, disant qu'après trois jours d'attente, il pourrait rattrapé le temps perdue ...

Ayant à peine le temps de reprendre ses esprit que la pauvre esclave se fait flageller d'un coup de ceinture, la faisant couiner de douleur car elle ne bouge pas assez vite au goût du maître ... Elle vient se placer rapidement à quatre pattes, frissonnante de terreur alors qu'elle sait ce qui l'attend. Oh non, elle ne le veut pas ! Pas encore ! Fermant les yeux pour essayer de se préparer à cette douleur ... Clarissa sent les mains du maître la saisir par la taille, la soulevant à hauteur, puis ça y est. Le glaive imposant de ce monstre vient se frayer un chemin dans sa petite étoile arrière. La faisant couiner et gémir de douleurs alors qu'il la pénètre de force, lui faisant sentir chaque centimètre d'avancé de la lance de chair en elle ... Jusqu'à ce qu'elle la sente entièrement dans son anus et ce, peu importe les dégâts dessus. Tremblante de douleur alors qu'elle agite un peu les jambes dans le vide, les larmes inondent de nouveau son visage naguère si souriant. Elle n'arrive plus à retenir ses crie de douleurs lorsque son maître commence les va et vient en elle, lui ravageant les fesses, la faisant pleurer de plus belle. Elle ne peut s'empêcher de se demander ... Pourquoi elle ?
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Elle pleurait ? Rien à foutre, elle pouvait bien geindre et chouiner tant qu'elle le voulait. Au fond, cela lui faisait ni chaud ni froid, il ne faisait pas partie de ses imbéciles qui souhaitaient un quelconque amour de la part de ses esclaves. Elle lui était utile, alors elle vivrait, voilà tout et pour les détails, il laisserait Blattella faire, elle avait encore beaucoup de chose à apprendre. En vérité, il était même gentil envers elle, il lui donnait le temps d'apprendre plutôt que de tout prendre de suite, elle devrait le remercier.

C'étaient ses pensées, au fond, même si sur le moment, il pensait surtout à son plaisir et au fait que son ptit cul était super étroit. Léchant encore ses lèvres pour y récupérer un peu de sang, il le trouvait vraiment délicieux, il y avait un petit truc en plus, Heinart imaginait comme une bonne viande correctement assaisonnée, cela pouvait ressembler à cela pour un humain. Il n'y avait pas photo, elle n'était pas près de mourir et maintenant qu'elle était devenu sa chercheuse, elle le risquait encore moins. Cependant, souffrir, ce n'était pas près d'arrêter et c'était exactement ce qu'elle était en train de subir. De la souffrance, elle n'était que douleur dès l'instant où il avait décidé de la prendre, il voyait ses petits pieds battre l'air vainement, comme si elle pouvait lui échapper.

« Sombre idiote, on ne pouvait pas m'échapper. »

Prise avec force, le sang coulait déjà de l'orifice et il y ajoutait un crachat pour aider à lubrifier. Elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle, l'esclave n'avait qu'à apprendre à se détendre le cul et elle aurait moins l'impression de se faire déchirer. Heureusement pour elle, la morsure était récente, le plaisir ressenti devait l'aider légèrement à détendre son corps, au moins au début, mais dès l'instant où il avait accéléré, c'était terminé. Après, elle ne faisait rien pour le rendre d'humeur plus doux, elle traînait à obéir à chaque fois, une baffe, un coup de ceinture, chaque fois à cause de sa lenteur à exécuter un ordre pourtant clair. Cela l'agaçait et dans l'agacement, il donnait un coup brutal qui dû lui donner l'impression qu'on venait de lui enfoncer un tisonnier brûlant dans le fondement. Restant un moment planté au fond avec pour seul réconfort, la froideur de son corps qui devait un peu aider pour calmer la douleur. Il se déplaçait jusqu'au mur où il vint la plaquer contre, une main derrière son crâne qui aplatissait le visage contre la tapisserie. Les pieds de la petite ne touchaient toujours pas le sol et il était encore autant empalé en elle :

- Va falloir que tu apprennes à satisfaire ton maître, sinon je vais finir par perdre patience avec toi et surtout cesse de rêvasser quand je te donne un ordre... Putain d'esclave.

Il donnait plusieurs coups de trique puissants ensuite, de quoi donner des décharges de douleur sans doute inqualifiable avant de le sentir reculer et laisser derrière lui un cul grand ouvert et en sang. La laissant choir au sol, l'ayant lâché totalement pour aller vers la chambre en laissant la porte grande ouverte. Un peu comme une invitation à le suivre, même si ce n'était pas certain qu'elle soit en état de bouger. Enfin, elle avait mal, atrocement mal et le moindre mouvement devait en rajouter. Cependant, de cela, le Roi des Monstres n'en avait absolument rien à foutre. Il ramassait un pilori sans support, en somme, qui n'avait que la planche en bois dure avec les trois trous, le tout séparable en deux pour pouvoir y placer les membres et refermer. Il revenait dans le salon en prenant une tablette au passage. Se mettant sur la droite du canapé, il faisait descendre du plafond plusieurs câbles dont deux servaient à suspendre le pilori à un mètre et des poussières du sol. Le troisième câble allait jusqu'au sol, il prenait la parole sans même prendre la peine de regarder où se trouvait l'esclave en ce moment et sa voix était tellement sinistre qu'en glaçait le sang :

- Esclave vient là.

