Tu es ma nouvelle colocataire, couché. [PV Ally]

Sam 20 Aoû - 17:37

Sujet: Tu es ma nouvelle colocataire, couché. [PV Ally]

C'est... un véritable foutoir. Non, on ne pouvait pas me laisser dans ma petite merde noire après la disparition de ma petite esclave colocataire. Il a fallu que Namida foute son grain de sel. Mais puis-je réellement lui en vouloir au fond ? Je tiens trop à nos jeux et à ma personne pour laisser la dépression et la négligence me prendre. Non je suis bien plus, Damon Roche est bien plus.. DaMagnus l'est. Eh ouais mon gars, je ne suis pas tout seul, on ne fait qu'un. Ces petites femelles n'ont qu'à bien se tenir. Pardon, quoi ? Ferma-là un peu.

Je regarde face à moi, ce cadeau empoisonné laisser par celui qu'on appelle La Mascotte, donc pas n'importe qui. Pourquoi ? Est-ce seulement pour mon bien ou pour rendre servir à cette pauvre âme qui gît pitoyablement sur ce canapé ? Il a changé, ces dernières années.. il est différent, avant il ne serait jamais pris la peine de faire ça, à contourner les lois. "Les lois, c'est moi !" Mon cul. Je soupire en passant une main sur le visage, posant ma bouteille d'alcool fort sur la table basse en verre d'onyx accroupie entre le mobilier et le sofa. Mes coudes reviennent très vite sur mes genoux, mon point d'équilibre est parfait, là où bien des hommes auraient du mal à tenir. Mais je dispose d'une ressource que l'on appelle Oeil de Dragon, et qui me permet certaines facilités.
Elle est devant moi, sapée d'un de mes marcel et d'un boxer, je n'ai plus vraiment de vêtements féminins à lui proposer. J'ai brûlé les affaires de la Vampirette, et Taïga ? Non, personne n'a ses mesures divines. Ally est trop fine. Prenant ma joue dans la paume de ma main, je l'observe dormir. Pendant tout le temps de son sommeil, j'avais appelé des services de réparations pour mon infirmerie personnelle. Et on peut dire que cette chimère fait fort dès son arrivée. Je compte bien à ce qu'elle me rembourse les dommages causés. Et c'est pas vraiment une façon de remercier son hôte. Grondant profondément de ma propre frustration, je patiente encore une heure ou deux à la regarder. Jusqu'à ce qu'en fait les frères Mario se ramènent pour me donner la sale note et repartent. Ouais, petite Ally... tu vas me le payer.

Mon regard vairon, vire pendant un bref instant à un or emplissant le blanc de l'oeil, d'une manière sauvage et pulsante. Mais cela se calme très vite. J'expulse brutalement l'air de mes poumons en me relevant, me détournant d'elle, je demande à Cyara, mon IA d'éteindre la visions des caméras de surveillance. Ma télévision murale, dernier cri et géante cesse de diffuser les moindre recoins de mon appartement de plus de 200m² pour passer une scène naturelle. Une forêt, avec des bruits relaxant de la nature dont s'écoule une source d'eau naturelle. Douce illusion d'un temps passé, révolu maintenant. Je me perds un instant par la nostalgie. Ciara, avec un bras mécanique sortant du plafond enlève la seringue plantée dans le corps d'Ally pour cesser son endormissement forcé. Moi qui apprécie tant se calme... par pitié, j'ai pas envie de l'entendre hurler et jacasser. Fermant un instant les yeux, je finis par remplir le fond d'un petit verre d'alcool aux vapeurs très puissantes, pour la placer juste sous les narines de la créature pour la réveiller naturellement. Bien sûr, j'enlèverai rapidement mon récipient pour éviter qu'elle ne gâche l'alcool par un quelconque geste brusque.