Cinq secondes, c'était tout ce qu'il avait attendu avant de regarder à ses pieds, si elle y était sagement, il se contenterait de la soulever par les cheveux et la placer au pilori. Si elle n'y était pas, il viendrait la chercher, mais deux coups de pieds dans l'estomac qui laisserait des bleus sans l'ombre d'un doute vu leur violence. Finalement, il reviendrait avec elle en la tirant par les cheveux aussi et finirait dans tous les cas au pilori. Néanmoins, il fit une chose de plus, un comme s'il s'attendait à ce qu'elle ne soit pas de tenir debout, le troisième câble vint s'enrouler autour du ventre des cuisses. Il appuyait sur la tablette et le câble se tendait de sorte qu'elle avait tout juste de quoi avoir un appui stable. Le talon touchait donc encore le sol, mais elle pouvait tout aussi bien se laisser totalement aller qu'elle ne bougerait pas vraiment. Par contre, ce qui devait l'inquiéter était sa vulnérabilité actuelle, elle était entièrement offerte sans l'ombre d'un moyen de ne serait-ce que relever la croupe ou la baisser. Elle pouvait alors le sentir revenir derrière elle et lui claquer les fesses avec violence à l'aide de sa main. Il frappait, encore et encore jusqu'à soit rouge vif et risquant de virer au bleu. Pourquoi ? Parce qu'il en avait eu envie en la voyant ainsi et puis il rentrait à nouveau dans son cul pour cette fois la violer comme il faut. Pour lui, il ne s'agissait même pas d'un viol, elle était à lui, sa propriété, il n'allait pas se sentir mal d'avoir abîmé une chaise, surtout s'il pouvait la réparer facilement. C'était pareil, pour lui en tout cas, mais les pleurs et les cris finirent par l'emmerder au bout de plusieurs longues minutes de ravage. Il reculait pour venir face à elle avec un bâillon boule, mais avant cela il lui ordonnait d'ouvrir la bouche. Si elle ne le faisait pas assez vite, il passerait sa main sur le dos de l'esclave et lui lacérerait le dos avec ses griffes à la faire hurler. Là, il rentrerait dans sa bouche, plongeant sa verge souillées au possible pour en user comme d'un vide couille. Le Monstre baisait sa tronche avec la même rudesse que son fondement jusqu'à en avoir eu assez, donc de longues et interminable minute. Elle risquait de vomir tout ce qui se trouvait dans son estomac lorsqu'il ressortait et visiblement, il en était conscient parce qu'il s'écarta. Néanmoins, qu'elle le faisait ou non, il s'en fichait et lorsqu'elle aura terminé, il vint lui mettre le bâillon d'autorité. Enfin, il revenait derrière elle et cette fois terminait son affaire.

Cependant... Cela avait pris un longtemps, il était toujours aussi difficile à satisfaire et se libérait en totalité tout au fond. Laissant derrière lui un trou béant et un semi-cadavre suspendu. Pourtant, comme toujours, une fois terminé, il revint face à elle, enlevait le bâillon et la fit ouvrir la bouche, même s'il s'attendait à devoir le faire lui-même, l'imaginant inconsciente depuis un moment maintenant. Qu'importait, il se nettoyait la verge dans son gosier et en partie sur son visage et ses cheveux. En effet, elle n'était plus qu'une loque, pourquoi avait-il été si violent ? Le pire était qu'il ne s'en serait même pas rendu compte à moins qu'on lui posait la question. Il était simplement en manque et la petite trop inexpérimenté pour le satisfaire autrement qu'en étant utilisé bêtement et sauvagement.

Abandonné dans cette position, il partait vaqué à ses occupations et se coucher une fois le jour levé. Même si le soleil ne parvenait que très difficilement à percer les épais nuages inquiétants au-dessus de son île, il avait gardé certaine habitude. Plusieurs heures plus tard, Blattella vint à la rencontre de la pauvre esclave, soupirant fortement en voyant l'état dans lequel son maître avait laissé cette dernière. Elle ne détachait pourtant pas celle-ci, elle savait ce qui allait se passer pendant sans doute plusieurs jours, voir semaine et ne pouvait que faire en sorte qu'elle ait une chance d'y survivre. La belle commençait donc les soins sans même attendre que la petite ne se réveille, s'occupant d'abord de son cul dans un état épouvantable et qui dégoulinait de foutre et autre. Le sol avait laissé une belle petite flaque d'immondice qu'elle avait nettoyé pour l'odeur, comme le vomis s'il le fallait. La petite pouvait se réveiller pendant les soins ou après, si jamais c'était durant, elle se montrerait juste pour lui faire comprendre qu'elle n'avait rien à craindre. Ses gestes, comme toujours, était d'une grande douceur et très précise malgré le masque sur ses yeux. Elle s'occupait de chaque partie et avait pris soin de retirer le bâillon pour accorder le droit à la petite de parler si besoin. Elle avait aussi amené une bouteille d'eau avec une paille pour la faire boire au besoin. La nourriture attendrait, mais dans tous les cas, elle expliquait à la petite qu'elle ne répondrait qu'une fois les soins terminées, si jamais elle devait se réveiller durant. Une fois terminé, elle s'installait dans le canapé dans un long soupire, elle aurait besoin d'une bonne heure pour appliquer là où il fallait le baume de salive concentré.

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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Depuis son arrivée ici, dans cette enfer, la jeune chercheuse n'avait connue que tristesse et douleur ... Pourquoi elle ? Clarissa se posait la question alors que son maitre et tortionnaire commence un brutale va et vient en elle, dans son petit troue. Elle se met à hurler de douleurs alors que les larmes inonde à nouveau son visage naguère si souriant et ses grand yeux violet. La douleur lui parait insoutenable, sentant la chaleur de son propre sang suinté sur ses fesses, lâchant un crie plus aigue à l'accélération du mouvement que son maître imposait à son petit cul alors qu'elle vient remuer légèrement les jambes. Clari' avait bien compris que de son maître elle ne devait attendre aucun compassion et que son savoir de chercheuse la rendait utile malgré tout ... Un coup plus brutale en elle déverse une nouvelle vague de douleur la faisant crier de et pleurer de plus belle ... Elle avait mal partout, bien que ses fesses soit plus douloureuse encore que le reste. Impuissante dans ce qu'elle vivait, ne pouvant que souffrir ... La jeune esclave hoquet de douleur quand le père des monstre vient se déplacer en restant empaler sur elle. Puis elle finit la tête plaqué contre l'une des tapisserie tandis que son maître lui, reprend son va et vient, lui déchirant le cul pour une nouvelle fois alors qu'il vient prendre la parole d'une voix sinistre, lui donnant la chair de poule.

Clarissa vient hurler de douleur à s'en casser la voix, finissant en pleure alors que son maître semble la pénètre de nouveau avec une brutalité des plus douloureuse ... Alors qu'elle se sens chuter par la suite, la demoiselle ne réagit pas, s'écrasant sur le sol sans même réagir, la petite esclave avait bien trop mal pour tenter de se rattraper ou même se redresser une fois au sol, restant là, au pleurer, son cul dans un état lamentable ... Elle regrette alors d'avoir utiliser toute la salive qu'elle avait récolter durant ses recherche pour soigner ses fesses ... A quoi bon, il les déchire à chaque fois ... Puis la jeune demoiselle redresse la tête pour regarder ou va son maître alors qu'elle l'entend s'éloigner, il n'a donné aucun ordre ... Devait-elle le suivre ? Elle n'en avait pas du tout envie alors que son corps commence à trembler à cause de la peur et de la douleur ... La jeune fille désespère en le voyant revenir avec une étrange planche pour préparer ce qui serait la suite ... cela elle n'en doutait pas, plutôt vive d'esprit la jeune fille se mit à avancer en rampant vers son maître, lâchant des sanglot à chaque avancer tellement son cul lui était douloureux.

La jeune esclave personnelle ne savait pas quoi faire d'autre de toute manière ... la fuite lui était ... impossible, il le lui avait clairement dit. Elle écarquille les yeux alors que le roi des lieux il ordonne de venir, immédiatement, elle se doute qu'il ne serait pas patient ... pas avec sa réflexion juste avant ... La petite lâche un sanglot de douleur alors qu'elle se redresse malgré tout à quatre pattes, elle ne ressent que douleur, mais elle se force à la mettre de côté dans sa tête pour se focaliser sur un but, celui d'avancer jusqu'à lui ... C'est à ce moment là que contre toute attente, la chercheuse se déplace relativement vite jusqu'à son maître, avançant à quatre pattes jusqu'au pied de son maître ... Mettant bien tout pile cinq seconde, heureusement qu'elle avait commencé à avancer avant l'ordre ... Cependant, elle n'eut pas le loisir de se réjouir .... Ce réjouir de quoi en plus, d'avoir rejoint son tortionnaire ?! Elle se trouvait un peu conne pour le coup, mais faute d'avoir d'autre choix ... Clarissa grimace de douleur de nouveau, lâchant un couinement alors qu'il la relève en la tirant par les cheveux, sa pauvre chevelure ... Ne réalisant pas de suite ce qu'il se passe, elle se met à réellement paniquer que lorsqu'il enroule le câble autour de son ventre et ses cuisses, l'immobilisant après l'avoir attaché sur le pilori, c'est là qu'elle se met à s'agiter, complétement paniquer à l'idée d'être de nouveau ... offerte à lui, réalisant qu'il n'en a pas terminé avec elle, son visage s'emplit de larme alors qu'elle le voit passer derrière elle.

L'esclave sans nom au yeux de son maître s'attend alors à une douleur tentant de s'y préparer ... Sauf que ce n'est pas celle à laquelle elle s'attend et lâche un crie de surprise et de douleur en sentant la violente claque sur sa croupe, essayant de s'agiter pour se soustraire à cette violence, mais rien n'y fait et une nouvelle vague de douleur la fait crier. La pauvre fille crie et pleure à chacun des coup de son maître, sentant ses fesses chauffer, allant jusqu'à lui bruler, n'imaginant même pas dans quel état, elle les retrouvera alors qu'elle n'avait plus la force de tenir elle-même sur ses jambes, elle aurait finit étranglé si son maître ne s'était pas assuré que le harnais de câble la soutienne ... Au finale, même si elle voulait mourir, le pourrait-elle seulement ? Même cela, elle n'en était même pas sûr que son maître le lui accorde ... Un nouveau hurlement emplit la pièce quand elle sent ce monstre sans reflet revenir en elle, toujours par ses fesses, allait-il la garder vierge définitivement ? Malgré la douleur, elle en vient à se poser la question, bien qu'elle craignait réellement le jours ou il la cueillerait ...

Durant un moment qui lui parut une éternité, seule le son de sa voix, de ses hurlements donne un rythme à sa douleur, celle-ci se propageant en elle à chaque fois qu'il vient avec sauvagerie lui ravager le fond de son petit cul étroit. La jeune chercheuse ne semble pas réagir plus que cela quand elle le sent sortir d'elle pour venir se placer face à elle. Son premier réflexe fut de lever le regard vers lui, c'est en croisant le regard du monstre qu'elle se rappelle et baisse instantanément le regard. Qu'est ce qui lui passe par la tête quand il lui ordonne d'ouvrir la bouche ? Elle-même ne saurait le dire alors qu'elle la garde obstinément fermé ... Bien que cela ne reste pas ainsi longtemps car une vive douleur dans son dos la fit crier et pleurer, ayant sentit les griffe de son maître lui déchiré le dos dans une griffure. Mais le crie fut interrompue par la verge du monstre qui lui emplit la bouche, s'enfonçant toujours plus loin à l'intérieur. La pauvre essaie bien de remuer en paniquant alors qu'il entre dans sa gorge en forçant le passage, non seulement elle n'arrive plus à respirer, mais en plus, se met à ressentir une envie de vomir imminente ... Elle écarquille les yeux d'effrois alors qu'il lui viol la gorge sans vergogne. Les larmes ruisselles sur ses joues alors qu'elle le sent, se goût immonde dans sa bouche, la faisant frissonner et s'agiter de dégout. La suite se passe assez vite, des qu'il ressort entièrement de sa bouche, la jeune esclave se met à vomir immédiatement se qu'elle à dans l'estomac, ne pouvant pas vraiment bouger, elle vomit une partie sur le pilori alors que sa finit par couler doucement devant elle ... Mais bien sur, à peine avait-elle finit de vomir qu'un bâillon boule fut installer, la laissant échapper que des son étouffer, comme ses crie et ses sanglot alors qu'elle le voit revenir derrière elle tandis que peu après la douleur reprend ...