Debout, je contourne ma table basse pour poser à l'autre bout de mon canapé suivant les angles de la pièce. Déjà pour lui laisser le temps de se réveiller, et qu'on dispose chacun de notre espace vital. Je ne suis pas un homme facile, faut arrêter de croire ça. Je vous jure.. et surtout, et ce que je déteste par dessus tout. C'est qu'on se méprenne sur ma personne. Je ne suis pas là pour lui faire du mal, mais si elle se fourvoie encore une fois. Je sens que je vais pas me gêner pour gifler cette gamine. Tout le monde ne veut pas forcément tuer tout le monde. Et c'est pas parce qu'on se retrouve dans une infirmerie très proche des laboratoires, que forcément on est encore enfermé ! Je serre les dents en grondant encore... bordel Cyara avait mis son plus beau décolleté en plus au réveil de la petite. Les docteurs font pas ça en général ! Non mais c'est sûr que si on ne regarde pas plus loin que le bout de son nez... et malheureusement tout le monde est comme ça. Et Ally va devoir s'y habituée. surtout à mon tempérament très... paranoïaque. Et si je peux laisser une deuxième chance, il n'y en a pas de troisième. Elle est prévenue ! Enfin... je lui ai pas encore dit, mais elle le saura très rapidement.
Expulsant encore l'air de mes poumons, cette fois, c'est un écran de fumée qui s'en échappe, dénonçant le dragon en moi. C'est plus fort que moi, j'ai zappé sur une très vieille diffusion de The Simpsons, une trouvaille que je chérie plus que tout. Toutes les saisons de ce sitcom américain que la Jurisprudence prohibe. Allez me dire à quoi servira aux services secrets du gouvernement d'avoir l'édition collector d'une série télévisée de ce genre.. Enfin j'en ai bien quelques idées, mais bon.

Dim 9 Oct - 16:26

Sujet: Re: Tu es ma nouvelle colocataire, couché. [PV Ally]

Je fonçais vers cet homme qui m’avait combattue, défendu, libéré, emmener pour me soigner et finalement pardonner, mais m’avais finalement abandonné au bras d’un autre homme dont il m’avait avertie être perturber. Si on m’avait forcé à dormir, ce sont mes yeux de félidé qui s’ouvrir rapidement, s’assurant à la vus de possible danger. Mon corps se tendit telle un ressort prêt à décocher au moindre danger.

Mon regard fit rapidement le tour de la pièce avant de regarder le dragonnet frustré. Mon nez s’agitait cherchant à récolter le plus d’information possible. La femme en décolleter ne sentait rien, surement une IA projeter, mais l’homme était réel et était bien celui qui était venu avec les hommes que j’avais décimer.

Avec des mouvements lents, je me relève doucement pour m’assire et le fixer. Ça doit être lui Damon, mais je n’ose pas encore me prononcer si je dois lui faire confiance ou non. M'en voudra-t-il pour ce que mon ancien maitre m'avait demander de faire? Après tout, ce n’est pas lui qui m’avait demandé. Pourquoi se samouraï n’avais pas pu me garder ?!

-Vous êtes… Maître Damon?

Oui, bonne fille, mettre maître devant son nom au début pour éviter tout châtiment inutile, la fumer qui s’échappe de ses narines indique clairement son agacement. Pourtant, mon corps semble assez soigner. Mon entre jambe sec, m’indique qu’il na pas profiter de ma sédation, mais le tissu étranger sur mon corps indique que j’ai été changer.

Définitivement, les gens de la juriceprudence son d’étrange personnage. Au lieu de mettre une ambiance oppressent pour bien me faire comprenne sa dominance, il avait préféré mettre des images relaxantes de nature ainsi que les bruit ambiant qui allait avec, délicatesse que j’appréciait particulièrement. J’appréciait aussi l’espace entre nous, laissant à mon corps encore ensommeiller le temps de réagir s’il venait à m’attaquer… ou devrais-je me laisser faire? N’était-il pas mon nouveau maitre? Mon nouveau tortionnaire? Mon geôlier et bourreau? Celui qui m’utiliserais à ma perte jusqu’à, comme l’autre, je ne lui sois plus utile ou que je sois la dernière diversion de sa fuite! Qui sais… mais l’appréhension me prenait à la gorge et avec le mélange de l’anesthésie de la jurisprudence et celui de Damon, j’avais le gout de jerber.