Combien de temps la pauvre esclave ressent cette douleur de son maître qui lui viol la petite entrée sans remord, avec violence, Clari' sent qu'il va toujours un peu plus vite, ne pouvant rien faire d'autre que souffrir, bavé et lâcher quelques son étouffé ... Cela lui paraît une éternité, si bien qu'elle ne se rend pas compte qu'elle finit par sombrer dans l'inconscience, se sentant chuter dans un abysse obscur et sans fond. Que se passe t-il durant tout le temps ou elle est inconsciente, Clarissa n'en s'ait rien, ni même combien de temps ... L'esclave n'ouvre lentement les yeux que bien plus tard, bien que son corp soit encore douloureux, elle ressent toutefois bien moins de douleurs qu'elle ne le devrait ... Puis elle se rend compte qu'elle n'a plus le bâillon dans la bouche, bien que le sale gout y soit toujours, lui ... Bien qu'elle ne puisse le voir, la jeune fille frémit doucement en se disant que son corps devait être dans un état lamentable ... Puis son regard est attiré par quelques choses qui est assis dans le canapé devant elle, sentant son cœur rater un battement alors qu'elle craint que se soit son maître ... Mais elle reconnait rapidement Blattela et soupire de soulagement ... Elle essaie de bouger, mais comprend rapidement qu'elle est toujours attaché ... Et qu'elle ne serait donc pas détacher par quelqu'un d'autre que son maître, baissant piteusement le regard alors que ses yeux s'embue de larmes.

- Comment ... Comment je dois faire pour ... avoir moins mal ... Pour supporter tout ça ...

La jeune esclave sans nom se met à sangloter lentement, essayant en vain de retenir les larmes alors que malgré les soins, elle ressent toujours la douleurs que ce monstre lui à infligeait juste par ... envie. Alors que son regard se lève sur Blattela, elle ressent aussi une pointe de gratitude envers elle pour le soin et le réconfort malgré tout, elle était comme un feu réconfortant au flamme douce au milieu de ténèbres, froid, douloureux et insondable ... Ignorant ce qu'il cache ...

- Je ... Merci, pour ... pour les soins ... Je, je vais devoir rester attaché ... là. Jusqu'à ce qu'il revienne. Pourquoi ? ... J'essaie d'apprendre ...

Oui, au fond, l'esclave savait que pour éviter certaine douleurs, elle devait apprendre et obéir ... Mais, c'était vraiment dur pour elle. Elle qui avait grandit dans la bulle protectrice de la Jurisprudence ... Elle qui n'était pas habitué à la souffrance et la douleur, elle savait qu'elle allait devoir l'accepté, mais cela ... c'était très dur, car cela signifié ... abandonné le reste de ses espoir ... Accepté la douleur et son maître, était accepté de rester auprès de lui, son esclave personnelle ... Bien qu'elle l'était déjà ... l'accepté pleinement, c'était autre chose ...
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
Ce n'était qu'une question de temps avant qu'elle ne pose la fameuse question, Blattella en était consciente et patienterait jusqu'à ce qu'elle le fasse. Heureusement, cette dernière le fit à son réveil dès l'instant où elle réalisait que c'était elle et non le maître qui était là. La détresse de cette petite ne la laissait pas indifférente, même si en aucun cas elle ne l'aiderait au détriment de son maître Heinart. Elle avait autant de raison que lui, enfin, à sa façon, de détester les humains, mais cette petite n'en était plus vraiment une, elle était l'esclave personnelle, celle que tout le monde espérait qu'elle tiendrait plus longtemps que la dernière. Pour le moment, ce n'était pas encore sûr du tout, la preuve étant tout ce qu'elle avait dû nettoyer et le fait que le cul terminait tout juste de soigner. La sensibilité risquait de rester cela dit pour un petit moment.

Comment faire pour avoir moins mal ? Cela s'approchait beaucoup de la bonne question, bien qu'elle y était liée, donc cela lui suffisait. Cependant, elle n'en restait pas là, parlant comme à son habitude un peu beaucoup, la remerciant, mais aussi demandant si elle allait devoir rester attaché ainsi jusqu'à son retour. Elle soupirait légèrement et se levait pour approcher d'elle. Si la démarche était calme, tranquille, le geste une fois près d'elle l'était moins, une claque sur le cul, bien que beaucoup moins forte que celle du maître, elle n'y était pas allée de main morte tout de même :

- Jusqu'à ce que le maître revienne... Ne m'oblige pas à te corriger alors que je viens de te soigner, tu parles souvent de trop et n'agit pas assez. Dans ce cas commence par faire attention à comment tu parles.

Elle lui faisait un petit sourire, ce n'était pas par méchanceté qu'elle le faisait, comme elle lui avait déjà expliqué, si ce n'était pas elle qui le faisait, ça serait lui et là le coup aurait été bien plus douloureux. Blattella rejoignait alors la tablette et faisait légèrement descendre les cordes, ainsi, si elle le souhaitait, elle pouvait se mettre sur les genoux pour reposer son ventre enlacé par les cordes. Elle vint ensuite s'asseoir sur le sol face à l'esclave et lui caressait délicatement la joue baignée de larme en lui souriant d'un air rassurant. Sa douceur et le fait qu'elle soit aveugle avait de quoi apaiser, un véritable don pour la délicatesse. Sans cesser ce qu'elle faisait, elle reprenait la parole, décidant cette fois de donner suite aux questions posées :

- Pour ce qui est de rester attaché, tu as vu juste, seule le maître pourra te libérer, baisser les cordes est le mieux que je puisse faire sans lui désobéir.

Un sourire délicat sur le visage, elle cessait ses caresses sur la joue et passait délicatement dans les cheveux, faisant une petite moue, elle se levait pour chercher une bassine d'eau et un gant de toilette pour commencer à la laver. Ses gestes étaient lent, appuyant aussi peu que possible, la peau du dos était par exemple encore très sensible suite aux griffures tout juste soignée. En le faisant, elle continuait de répondre sur le même ton :

- Pour ce qui est d'avoir moins mal, je dois t'avouer que j'attendais cette question et je peux t'apprendre si tu le souhaites. Cependant... Il va falloir que tu fasses de grands efforts et comprenne une chose toute simple.

Elle revenait face à elle et délicatement déposait ses lèvres sur celle de l'esclave dans un doux baiser. Sa langue si ajoutait ensuite, enrobant, cajoleuse, se laisser bercer était facile lorsqu'on était habitué à la violence du Père. Blattella cessait au bout d'un petit moment, laissant peut-être l'esclave un peu essoufflé, elle-même l'était un peu, puis elle recommençait à la laver, rejoignant des lieux plus intimes, la poitrine, le ventre, les fesses et l'intimité :

- Tu dois comprendre que tu dois penser à son plaisir et à te soumettre à notre maître pleinement. Tu résistes encore inconsciemment, lorsque tu es avec le maître, tu hésites, tu doutes, tu penses et il ne le faut pas. Cesse tout cela et ne pense qu'à lui et oublie toi. Si tu ne t'oublies pas, tu te rappelleras ta douleur, ta peur et cela te ralentira...

Elle se faisait insistante sur l'intimité, faisant en sorte de la faire légèrement mouiller alors qu'elle appuyait tout de doucement sur l'orifice de son petit cul :

- Ensuite, pour avoir moins mal durant l'acte, surtout que le maître ne semble pas vouloir prendre ta virginité pour le moment et donc te prend par les fesses. C'est assez simple en vérité, il te faudra apprendre à te donner, lorsque tu vois approcher ton maître, tu as peur, tu anticipes la douleur et du coup, tu contractes tes fesses, pourtant...

Mouillant légèrement son doigt, elle vint le faire rentrer en douceur dans le fondement, coulissant doucement comme pour lui montrer que cela pouvait aussi ne pas faire mal :

- Tu vois, cela n'est pas plus douloureux que cela, mais je suis consciente que mon doigt est bien plus petit, j'ai tout ce qu'il faut pour t'entraîner, mais je veux que tu sois sûr de toi. J'ai le droit de le faire, mais cela dépend de toi en ce qui me concerne. Cependant, je crains que si tu n'apprends pas rapidement, tu ne passes plusieurs jours à le subir chaque nuit et chaque matin, je viendrais te soigner pour être à nouveau déchiré la nuit. Tu ne le veux pas et moi non plus. Tu vas donc apprendre à le sucer comme il faut, car tu as intérêt à le faire s'il t'en offre l'opportunité, cela rendra la pénétration beaucoup plus supportable.

Elle retirait son doigt et se rendait à un meuble pour en sortir un gode ceinture double et un gode tout seul. Elle n'enfilait pas la ceinture et se contentait de la poser sur le sol et présentait le gode d'une bonne taille devant les yeux de l'esclave. Celui-ci était néanmoins plus petit que la verge du maître et ensuite elle lui faisait une démonstration. Le prenant en bouche, léchant d'abord un peu partout avant de l'avaler une première fois complètement. Puis, elle s'occupait du gland au bout, s'y focalisant durant quelques longues secondes avant de le reprendre totalement en bouche et faire des vas et vient tout en creusant les joues sous la sussions. Elle le retirait de ses lèvres dans un bruit caractéristique comme si l'on venait de déboucher une bouteille de vin et le montrait à l'esclave. Il était dégoulinant de salive, elle le nettoyait ensuite avant de le présenter à l'esclave et expliquer :

- Tu as vu ce que j'ai fait ? Je me suis occupé de lui, j'ai voulu lui faire du bien, on va parler du gode comme d'une personne pour que cela soit plus simple. Donc, je l'ai léché pour humidifier un peu et ainsi le faire coulisser dans ma bouche était plus simple. Pour l'avaler sans avoir trop envie de vomir, il faut faire l'inverse de ce que ton corps a envie de faire et pour cela il n'y pas des millions de solutions, il faut que tu fasses comprendre à ton corps que ce qui rentre dans ta gorge, tu en as envie. En somme, je vais entrer ça, lentement, de plus en plus loin et dès que tu sens que tu as envie de tousser ou de vomir, tu me tapotes la main et je reculerai. Le but étant que tu ne vomisses pas, c'est comme ça qu'au fur et à mesure ton corps comprendra qu'il n'a pas besoin de faire sortir ce qui rentre. Par chance, tu es dans une position qui facilite les gorges profondes, donc on va en profiter, tu es prête ?

Elle attendra évidemment que cela soit le cas, répondant à d'éventuelle question si besoin avant de le faire entrer. Elle ne pouvait que lui expliquer, la suite ne tenait qu'à elle et pour le moment elle ne rentrait pas loin, lui permettant de lubrifier bien comme il faut :

- Surtout ne retient pas la salive, elle est justement ce qu'il te faut pour bien lubrifier, je vais entrer un peu plus maintenant et pense à respirer par le nez.

Peu à peu, elle rentrait un peu plus, la laissant découvrir que le réflexe nauséeux ne vient pas tout seul. Il pouvait se contrôler et la proximité des mains de l'esclave lui permettait de contrôler elle-même la vitesse ou la faire arrêter. Blattella faisait preuve d'une extrême patience et y passerait des dizaines de minutes s'il le fallait. Cependant, au bout d'un moment, elle reculerait pour de bon sans revenir, qu'elle l'avait repoussé ou non :

- Bien, on va laisser reposer ta gorge un peu, ça ne te fera pas de mal et on va profiter que c'est bien lubrifié pour essayer ton cul.

Elle se levait et passait derrière pour poser le bout de la fausse verge sur l'entrée, mais ne poussait pas pour le moment. Elle caressait les fesses et en profitait pour vérifier si elle était contracté ou non :

- Rappel toi, tu ne dois pas te contracter, mais au contraire te détendre, laisse rentrer quitte à pousser. Je sais, ça peut paraître bizarre, mais c'est le meilleur moyen de le faire entrer sans trop souffrir, tu pousses, heureusement tu n'as pas mangé depuis longtemps, donc il n'y a aucun risque. J'attends de voir ton trou s'ouvrir, je te préviens.

Blattella ne plaisantait pas, elle attendrait jusqu'à ce qu'elle la voit faire et pousser. Ce n'était qu'ensuite qu'elle glisserait le gode en elle et vu ce dont elle avait l'habitude, cette pénétration risquait d'être délicieuse par rapport à ses autres expériences. D'ailleurs, elle pousserait l'expérience en lui caressant doucement l'intimité, le but étant clairement de lui faire connaître un orgasme et en passant cela la détendrait beaucoup.

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Clarissa Lacroix

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
A son réveil, la jeune esclave avait rapidement aperçue la belle Blattela sur le canapé non loin et fut tout de même soulagé que ce soit elle plutôt que lui, car dans cette enfer qu'est devenue sa vie, c'était la seule qui avait montré un temps soit peu de douceur envers elle ... Alors que Clarissa savait très bien que cette femme a toute les raison du monde de haïr les humains. Malgré tout Clari' n'en pouvait plus d'avoir si mal à chaque fois que le père des monstre s'occuper avec elle et n'hésite pas une seconde à poser la question à Blattela, de lui apprendre à avoir moins mal, bien sur, elle ne peut s'empêcher de parler un peu trop et reçut une claque sur les fesses bien sentie pour cela. Enfin, ce n'était pas aussi douloureux que si c'était le maître qui frappé , mais tout de même cela lui rappelle qu'elle est sa place ici et baissant la tête comme une enfant que l'on venait de réprimander, l'esclave hoche doucement celle-ci pour montrer qu'elle à comprit. Un regard vers la dame aveugle suffit à lui montrer qu'il n'y avait aucune méchanceté dans ses geste, au contraire.

Mais oui, elle avait encore du mal à l'admettre, à le dire clairement, ce fameux mots pour le désignée, lui, le père des monstres. C'était ridicule car au final cela ne changeait rien hormis des punitions supplémentaire ... Mais on lui demandait tellement de changer qu'elle ne se reconnaissait plus, son ancienne vie lui manquait et ... Comme toujours, c'est quand l'on perd les chose que l'on se rend compte de leurs valeurs ... Alors, quand on en vient à perdre toute sa vie, jusqu'à son identité. Oui, c'est dur de l'admettre, encore plus quand on y est contrainte. Clarissa lève les yeux un peu surprit sur Blattela qui venait de baisser cordes via la tablette ... Et oui, elle ne tenait debout que grâce à ses cordes, s'effondrant sur le sol, à genoux en même temps que celle-ci descendent. La suivant du regard quand la femme vint s'asseoir face à elle, ne pouvant s'empêcher de fermer les yeux quand la main vient lui caresser une de ses joues baigné de larmes. La douceur des doigts lui rappelle alors qu'elle à prit gifle sur gifle, heureusement qu'elle ne peut voir son reflet, ou malheureusement car ... Elle ne pouvait s'empêcher de s'imaginer avec des joues de hamster, puis ... Elle essaie de ne pas penser à l'état du reste de son corps.

Néanmoins un peu de douceur dans cette endroit lui fit vraiment du bien et l'esclave suit Blattela du regard quand celle-ci se redresse pour aller chercher de quoi la laver visiblement ... Oui, elle ne devait surement pas sentir la rose, quand elle commence à passer le gant de toilette sur sa peau, la jeune esclave sent un puissant frisson lui parcourir le corp, baissant la tête quand il passe sur les cicatrice encore sensible dans son dos, lui faisant réellement prendre conscience qu'elle ne doit sa vie qu'au soin apporté par Blattela ... Si au départ elle pense que le monstre n'en à rien à faire d'elle, qu'elle pourrait mourir sans qu'il n'en soit ne serais ce que déranger ... Clarissa, se souvient de plusieurs chose par la suite, les remarque sur le goût de son sang et le faite justement que Blattela soit la pour la soigner ... La voix de la dame vient la sortir de ces pensées, lui expliquant alors les choses, qu'il lui fallait avant tout comprendre une chose simple si elle ne voulait plus avoir mal.

Devenant des plus attentive au parole de sa prédécesseurs, la regardant de ses grand yeux violet revenir face à elle pour .... l'embrasser ? Si elle semble surprise au départ, la jeune esclave se laisse malgré tout aller au jeux, à la tendresse du baiser qui la laisser essoufflée avant de la sentir la laver de nouveau, des zones un peu plus intime ce qui la fait remuer légèrement, lorsque le gant de toilette passe délicatement sur son intimité ou sa croupe, qui se contracte instantanément à cela, comme un système de défense. Mais si les mains sont douce avec son corps, les paroles de Blattela sont quant à elle, beaucoup plus dur à avaler ... Comment penser à son plaisir si il nous terrorise ? Baissant le regard en se disant qu'elle n'avait pas forcément le choix, le monstre l'avait choisie, elle comme esclave personnelle et pas une autre. Cela lui rappelle un vieux conte d'une bête et d'une jeune femme qui finissent par s'aimer, sauf que là, la ressemblance s'arrêté au monstre et la jeune femme. Clarissa lâche un sourire amère ... Comment s'oublier alors que la douleur inonde notre corps, qu'il anticipe même cette douleur ? La petite esclave remue de nouveau légèrement alors qu'elle sent le gant de toilette insister avec douceur sur sa fleur intime et voilà qu'elle ne tarde à montrer de son nectar.

Si le désespoir envahie son regard au début, entendant les paroles de la femme, Clari' comprend également qu'elle n'a pas le choix et que cela et peut-être plus une histoire de volonté plus que de technique. La volonté de s'oublier, de se donner à lui ... Ecoutant toujours les parole de sa mentor du moment, elle ne peut retenir une exclamation de stupeur en sentant le doigt entrer en elle par le fondement, si son anus s'était fortement contracté dessus, elle fut surprise de ne par sentir la douleur qui pour elle, va avec la pénétration. La paroles qui venait par la suite la fit frissonner d'horreur ... Non, ce n'était pas ce qu'elle voulait, d'être déchiré toute les nuits car elle n'aurait pas appris. Alors quand Blattela va chercher des gode ceinture qui semble l'effrayer au début, Clarissa essai de se calmer et se rassurer par la suite quand la femme lui explique et lui montre que sucer à son utilité pour atténué les douleur par la suite.

L'esclave observe la femme aveugle faire avec beaucoup d'attention, se forçant a se concentrer dessus pour ne penser à rien d'autre, hochant la tête pour signifier qu'elle à comprit les gestes, bien qu'elle semble déterminé à apprendre dans son regard, sa voix lors de sa répondre tremble légèrement et ses question affiche le doute qu'elle réprime comme elle peut.

- Oui, j'ai vue et compris comment vous avez fait ... Mais, je ... Comment peut-on réussir à s'oublier ainsi ? Comment dois je me voir pour ... ne plus souffrir de ...

Blattela peut alors la voir secouer la tête sans terminer sa phrase, question qui n'avait pas lieux d'être vue les discutions précédente, elle ne devait plus ce considérer comme une humaine, bien qu'elle n'y arrivait pas encore, qu'elle résistait toujours, si elle voulait tenir le coup, elle n'aurait pas le choix.

- Comment ne pas céder au désespoir ? Est ce qu'une esclave personnel à ... Un but, il ... Le maître m'a donné une mission, puis je me focaliser la dessus ?

Malgré une réticence visible dans son regard, la petite chercheuse ouvre la bouche pour montrer qu'elle est prête à accueillir le gode à l'intérieur. Comme l'on pouvait s'y attendre, les départ furent compliqué, son corps étant tellement sur la défensive, qu'à peine entré dedans, à peine il s'enfonçait, que la demoiselle se retrouvait avec une forte envie de vomir, contrainte de tapoté tout aussi vite la main de Blattela. L'amélioration notable que la précédente favorite pouvait noter fut l'application de Clarissa à lécher et prendre le gode en bouche, elle essayait vraiment de suivre l'exercice, durant combien de temps, l'esclave ne saurait même pas le dire, quelques minute ou bien une heures ? Mais elle avait tout de même fait quelques progrès assez notable, ayant réussie une fois à faire un début de gorge profonde au gode sans vomir. Quand elle était vraiment concentré sur quelques chose, la jeune fille n'avait pas le temps de réfléchir et pouvait donc s'appliquer sans contrainte à sa tâche.

Seulement dès que sa parlait de son cul, la jeune esclave sentie un frisson de peur l'étreindre, se mettant à trembler légèrement de panique, s'agitant quelques peu. Il lui fallait plusieurs minute pour réussir à se calmer alors que Blattela patienté derrière elle, le gode lubrifié près à l'emploi et après une profonde respiration, la jeune fille essaie de pousser fortement, alors oui, heureusement qu'elle avait l'estomac vide depuis un moment ... Mais dès que le gode fut présenter à son anus, commençant à entrer doucement, la chercheuse se fige d'un coup, le corps se contractant entièrement, faisant stopper la femme dans son geste visant à faire entrer le gode. Il lui fallut plusieurs autres minute pour la petite esclave afin de réussir à se calmer et se remettre à pousser, lâchant un crie de stupeur quand il entre de nouveau en elle un peu plus.

Il fallut recommencer plusieurs fois, la demoiselle devant se calmer et respirer à chaque fois avant de reprendre et pousser à nouveau, c'est seulement une fois le gode entièrement en elle, qu'elle fut surprise avec un petit crie que ce n'était pas si douloureux ... Pour tout avouer, c'était même assez ... agréable. Alors que Blattela commence un va et viens en douceur, Clarissa sent parfaitement les doigts de l'autre main se presser sur sa fleur et sa perle, la faisant gémir de plaisir en s'agitant, le plaisir grimpant. Jusqu'à là, l'esclave n'avait même pas douté que l'on puisse ressentir aussi du plaisir durant l'acte de son côté, son maître étant tout de même plus ... brutale. Doucement, elle se laisse aller au plaisir, le gode glissant plus facilement dans son petit fondement alors qu'elle gémit toujours plus en s'agitant sous le plaisir, son nectar dégoulinant sur ses cuisse et les doigts de femme aveugle, Clarissa fut surprit et un peu désorienté en sentant l'orgasme approcher, lâchant un petit crie de plaisir qu'elle venait en vain de réprimer en jouissant à la fin, durant un petit instant, elle en vint à oublier ou elle était, ce qu'elle était et qu'elle était attacher, se laissant aller à ce qu'elle venait de ressentir ...
Clarissa Lacroix
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Heinart

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MessageSujet: Re: C'est partie pour l'aventure ! [Heinart]
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La motivation était bien présente, mais les doutes tout autant, cela se lisait dans chacun de ses gestes, dans chaque respiration et à chaque fois qu'elle ouvrait la bouche. Elle était si sensible, si novice en la matière, le maître avait cherché une bien triste esclave, mais curieusement, elle avait déjà survécu jusqu'à maintenant, ce qui en vérité surprenait pas mal de monde. Même Blattella s'attendait à la découvrir morte à chaque nouvelle rencontre ou alors au bord du gouffre. Pourtant, non, cela n'était pas le cas, si le désespoir envahissait son regard aisément, elle n'en était pas au point de s'abandonner à la démence ou la mort. Elle avait soif de connaissance et cela la femme masquée pouvait lui apporter. Elle pouvait même lui procurer l'expérience qui lui manquait, si cela permettait de satisfaire davantage le Père, il ne lui en voudrait pas, si par contre cela s'avérait inutile, là, elle prendrait pour son grade. Blattella en était consciente, mais se gardait de le révéler à l'esclave, si elle en rajoutait à son stress, elle n'allait vraiment jamais réussir quoi que ce soit de plus que ces fameux travaux.

Elle lui posait une question, recommençant déjà à se perdre en bêtise et pour le coup Blattella fut tentée de la couper d'une nouvelle claque, mais n'en eu pas le temps. Elle s'était coupée elle-même, se stoppant quelques instants sans terminer sa phrase et reprenait sur un tout autre registre. Pour le coup, elle ne souriait légèrement sans cesser ce qu'elle faisait, donc rien, étant donné qu'elle attendait que la petite n'ouvre la bouche. Les questions posées, elle accueillait enfin le gode en bouche, la réticence se lisait sur son visage, mais aussi une légère pointe de détermination. Entre deux conseils, elle décidait de répondre aux questions posées tout en faisant attention de ne pas avoir un geste non approprié. Il fallait avouer qu'elle donnait envie d'abuser un peu de la situation :

- Le désespoir provient de ton passé, c'est parce que tu te souviens de lui que tu ne parviens pas à supporter ton présent. Cependant, il est bien le passé et ton maître est ton avenir. Le Maître ta donnée une mission, d'ordinaire ses esclaves personnelles n'en ont pas, mais toi, tu as cette chance et tu dois t'y accrocher. Tant que tu apporteras des résultats dans ce domaine, tu ne devrais pas mourir sans éclat de colère de ça part. Autrement dit, celui que tu hais tant te donne en vérité la chance de ta vie, tu es une chercheuse en monstre, tu es dans la ville des monstres et il en est le Dieu. Passe moins de temps à penser à ce que tu n'as pas et plus de temps à imaginer ce que tu pourrais obtenir et découvrir. Il ne fait que ce que les humains font aux monstres, ne te plains pas esclave.

La fin fut un peu plus rude, mais Blattella n'aimait pas les humains et la chercheuse le savait. Du coup, parler de ces monstres, en tout cas à ses yeux, avait tendance à l'énerver un peu, mais heureusement pour la petite, elle ne reporterait pas sa colère contre cette dernière. Le temps passait, les exercices changeaient, la gorge profonde fut une partie bien difficile à franchir et elle était encore très très loin de pouvoir subir celle du maître. Déjà, la sienne était un peu plus grande et une verge ne coulissait pas forcément aussi bien, pas si elle ne faisait pas correctement son travail avant. Cela dit, c'était rentré une fois assez profond, en règle générale, une fois la première réussi, les autres venaient avec la pratique. Cependant, elle décidait de faire une pause dans les fellations et gorges profondes. Cela faisait plus de trente minutes qu'elles étaient dessus et la petite s'épuisait. D'autant que la suite allait la laisser sur le carreau un moment aussi.

Enfin, déjà, fallait-il réussir à rentrer dans son petit cul tout tremblant et pour cela Blattella avait dû faire preuve d'une sacrée dose de patience. Combien de fois avait-elle essayé ? Combien de temps avait-elle dû attendre entre chaque nouvelle tentative ? Beaucoup.

Cependant, le temps réglait bien des problèmes et au bout du compte, elle avait fini par rentrer jusqu'à ne plus voir le gode. La suite fut bien plus agréable, déjà là, elle pouvait entendre aux gémissements de la petite qu'elle prenait déjà son pied. Bon, c'était relativement facile lorsqu'on y allait si doucement, surtout avec une brute qui la démolissait à chaque fois, être plus agréable pour une débutante était vraiment simpliste. En somme, Blattella ne se donnait aucun mérite pour le coup, d'autant que cela ne servait qu'à la détendre et lui montrer que le plaisir était possible. Ses doigts aidaient en ce sens et se retrouvèrent rapidement trempée par la mouille de l'esclave. Elle en fut presque surprise, la petite était tant réceptive et pas qu'un peu. Il ne fallut finalement pas bien longtemps pour la faire couiner de plaisir et totalement désorienté ensuite. La pauvre n'avait sans doute rien compris à ce qui venait de lui arriver et sans sortir de l'orifice, elle vint se pencher sur elle pour déposer quelques baisers le long de l’échine dorsale. Ses doigts cessant pour le moment de titiller la perle s'attaquait à la belle poitrine qui pendouillait, malaxant à merveille cette dernière avant de prendre la parole :

- Un premier orgasme, félicitation, tu vois que ça peut être très agréable quand on apprend, mais je sais ce que tu vas dire, le maître est bien plus violent, etc...

Sa voix était si douce, ses caresses si délicates qu'elle risquait d'être très surprise en sentant les doigts sur sa poitrine s'accrocher aux tétons et les pincer fortement tout en les faisant vriller. Oui, elle allait la faire hurler de douleur un petit moment, mais l'une des mains délaissaient la poitrine pour s'attaquer à la perle encore très sensible à cause de l'orgasme. Un coup de buttoir un peu plus rude dans le fondement suivit de beaucoup d'autre et Blattella était certaine qu'après ce premier orgasme un autre allait tomber à une vitesse époustouflante. Ses doigts pleins de nectar en était la preuve et malgré une fausse violence dans ses gestes, elle était loin de lui détruire le cul. La douleur dans sa poitrine devait la rendre folle, mais c'était à ce moment-là que le plaisir allait justement la sauver dans sa tourmente. Le but était là et pour le coup, elle ne lui soufflait même pas de le faire. La petite n'était pas stupide, à peine allait-elle sentir une échappatoire à la douleur qu'elle se jetterait dessus et autant dire que le retour serait au rendez-vous. Le second orgasme, lorsqu'il tombera, allait sans l'ombre d'un doute la plonger dans un lac de plaisir tant il allait être intense. La peur de souffrir jouerait un grand rôle dans celui-ci et Blattella comptait bien détruire ses préjugés sur le sexe ainsi.

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